Semua Bab Renaissance et Vengeance - Quand Mademoiselle Mercier dit non: Bab 191 - Bab 197

Quand Victor a vu Élodie dans sa tenue punk provocante, il est resté figé.Une veste courte, un débardeur court qui dévoilait son nombril, un short en jean noir moulant, et pour compléter cette tenue osée, Élodie avait même mis des collants noirs.Ses longues jambes attiraient le regard partout où elle allait, et sa silhouette aux courbes généreuses était difficile à ignorer.Victor a demandé : « Tu... pourquoi es-tu habillée comme ça ? »Victor se souvenait qu'Élodie portait autrefois des robes élégantes de style Chanel, s'habillant toujours de façon très correcte, avec l'allure d'une jeune femme de bonne famille.Mais aujourd'hui, elle...« Oh, rien de spécial, en fait j'adore m'habiller comme ça, c'est très agréable quand il fait chaud. »Élodie a délibérément adopté un ton provocant et s'est même approchée de Victor.On pouvait apercevoir sa poitrine généreuse qui se dessinait sous le fin débardeur, blanche comme la neige, laissant deviner ses formes.Ses longs cheveux tom

Il a un charme à couper le souffle, un vrai séducteur né qui fait des ravages.Mais pour Élodie, les beaux gosses n'étaient que du vent, bien moins efficaces qu'un seul mot de Hugo.À cet instant, Lucien, resté planté là, a retiré ses lunettes de soleil.Son portable a de nouveau sonné : c'était Sophie qui l'appelait.« Tu es arrivée ? »« Je suis devant le bâtiment principal. »Lucien a répondu à Sophie.Quelques instants plus tard, Sophie est sortie du bâtiment.« C'était Élodie Mercier, à l'instant ? »En fait, Lucien avait déjà croisé Élodie par le passé. Dans leur milieu, les enfants de bonnes familles grandissaient généralement ensemble.Les Dupont et les Mercier appartenaient à la même classe sociale à l'époque, donc quand ils étaient petits, ils s'étaient déjà rencontrés et avaient même joué ensemble.Cependant, depuis que Lucien était devenu une star enfant, il n'avait plus revu Élodie.Élodie n'avait probablement aucun souvenir de lui non plus.« C'est bien elle.

Élodie a ravalé les mots « complètement taré » et a quitté le bureau de Hugo.Le temps filait à l'université. À la tombée de la nuit, Élodie et Lucie sont sorties ensemble du bâtiment.En fait, elles n'avaient pas cours cet après-midi, mais Élodie avait tenu à s'attarder à la bibliothèque.Lucie n'avait jamais vu Élodie aussi bosseuse. On aurait dit que depuis son plongeon mémorable dans la piscine lors de la soirée de fiançailles, son cerveau s'était miraculeusement remis en marche.Non seulement elle ne courait plus après Victor comme une désespérée, mais elle s'intéressait même aux études.Lucie a lancé : « Élodie, tu n'as pas besoin de te tuer au travail. L'argent de ta famille suffirait pour vivre sur plusieurs générations. »« Comment peux-tu dire ça ? L'argent, aujourd'hui il est à toi, demain il pourrait appartenir à quelqu'un d'autre. Mais pas le savoir. Ce que tu apprends reste à toi pour toujours. Personne ne peut te le prendre. »Sur ces mots, Élodie a jeté un coup d