Lahat ng Kabanata ng Vengeance après le divorce: Kabanata 301 - Kabanata 310

OLIVIAJe n'ai pas pu supporter ce qui se passait. Mon fils, pauvre Samuel, essayait de s'endormir, mais chaque fois qu'il commençait à sombrer dans le sommeil, son petit corps se crispait, puis il se réveillait en sanglotant, son petit torse se soulevant difficilement sous l'emprise de la peur. Il était traumatisé.Je l'ai vu dans ses yeux. Il ne méritait pas cela. Il ne comprenait même pas pleinement pourquoi il avait si peur, mais il percevait cette lourdeur dans l'air, cette tension qui régnait dans notre maison. Comment Xander avait-il pu faire cela ? M'enlever, me torturer, ne suffisait-il pas ?Pourquoi avait-il impliqué mes enfants ? Mon fils n'avait rien fait pour mériter cela. Pourtant, nous voici, un enfant trop jeune pour comprendre toute l'horreur qui l'entoure, vivant dans une peur constante dans sa propre maison.Xander a amené la guerre jusque sur notre seuil, s'attendant à ce que je reste passif(e) par peur de lui. Il ne me connaissait pas, mais il allait apprendre.

NICKJ'ai cru pouvoir attendre. J'ai cru pouvoir contenir ma colère, laisser ma soif de vengeance mijoter sous la surface jusqu'à ce que nous ayons trouvé tous les hommes de Xander. Mais cet appel téléphonique d'Olivia avait brisé toute la retenue que j'avais réussi à maintenir. Comment aurais-je dû rester calme, feindre l'ignorance, comme si ce qui se passait ne m'affectait pas ? La réalité était trop accablante. Combien de temps pourrais-je encore endurer cette comédie ? La réponse, je le savais maintenant, c'est qu'il ne me restait pas beaucoup de temps.J'ai saisi la boîte à outils, non, celle que nous avions trouvée dans la tombe, celle qu'il avait utilisée sur Olivia. Celle qui était devenue le symbole des horreurs qu'il lui avait fait subir. Il était temps de retourner la situation. Il était temps de laisser Xander ressentir exactement ce que cela faisait d'être du côté de la réception de la cruauté qu'il avait si facilement infligée.Il avait été le propriétaire, celui qui a

LUKEJ'ai connu la douleur, la colère, la frustration que Nick ressentait trop bien. C'était une douleur qui résonnait au plus profond de moi, une ombre que j'avais portée pendant des années. J'avais ressenti la même fureur lorsque j'avais découvert que mon père avait envoyé des gens torturer Olivia pendant qu'elle était enfermée dans cette prison infernale. J'ai craqué à ce moment-là, tout comme Nick l'a fait. La bête qui avait fait cela méritait de mourir, et je m'étais assuré qu'il paye le prix. Ce n'était pas quelque chose que j'avais planifié. Cela ne l'était jamais. Mais parfois, le monde vous pousse trop loin, et vous vous retrouvez à franchir des lignes que vous ne pensiez jamais franchir.Nick avait toujours voulu croire que les gens pouvaient changer, que Xander pourrait d'une manière ou une autre se racheter. Il voulait voir le bien en lui, vouloir qu'il soit avec son fils, qu'il se reprenne en main, qu'il cesse de vivre dans les ténèbres qui l'avaient consumé. J'avais vu c

« Olivia ! »Je me suis légèrement relevée, arrachée à mes pensées. Mon regard s'est brusquement levé et j'ai vu Marcus, son visage marqué par l'inquiétude. Il m'avait appelée, mais je ne l'avais pas entendu. « Qu'est-ce que tu penses ? » m'a-t-il demandé, sa voix plus douce maintenant mais teintée d'inquiétude.Je ne savais pas quoi répondre. Les mots que je voulais dire restaient coincés dans ma gorge. J'essayais encore de comprendre ce que je venais d'apprendre, encore incertaine de mes sentiments.« Olivia ? » m'a-t-il appelée à nouveau, sa voix plus insistante cette fois. Son regard était fixé sur moi, et je pouvais voir l'inquiétude au fond de ses yeux.Enfin, ma bouche s'est ouverte, bien que cela me parût comme si les mots venaient de quelqu'un d'autre. « Dis-moi ce qui est arrivé à Sandra. » La question est sortie à peine plus qu'un murmure, mais elle portait le poids de tout ce que j'avais retenu à l'intérieur.Marcus a hésité un moment, son visage reflétant une multitude

LUKELes visages de mes hommes étaient inquiétants, leurs expressions livides, comme s'ils venaient de voir un fantôme. Je les avais formés pour qu'ils puissent endurent un grand stress, affrontent la mort sans ciller, mais il y avait quelque chose dans leur regard qui ne me plaisait pas. Je voyais ça – de la peur. Une peur réelle, brute. Ce genre de peur qu'on ne voit pas souvent dans notre monde.Alors que j'approchais, l'un d'entre eux, Victor, me regarda comme s'il voulait parler mais ne trouvait pas les mots. Je haussai un sourcil, mes instincts se mettant immédiatement en alerte, sentant que quelque chose avait terriblement mal tourné.« Qu'est-ce qui se passe ? » ai-je demandé, ma voix tranchante. C'était censé être une mission simple, garder Xander, le tenir sous contrôle et attendre des ordres. Mais ces hommes, ces soldats endurcis, avaient l'air d'avoir vu quelque chose qui ébranlait leurs fondements.Avant que je puisse obtenir une réponse, le cri me frappa, un cri déchira