Lahat ng Kabanata ng Vengeance après le divorce: Kabanata 241 - Kabanata 250

Olivia« Je ne pense pas que ce soit une bonne idée de le lui dire », a dit Nick d'une voix grave, qui filtrait par la fente de la porte alors que je revenais de la cuisine, un verre d'eau à la main. Le ton de sa voix était sérieux, et je ne pouvais m'empêcher de sentir que quelque chose n'allait pas. De qui parlait-il ? Qu'est-ce qui se passait ? Et, surtout, pourquoi était-il si préoccupé de ne pas me le dire ?« Quel serait l'intérêt de le lui cacher ? Ce n'est pas comme s'ils n'étaient pas ici, et elle va demander lorsqu'elle ne les verra pas », a répondu Ethan. Ses mots ont fait accélérer mon cœur. Qu'est-ce qu'ils me cachaient ?Je me suis arrêtée, écoutant attentivement, puis j'ai entendu Nick de nouveau, sa voix basse, mais tendue. « Je m'en fiche. Nous gardons ça pour nous aussi longtemps que possible. Je ne suis pas prête à faire face à Olivia maintenant, pas avec tout ce qui se passe. »C'est à ce moment-là que je n'ai plus pu me retenir. Ma curiosité brûlait, et mon inst

XanderJe pensais que mon plan mettrait plus de temps à se dérouler, que je devrais faire plus d'efforts pour voir des résultats réels. Mais j'ai rapidement réalisé qu'Olivia n'était pas du genre patiente et calculatrice. Elle était impulsive, plus que je ne l'avais anticipé. Être la gentille fille qu'elle était, elle ne m'a pas fait attendre. Elle est venue droit vers moi, s'est offerte comme une offrande, un cadeau que je pouvais facilement réclamer.C'était presque comique. Elle m'a offert l'opportunité sur un plateau d'argent, me faisant confiance, me montrant sa vulnérabilité, sa présence même, sans que je lève un doigt ou fasse plus que ce que j'avais déjà orchestré. Elle a pratiquement posé sa tête sur un plateau, et je ne pouvais m'empêcher d'être fasciné par la facilité avec laquelle tout se mettait en place.Mais le temps était crucial. Si elle arrivait seule à ma porte, il ne faudrait pas longtemps avant que les autres ne viennent. Je devais agir vite, tout devait se passe

NickJe marchais de long en large dans la pièce, le rythme régulier de mes pas ne parvenant guère à apaiser l'anxiété croissante qui m'étreignait la poitrine. Chaque minute qui passait me semblait une éternité. Je jetais sans cesse des regards à la porte, espérant voir Ethan entrer, Olivia à son bras. Mais les minutes s'égrainaient, et personne ne venait.Tout avait commencé lorsque j'avais reçu cet appel d'Olivia. Dès que j'avais entendu sa voix, un poids froid et lourd s'était installé dans ma poitrine. « Nick », avait-elle dit, sa voix tremblante, puis la ligne avait été coupée. Mon cœur s'était littéralement arrêté. Avant que je puisse rassembler mes pensées ou lui dire de rester en sécurité, d'arrêter ce qu'elle avait l'intention de faire, l'appel avait pris fin. J'avais immédiatement rappelé, mais il n'y avait pas de réponse.Je ne savais pas ce qui se passait, mais je savais que ça ne pouvait pas être bon. La panique s'était emparée de moi, et j'avais aussitôt informé Ethan de

MARCUSDeux jours. Il s'était écoulé deux jours depuis que j'avais eu des nouvelles des gars, et ça me semblait une éternité. La dernière fois que nous avions parlé, Nick m'avait appelé avec un message étrange, aller chercher Lupita et Grand-mère à l'aéroport. Il avait mentionné qu'elles dormaient, mais la manière dont il l'avait dit, en évitant les détails, ne m'avait pas semblé correcte. Il n'était pas très loquace, et je ne pouvais pas vraiment comprendre ce qu'il voulait dire.Quand je les ai finalement récupérées, le poids de ses mots m'est tombé dessus. Elles n'étaient pas simplement endormies, elles étaient dans un sommeil profond et anormal. J'ai couru les emmener à l'hôpital, désespéré de trouver des réponses. Les médecins ont confirmé mes pires craintes, il n'y avait rien de physiquement anormal chez elles, mais elles restaient inactives, coincées dans cet état inexplicable de sommeil. Elles étaient nourries par des perfusions pour s'assurer qu'elles ne mourraient pas de fai

Mon cœur a chuté dans mon estomac. Ses mots ont envoyé un frisson plus profond que le froid qui m'étreignait déjà. Je n'avais aucune idée de ce qu'il prévoyait, quelles horreurs m'attendaient ensuite. Mais une chose était claire, il n'avait pas fini avec moi.Xander s'est avancé davantage dans la pièce, ses yeux brillant d'un mélange dérangeant d'amusement et d'admiration. Le bruit sourd du sac touchant le sol a résonné dans le silence froid de la pièce. Il ne semblait pas pressé, non, il était presque détendu, comme si nous étions deux vieilles connaissances en train de bavarder.« Je pensais que ça me prendrait beaucoup plus longtemps pour te rejoindre », a-t-il dit, sa voix presque badine, en faisant un pas plus près, me fixant avec une intensité étrange. « Avec tous ces hommes autour de toi, je pensais que tu aurais une douzaine de gardes à tes côtés en permanence. Mais voilà que tu viens à moi. » Il a fait une pause, toujours souriant, ce sourire qui me donnait la chair de poule