Semua Bab Renaissance et Vengeance - Quand Mademoiselle Mercier dit non: Bab 181 - Bab 190

Il n'y avait qu'Élodie !Seule Élodie osait être aussi audacieuse.« Monsieur... »Paul est entré dans le bureau et n'a pu s'empêcher de dire : « Mlle Mercier... a renversé le ficus à l'entrée en partant. »« Qu'elle casse ce qu'elle veut. »« Pardon ? »Paul est resté interdit.Qu'elle casse ce qu'elle veut ?Victor a essuyé la trace de sang au coin de sa bouche et a déclaré : « Allez chez les Mercier et ramenez Élodie ici. Dites-lui que c'est mon ordre. Sans mon autorisation, elle n'a le droit d'aller nulle part. »« Monsieur... est-ce vraiment approprié ? Et si Mlle Mercier refuse de revenir ? Ne risquez-vous pas de perdre la face ? »La dernière fois qu'Élodie était partie, Victor avait jeté toutes ses affaires dans un accès de colère. Maintenant, il la suppliait presque de revenir. La question de dignité mise à part, si cette histoire venait aux oreilles de Mlle Laurent, la situation pourrait s'envenimer.« Faites ce que je vous dis ! Vous remettez mes ordres en questio

Mme Moreau mère connaissait depuis longtemps le vrai visage de Colette. Elle avait toujours gardé des apparences courtoises envers elle, ne serait-ce que parce qu'elle était la belle-mère d'Élodie et l'actuelle Mme Mercier. Mais au souvenir de la conduite scandaleuse de son fils la veille, la vieille dame n'avait eu aucune envie de lui accorder du temps.D'un ton glacial, celle-ci a demandé : « Combien souhaitez-vous emprunter, Mme Mercier ? »« Pas grand-chose... juste, disons, 90 millions d'euros. »En entendant ce chiffre, Mme Moreau est restée stupéfaite.90 millions d'euros ? Quelle audace !« Madame, je sais que votre famille est immensément riche. 90 millions, pour les Moreau, c'est une goutte d'eau dans l'océan... Je vous en prie, ayez pitié de moi. Notre famille traverse vraiment une crise, sinon je ne me serais jamais permis de vous solliciter. »Colette était pressée de récupérer les perles orientales, car le vendeur l'avait prévenue que le prix augmenterait dans deux

Victor, pensant qu'Élodie lui faisait une suggestion, a répondu d'un ton nonchalant : « Nous sommes fiancés, il n'y a rien d'inconvenant à ce que nous partagions une chambre. Mon lit est assez grand pour trois personnes, si tu veux... »« M. Moreau, si vous vous sentez obligé de vous racheter pour ce qui s'est passé aujourd'hui, ce n'est vraiment pas nécessaire. Je comprends que vous avez agi sous le coup de la colère. Ce n'était qu'un baiser, je n'y accorde aucune importance. »En entendant ces mots, Victor a cru avoir mal compris : « Tu... tu dis que tu n'y accordes aucune importance ? »« Bien sûr ! Nous sommes au XXIe siècle, un baiser entre un homme et une femme n'a rien de scandaleux ni d'inacceptable. Je ne vais pas en faire tout un plat pour un simple baiser. »« ... »Les paroles d'Élodie ont fait rire Victor de frustration.Alors il était le seul à être préoccupé par cet incident ?« Tu as raison. Je croyais que tu tenais à ta vertu comme à ta vie. Visiblement, je me s

Non, elle ne pouvait pas rester passive.Elle ne pouvait pas laisser Élodie lui voler Victor.Sur cette pensée, elle a sorti son téléphone et composé un numéro familier.« Allô, j'ai besoin que tu reviennes en France. J'ai quelque chose à te demander ! »En début de soirée, Victor était rentré chez lui.Dans le salon, une seule lampe était allumée, et des bruits de déplacement de meubles provenaient de l'étage.Victor a froncé les sourcils : « Ce n'est toujours pas terminé ? »Paul a expliqué : « Mlle Mercier est très exigeante. Nous avons déjà changé trois fois les meubles cet après-midi. »« Et où est-elle ? »Paul a répondu avec embarras : « Elle doit... superviser les travaux. »« Superviser ? Qu'est-ce qu'elle peut bien superviser ? »Sur ces mots, Victor est monté à l'étage, le visage sombre.Il voulait voir quels nouveaux tours Élodie préparait !À peine arrivé à l'étage, un nuage de poussière blanche l'a enveloppé.En voyant cela, l'artisan s'est précipité : « M.

En entendant les paroles de Paul, Victor est resté un instant stupéfait.C'était vraiment arrivé ?Victor n'en avait absolument aucun souvenir.Par le passé, il n'accordait aucune importance à Élodie, et ne prêtait donc aucune attention à ce qu'elle faisait pour lui.Même à ce moment-là, il avait du mal à croire qu'il avait pu se montrer aussi cruel envers elle et qu'il avait pu agir de façon aussi désinvolte.« Monsieur, il est normal que Mlle Mercier soit en colère à présent. »Personne n'aime voir ses sentiments sincères piétinés par la personne qu'on aime.Élodie ne faisait pas exception.Après tout, même Paul savait qu'Élodie ne dînait pas, alors que lui, son fiancé, l'ignorait.Victor a froncé les sourcils, perdant soudainement tout appétit.Voyant Victor se lever, Paul s'apprêtait à le suivre, mais il lui a dit : « Reportez le travail prévu pour ce soir. Vous pouvez rentrer. »« Bien, monsieur. »Paul a acquiescé.Victor s'est dirigé vers l'étage.Il a trouvé Élodi