All Chapters of Elle fuit enceinte, il la traque jusqu'au bout du monde: Chapter 41 - Chapter 50

Clara n'avait rien, elle est allée très tôt dans l'ancienne demeure pour accompagner sa grand-mère et discuter avec elle.Comme elle est arrivée bien en avance, le beau-père et la belle-mère ne sont pas encore arrivés, et Maxime, lui, n'est pas venu non plus.Dans le grand hall, Clara a parlé et ri avec sa grand-mère ; bien qu'elle ait ressenti au fond d'elle-même une certaine amertume, elle a réussi à faire sourire sa grand-mère sans cesse, lui offrant ainsi un moment de joie sincère.« Toi, ma petite, tu sais bien comment me faire rire avec ta langue bien pendue. Tu deviens de plus en plus rusée, comme un renard malin ! », a dit Élodie en caressant affectueusement la main de sa petite-fille.Clara, espiègle, a répondu : « Mais non, grand-mère, tu dis que je suis un renard, alors je ne veux plus te parler. » « Mais si, tu es bien un petit renard, hahahaha », a ri Élodie en se rappelant soudain une idée. « Au fait, tu n'as pas encore fini tes études ? Je te trouverai un travail dans m

Cet homme était là, elle devait encore plus détourner son attention.Maxime lui a brusquement arraché ce qu'elle tenait entre les mains, puis l'a jeté violemment sur le côté en lui ordonnant : « Ne me parle pas sur ce ton sarcastique. » « Je disais simplement la vérité. Mais, pour être honnête, le divorce ne serait-il pas, en fin de compte, une forme de délivrance pour toi ? Tu avais envoyé Sophie en secret à l'étranger, et ce fameux voyage d'affaires de deux mois, en réalité, tu l'avais passé avec elle. Tu en avais donc assez de ce mariage, n'est-ce pas ? Tu avais dû beaucoup souffrir durant toute cette année. » Rien qu'à penser à tout cela, Clara a ressenti plusieurs frissons désagréables lui parcourir le corps. Même si elle avait toujours su, avant même leur mariage, que cet homme avait Sophie dans son cœur, et que sa gentillesse envers elle pendant cette année n'était qu'une question de devoir, elle avait tout de même cru qu'au moins durant cette année de mariage, il lui avait ét

« Maman, c'est toujours cette expression que j'ai, je suis comme ça avec tout le monde. » Il cherchait en quelque sorte à se justifier, expliquant qu'il ne visait pas Juliette intentionnellement. En réalité, il était assez content de voir sa femme, mais il avait du mal à l'exprimer. De toute façon, Juliette ne semblait pas y prêter attention.« C'est ta femme, ce n'est pas pareil avec les autres, tu comprends ça, hein ? » Élodie a levé le doigt en le désignant d'un geste à la fois amusé et reprochant un peu, « toi, tu… » « OK, maman. » Juliette a alors pris son bras, s'accrochant doucement, « Allons manger, c'est rare que nous soyons tous réunis, alors ne parlons pas aujourd'hui de choses désagréables, d'accord ? » Les paroles de Juliette semblaient porter un sous-entendu subtil, comme si elle avait voulu faire passer un message sans trop en dire.Édouard a aussi perçu quelque chose et a froncé les sourcils, mais il n'a pas ajouté le moindre commentaire, préférant rester silencieux.

Maxime a souri doucement, sans montrer de colère. « J'ai compris, grand-mère, je le ferai », a-t-il dit calmement.Il a pris la main de Clara de son propre gré.En voyant l'homme serrer sa grande main, Clara a ressenti une douleur au cœur. Il jouait son rôle à la perfection, mais en réalité, son esprit était ailleurs, tourné vers une autre femme.Tout le dîner de ce soir n'était qu'une mise en scène, une illusion. Dès qu'ils rentreraient, ils redeviendraient deux étrangers brisés l'un pour l'autre. Cette pensée lui a paru si triste.Même si son cœur souffrait profondément, Clara a gardé un sourire sur son visage. Elle a fait semblant de soutenir Maxime en le regardant avec des yeux pleins d'amour.Maxime a tourné la tête et a croisé le regard de Clara. Il a eu un bref moment de distraction en constatant que ses yeux semblaient déborder d'un amour pour lui. Sa comédie a été si parfaitement maîtrisée que n'importe qui l'entendant aurait cru qu'elle l'aimait sincèrement. Pourtant, en réal

« Si par maison tu entends celle que nous partageons tous les deux, alors assieds-toi sur le siège passager, je conduirai pour te ramener. Mais si tu parles de chez Sophie, je peux demander au chauffeur de t'y emmener immédiatement. En tout cas, tu ne peux pas conduire toi-même. Sinon, que ferais-tu si tu percutais quelqu'un sur la route ? » « Hum. » L'homme a laissé échapper un léger rire moqueur. « Alors ce n'est pas toi qui t'inquiètes pour moi, mais tu as peur que ce soit un inconnu qui soit victime de ma conduite. » Clara a froncé les sourcils. « Ne devrais-je pas m'inquiéter pour ça ? Celui qui conduit en état d'ivresse mérite qu'il lui arrive quelque chose, mais les pauvres personnes qu'il blesse ne sont en rien responsables. » Dès qu'il a entendu le mot « mérite », une colère sourde s'est allumée en lui. Il a agrippé brusquement son épaule frêle et l'a interrogée d'un ton presque agressif : « Tu dis que je le mérite, c'est ça ? » « Je donnais juste un exemple, tu n'as pas