Vengeance après le divorce의 모든 챕터: 챕터 261 - 챕터 270

NICKLe visage de Luke avait passé rapidement de la stupeur à la colère. « Dis-lui, dis au crétin où nous sommes ! » avait-il rugi en jetant les bras en l'air. « Comment ce crétin a-t-il pu faire ça ? Je suis le seul qui devrait faire ce genre de choses. Vous autres devriez garder les mains propres ! » Il avait arpenté la pièce.Il avait été frustré. « Depuis quand Marcus est-il devenu pire que moi dans ce genre de choses, mais qu'est-ce qui ne va pas chez lui ? » avait-il dit, s'adressant à personne en particulier. Je ne savais pas s'il était simplement frustré ou un peu impressionné par son gendre. Il s'était tourné vers moi avec un regard furieux. « Mais qu'est-ce que tu attends ? Tu veux qu'il fasse sauter d'autres villes avant de lui dire où de merde nous sommes ? »Je n'avais pas pu croire ce que j'entendais. Il y avait à peine quelques instants que Luke m'avait dit de ne rien dire à Marcus, et maintenant, voilà que je me faisais reprocher de ne pas avoir dit où nous étions ass

OLIVIADeux jours s'étaient écoulés depuis le départ de Xander, deux jours sans nourriture ni eau. Mon corps s'était affaibli avec chaque heure passée, et je pouvais ressentir chaque courbature dans mes os, chaque fissure dans mon esprit. Mais au milieu de cette tourmente physique, une petite lueur d'espoir subsistait, l'effet du sédatif qu'il m'avait administré pour me paralyser commençait enfin à se dissiper. Je pouvais sentir une légère picotement dans mes jambes lorsque je les pincerais fort, rien de bien probant, mais suffisant pour m'offrir une infime lueur de soulagement. Bientôt, je pourrais de nouveau bouger.À condition, bien sûr, de ne pas m'effondrer de soif et de faim avant.La pire partie de cette situation infernale n'était pas la paralysie. C'était le silence. L'incertitude. Je n'avais aucun moyen de savoir s'il faisait jour ou nuit. Le temps avait cessé d'exister dans ce tombeau obscur et oppressant, et avec chaque instant qui passait, j'avais l'impression de m'éloign

Marcus« Patron, nous sommes arrivés », a dit Steve, sa voix perçant le épais brouillard de sommeil qui m'enveloppait. J'ai cligné des yeux plusieurs fois, désorienté, avant de reprendre lentement mes esprits. Mon corps me faisait mal à force de bouger constamment, de voyager pendant des jours d'un continent à l'autre, de sauter d'une ville à l'autre, de poursuivre des pistes sans issue et des demi-vérités. Je n'avais pas dormi correctement depuis des jours. Chaque fois que je fermais les yeux, tout ce que je voyais, c'était le visage de ma femme, Olivia, s'estompant de mes pensées comme un rêve lointain.J'ai frotté mon visage avec mes deux mains, essayant de me débarrasser de la fatigue. L'épuisement me gagnait, mais il n'y avait pas de temps pour le repos. Pas maintenant. Pas jusqu'à ce que je l'aie récupérée. Mon esprit était confus, toujours revenant aux mêmes questions, Où est-elle ? Pourquoi personne ne veut-il me le dire ? Les gens qui avaient des informations étaient tous des

MARCUSLa conduite de l'aéroport à l'hôtel n'avait pas été longue, mais pour moi, elle avait semblé interminable. Chaque instant qui passait ajoutait à mon anxiété croissante. J'étais désespéré de retrouver ma famille, mais une crainte insistante me taraudait, et si Nick m'avait de nouveau menti ? Et si je me lançais à la poursuite d'ombres ?Cependant, je m'étais raccroché à l'idée que tout avait été soigneusement planifié. J'avais tout fait correctement. Nick ne me mentirait pas, au moins pas cette fois. J'avais entendu la peur dans sa voix lorsqu'il m'avait parlé, et je savais qu'elle était réelle. La peur peut briser un homme, et j'étais convaincu que Nick avait été brisé. Il avait avoué, et je devais lui faire confiance. Sinon, je perdrais la raison.Lorsque nous étions enfin arrivés à l'hôtel, le parking était presque plein, mais nous avions réussi à trouver la dernière place disponible devant l'entrée. Je m'étais sorti de la voiture, le poids de la situation oppressant ma poitr

XANDERJe me suis tenu devant la fenêtre, regardant le soleil s'abaisser à l'horizon, projetant une lueur ambrée sur le ciel. La brise était douce, portant l'odeur de la terre fraîche et la promesse silencieuse du soir. J'ai inspiré profondément, l'air frais remplissant mes poumons, et pendant un bref instant, je me suis senti en paix. Mais cette paix a été éphémère. « Aujourd'hui pourrait être le jour où je rejoindrai mon père dans l'au-delà », ai-je pensé, le poids de cette réalisation pesant sur moi. Le coucher de soleil, aussi beau qu'il était, ne pouvait masquer la vérité amère qui rongeait mon intérieur.J'ai laissé échapper le souffle que je retenais et me suis tourné, repoussant les pensées de mort au fond de mon esprit. Il y avait encore du travail à faire.Je me suis avancé à l'intérieur, mes pas étouffés par les planches usées du sol. Olivia était encore allongée là, son corps tendu, son visage pâle, les yeux écarquillés par la crainte. La vue d'elle ainsi, prisonnière d'u