All Chapters of Un mari pour trois sœurs : Chapter 51 - Chapter 60

Sofia Chaque pas, chaque pénétration, partageait une mélodie que seul nous deux pouvions comprendre. Plus nous nous rapprochions, plus notre connexion se renforçait. Pour moi, cela devenait une véritable communion d’âmes, une célébration de notre désir et de notre amour naissant.Je le sens en moi , il me ba(i)se durement , ses mouvements faisant vibrer chaque fibre de mon être. Nous étions deux corps se mouvant ensemble, perdus dans un océan de sensations. Chaque souffle, chaque murmure un peu plus fort, devenait une note dans cette symphonie de désirs.La nuit continuait, et nous persistions dans cette étreinte infinie, nous explorant sans cesse, découvrant des facettes de nous-mêmes que nous ne savions même pas exister. Mes gémissements s'intensifiaient, tout comme la ferveur de nos étreintes. Dans cette aventure, je me sentais à la fois puissante et vulnérable, me laissant porter par le flot de nos émotions.L'orgasme approchait, une vague qui prenait de plus en plus d'ampleur à

Liam Nous nous déplaçons lentement vers le salon, où la lumière créait un cadre idyllique pour ce moment passionné. Je la plaque doucement contre le mur, nos corps se pressant l’un contre l’autre, répondant aux pulsations de notre désir. La chaleur émanant de notre contact faisait vibrer l'atmosphère, et chaque mouvement que nous faisions était empreint d'une énergie électrique.- Oh , soufflai-je, nos lèvres se déplacent légèrement pour laisser échapper le son du désir partagé.Élisa plia les jambes, se glissant contre moi, nous permettant d’explorer nos corps sans hésitation. Mes mains glissèrent sur sa taille, traçant des cercles, puis se réfugièrent sur le bas de son dos, l’amplifiant dans un mouvement plus désireux. Mes lèvres trouvèrent son cou, et je sentis ses frissons répondre à chaque baiser déposé.- Tu es tellement belle ,dis-je, respirant presque son odeur, appréciant chaque grain de sa peau sous mes doigts. - Et toi…murmura-t-elle, sa voix pleine de désir. Je ne savais

Sofia Je suis assise sur le sofa, le regard perdu dans le vide, plongée dans un tourbillon de pensées. La chaleur de l’instant partagé entre Liam et moi résonne encore en moi, comme un écho vibrant dans ma mémoire. Cette passion semble si palpable, si authentique, et pourtant, une question m’obsède : pourquoi Élisa fuit-elle cet homme qui paraît si parfait ?Élisa a toujours été celle qui se bat pour son bonheur, pour ses rêves. J'admire sa détermination et son courage à saisir la vie à pleines mains. Mais ces derniers temps, une ombre inquiétante ternit la lumière de son bonheur. Au lieu de se précipiter vers Liam, elle s’en éloigne, et ce changement me perturbe. Je ne peux m’empêcher de me demander ce qui ronge son cœur, quel secret la pousse à fuir l'amour qu'elle semble pourtant désirer.Je me lève et commence à marcher dans le salon, les souvenirs de notre enfance se mêlant à mes réflexions. Je me rappelle les moments où Élisa parle de Liam, les étoiles dans ses yeux, le sourire

Liam— Tu as aimé le déjeuner ? — je demande en démarrant la voiture.— Oui, c’était délicieux.Son sourire est parfait. Trop parfait. Comme un masque.Je tapote distraitement le volant, réfléchissant à la meilleure approche. Je ne veux pas qu’elle se sente acculée, mais je dois savoir.— J’ai pensé à quelque chose. Viens avec moi au bureau cet après-midi.Elle cligne des yeux, surprise.— Au bureau ?— Oui. J’aime t’avoir près de moi, et puis, j’aimerais que tu voies un peu mon univers.Elle hésite, juste une seconde. Presque imperceptible. Mais je le remarque.— Je ne veux pas te déranger… — souffle-t-elle doucement.— Tu ne me déranges jamais, Élisa.Je tends la main et caresse sa joue du bout des doigts. Elle frissonne. Est-ce parce qu’elle m’aime, ou parce qu’elle a peur ?— D’accord.Je souris, satisfait, mais mon esprit est ailleurs.Pourquoi a-t-elle hésité ?Je déteste ne pas comprendre ce qui se passe dans sa tête. J’ai toujours eu le contrôle. Sur mes affaires, sur mes homm

Élisa La liberté… J’avais cru la saisir en quittant mon appartement, en claquant cette porte derrière moi. Mais elle n’était qu’une illusion, une sensation fugace qui s’échappait entre mes doigts dès que j’essayais de la retenir. Voilà pourquoi, hier soir, après quelques verres et un sourire enjôleur, j’avais laissé mes instincts prendre le dessus.Je l’avais rencontré dans un club où je n’aurais jamais mis les pieds avant. Adam. Grand, ténébreux, un regard perçant et un sourire dangereux. Il m’avait offert un verre, puis un autre. On avait dansé, nos corps s’étaient frôlés, et j’avais senti ce frisson que je n’avais pas ressenti depuis si longtemps. Il n’attendait rien de moi, il ne cherchait pas à me posséder. Il était juste là, à cet instant, un mirage de liberté dans la pénombre moite du club.Et maintenant, je me retrouvais dans sa voiture, filant vers une destination inconnue. Une excursion, avait-il dit. Une parenthèse loin du bruit de la ville, quelque chose d’unique. J’avais