Lahat ng Kabanata ng L’Épouse Répudiée: Kabanata 21 - Kabanata 30

Inès Es-SalamCette nuit était la plus merveilleuse de toute mon existence, même si par la suite, il a ressenti des remords- Et pour quelle raison ? interrogea Cora.- Plus tard, lorsqu'il a appris que je n'avais jamais été avec un homme, il a exprimé des regrets de n'avoir pas été assez tendre. Pourtant, à mes yeux, il était parfait, confia-t-elle, un soupir de contentement s'échappant de ses lèvres.- Je suis contente pour toi, mais je tiens à avoir un mot avec Nick. S'il te fait le moindre tort, je l'étouffe avec mon t-shirt où il est écrit 'salaud', prévint-elle.Un fou rire les prit toutes les deux.- Alors, tu le crois vraiment ? lui demanda-t-elle curieuse.- Oui, sans l'ombre d'un doute, il est l'homme de ma vie, affirma-t-elle avec conviction._______________Ce jour-là, Cora rentra chez elle, espérant que Zayn soit déjà parti. Rayan l'accusait, et elle en connaissait la raison. Elle ne voulait pas discuter de leur père avec lui. Égoïstement, elle espérait qu'il ne découvrir

*Oh non *fut la dernière chose qu'elle prononça avant de s'écrouler sur le canapé.Il ne manquait plus que ça, songea-t-elle. Inès avait toujours eu du mal à gérer ses émotions, mais cela lui importait peu. Elle avait deux options : la laisser là ou la mettre dehors, et étant donné sa grande générosité, elle opterait pour la deuxième.Elle sourit en y repensant."Maman, elle est m0rte la dame ?" demanda Rayan."Non, elle s'est évanouie," répondit-elle."Pourquoi ?""Je ne sais pas. Va appeler le chauffeur qui est dehors, il faut qu'il la ramène chez elle," dit-elle après quelques minutes."Non, regarde, elle se réveille," s'exclama Kenza.Cora se tourna vers Inès, qui avait posé ses mains sur ses joues et clignait des yeux, perdue."Où suis-je ?" demanda-t-elle avant de pousser un cri d'effroi en voyant Rayan lui tendre un verre d'eau."Vous vous êtes évanouie, et maintenant que vous êtes réveillée, partez Sa reine Inès Es-salam" ordonna Cora froidement."Comment est-ce possible ? Zay

Elle se retourna.- Une fille, tu dis ? Allons voir.Cassie et elle descendirent au salon où elles trouvèrent une jeune femme rousse, mesurant environ1m61, certes peu propre mais très belle malgré d'énormes cernes. Elle semblait fatiguée et affamée.- Bonsoir, mademoiselle, je suis Cora. Que puis-je faire pour vous ?- Bon... bonsoir, balbutia-t-elle timidement, je m'appelle Diana, Diana Evans et j'ai21 ans.- Evans ?Ce nom lui disait vaguement quelque chose sans qu'elle puisse se rappeler pourquoi.- Je suis la fille de Pierre Evans.- Quoi ? Attends deux secondes, tu es la fille de Pierre Evans, mon oncle ?- Oui, répondit-elle, la tête baissée.L'homme qui les avait abandonnées, elle et sa tante, plongeant cette dernière dans l'alcool et la drogue. Il avait donc eu une fille.- Je vous en prie, mademoiselle, pourriez-vous m'héberger le temps que je trouve du travail ? Je suis nouvelle ici et cela fait trois jours que je dors dehors. J'ai failli être agressée à plusieurs reprises,

Mais un problème demeurait ; si la fille était très ouverte, le garçon, lui, restait impassible. Sans lui adresser un seul regard, il continuait à assembler sa maquette d'avion, jambes croisées sur le lit.- Rayan, tu ne me dis pas bonjour ?- Bonjour, répondit le garçon sans détourner le regard.Avec lui, la tâche serait ardue.- Monsieur ? Je peux t'appeler papa en secret ? Maman me l'a interdit.- Bien sûr, ma chérie. Je vais en parler à ta maman, et elle sera d'accord.- Où étais-tu ? Pourquoi ne t'ai-je jamais vu ? Maman a dit que tu habitais très loin, dans le désert, c'est pour ça que tu n'es jamais venu nous voir ?Il se préparait à cette question, mais que pourrait-il répondre ? Qu'il avait abandonné leur mère ?- Je t'ai déjà dit qu'il nous avait rejetés, moi et maman. Je ne veux pas lui parler, ni le voir. Qu'il s'en aille comme il l'a toujours fait, déclara Rayan.Allah, pas ça !- Tu racontes des mensonges ! Je vais le dire à maman. C'est faux, hein, papa ? Hein ? Dis à R

Un mois s'était écoulé depuis cette épouvantable semaine où Zayn avait découvert l'existence des enfants. Dès lors, il ne se passait guère une semaine sans qu'il ne passe à la maison. Lilia y avait séjourné deux semaines, occupant ses journées avec les enfants. Quant à elle, elle s'efforçait de l'éviter autant que possible, consciente que leurs rencontres fréquentes pourraient rapidement la faire succomber de nouveau à ses charmes, lui qui ne manquait pas une occasion de la séduire ou de se plier à ses moindres désirs. Sa demeure était transformée en un véritable jardin de roses, lui envoyant des dizaines de bouquets chaque jour dans l'espoir d'obtenir un dîner en sa compagnie. Elle avait fini par accepter, espérant simplement qu'il la laisse en paix par la suite, ignorant qu'elle comptait le faire languir peut-être des mois, voire des années.La voix aiguë de sa cousine la sortit de ses pensées.- Cora, dépêche-toi, il faut faire les courses avant que les enfants ne reviennent de l'é