Semua Bab INTERDIT POUR LE MAFIOSO: Bab 91 - Bab 100

DANTE POVAssis sur le siège du passager, j'ai observé attentivement l'activité autour de Il Salumaio di Montenapoleone. Des hommes déguisés circulaient dans les environs, éveillant ma vigilance. À côté de moi, Vincenzo garait la voiture avec une apparente sérénité, mais je savais qu'il partageait la tension qui planait dans l'air.« Vos associés sont-ils prêts ? » ai-je demandé à Vincenzo, cherchant à confirmer la disponibilité de ses associés pour toute éventualité.Il me regarda, ses yeux chargés d'inquiétude mêlée de détermination.« Oui, ils le sont », répondit-il, mais son expression révélait un avertissement implicite. « Mais tu dois comprendre, Dante, que s'il y a une guerre entre toi, Contini ou Nicaso, je ne m'impliquerai pas. »J'ai ressenti un mélange d'incrédulité et de déception face aux paroles de Vincenzo.« Quel bel ami, tu es », murmurai-je, ma voix chargée de déception.Vincenzo me regarda, son expression imperturbable, alors qu'il défendait sa position.« Les amis,

La sensation de descendre les escaliers en marbre était étrangement familière, mais en même temps si lointaine. Je pouvais sentir les yeux des gardes de sécurité de Michele Nicaso me suivre à chaque pas, leurs regards vigilants comme s'ils étaient gravés dans ma peau. Ils étaient des ombres silencieuses, mais leur présence était impossible à ignorer.En arrivant à la salle à manger, j'ai trouvé Michele Nicaso qui m'attendait. Ses yeux parcouraient ma robe bleu marine, et un sourire discret jouait sur ses lèvres.« Ma chère épouse, tu es éblouissante ce soir », dit-il, ses yeux brillant d'une admiration sincère.Je l'ai regardé un moment, sentant un tourbillon d'émotions tumultueux en moi.« Merci », murmurai-je, ma voix douce, mais chargée de tension.L'expression de Michele se transforma en confusion quand il remarqua ma gravité.« Y a-t-il un problème ? », demanda-t-il, inclinant légèrement la tête sur le côté.J'ai détourné le regard un instant, rassemblant mes mots avant de répond

Alors que je soulignais mes yeux d'un trait précis de crayon noir, la porte de la chambre s'ouvrit, interrompant ma concentration. Avec un soupir d'irritation légère, je me retournai pour faire face au garde de sécurité qui osa entrer sans frapper.Il semblait un peu mal à l'aise, comme s'il réalisait qu'il avait envahi ma vie privée. Je le fixai à travers le miroir, gardant mon expression impassible pendant qu'il balbutia des excuses.« Je ne savais pas que vous n'étiez pas prête », murmura-t-il, détournant le regard un instant.Je le regardai dans le miroir, sentant une légère irritation monter en moi. Après tout, la vie privée était un luxe que je ne connaissais que rarement, mais que je valorisais profondément.« C'est pour ça que les gens frappent normalement avant d'entrer dans la chambre de quelqu'un

Je me suis enfoncée dans la chaise, mon corps tremblant avec la magnitude de ce que je venais d'apprendre. Tout ce que je pensais savoir sur ma vie et mon identité avait été brisé devant mes yeux, remplacé par une vérité terrible que je ne pouvais pas accepter.Et tandis que je luttai pour assimiler l'ampleur de ce que Michele venait de révéler, une seule question résonnait dans mon esprit, insistant pour être répondue : qu'est-ce que Don Salvatore me cachait encore ?« Qui est Adam Scott ? » demandai-je, ma voix vacillante alors que je luttai pour comprendre le rôle de cet homme dans toute cette confusion.Michele me regarda avec une expression grave, ses yeux sombres brillant d'une intensité sombre.« Adam était un détective privé qui te cherchait dans plusieurs endroits », expliqua-t-il, sa voix calme, mais

J'étais allongée sur mon lit, plongée dans les pages d'un livre, lorsque la porte de la chambre s'est ouverte, annonçant l'arrivée de Michele. Son visage fatigué révélait les défis rencontrés tout au long de la journée, mais ses yeux brillaient en rencontrant les miens.« Je pensais que tu étais déjà endormie », dit-il, sa voix douce résonnant dans la chambre.Je l'ai regardé par-dessus le livre, un sourire taquin aux lèvres. « Pas encore », répondis-je, refermant le livre et le mettant de côté. « Bien que le dîner remonte déjà à un certain temps. »Michele s'assit au bord du lit, ses yeux fatigués cherchant les miens. « Je suis désolé », murmura-t-il, son expression chargée d'inquiétude. « J'ai eu quelques r&ea