All Chapters of L’Épouse Répudiée: Chapter 31 - Chapter 40

Il se contenta de hocher la tête et elle disparut dans les escaliers. Il s'assoupit 30 minutes plus tard après avoir demandé au chauffeur de partir.Il se réveilla en entendant le vrombissement d'un moteur. Il regarda sa montre et il était 22h10. Il se dirigea vers la fenêtre et vit Cora en train de discuter avec un homme.Alors, c'était ça! Pensa-t-il avec colère avant de se précipiter dehors.Elle était là, plus belle que jamais, vêtue d'une combinaison rouge qui lui allait à ravir, souriante aux côtés d'un autre homme...Lorsqu'il arriva à sa hauteur, elle parut d'abord surprise de le voir, puis se mit en colère.- Tu es encore là? Je t'avais dit de ne pas m'attendre, lui cracha-t-elle alors que la voiture de Gabriel s'éloignait.- C'est pour lui que tu as refusé de sortir avec moi? ... Cet homme? Qui est-il?Elle entra précipitamment dans la maison sans lui répondre et se dirigea vers la cuisine pour se servir un verre d'eau.- Ma vie privée ne te regarde en rien. Je ne veux plus

Sans plus tarder, l'homme la poussa presque à l'intérieur et la prit dans ses bras, mais elle le repoussa.- On en reparlera plus tard, l'avait-elle entendu dire.Elle souffla puis s'écarta pour le laisser passer, et les enfants se précipitèrent vers lui.- Papa ! crièrent Kenza et Rayan en se jetant dans ses bras.- Ma petite princesse, tu as bien grandi, s'étonna l'homme en prenant sa fille dans ses bras, si ça continue comme ça, je ne vais plus pouvoir te porter longtemps.Cora roula les yeux en voyant la petite sourire fièrement. Il disait ça à chaque fois.- Et toi, fiston, comment as-tu passé la journée ? demanda-t-il.- Bien papa, mais pourquoi grand-mère n'est pas là ? questionna l'enfant. Tu avais dit qu'elle allait venir avec toi aujourd'hui.Il prit nonchalamment place sur le sofa et installa les enfants sur chacune de ses jambes.- Eh bien, votre grand-mère était très fatiguée par le voyage. J'ai préféré qu'elle se repose aujourd'hui, mais elle viendra demain, je vous le p

Diana se servit un verre d'eau avant de continuer.- Et si tu vois qu'il se prend la tête en pensant que tu lui as déjà tout pardonné, ne porte pas ce qu'il t'a offert.- Eh, mais tu peux être diabolique quand tu veux.- Non, je suis logique. Si tu ne l'aimais pas autant je...- Qui t'a dit que je l'aime ?- Pas de ça avec moi, tu l'aimes et à la folie.- Non, c'est...- C'est ton premier amour et personnellement, si un homme m'avait fait ce que lui t'a fait et que je ne l'aimais pas, je lui aurais pardonné dans... Deux cents, trois cents ans, donc une belle façon de dire jamais.- Je ne l'aime plus.- Si tu le dis.- Diana, tu es en train de me faire peur là, je commence à stresser. Qu'est-ce que tu fais toi quand tu es au bord du gouffre ?- Je...- Tu lis, c'est ça.- Mais non, je ne lis pas tout le temps.- Alors ?- Je... Je danse.Cora se leva les yeux grands ouverts.- Tu fais du striptease ?- Cora ! Cria-t-elle.- D'accord, c'était une blague, mais quelle danse tu fais ? Je n

Cora ne pouvait se mentir davantage ; elle l'aimait. Oui, son amour était même plus profond qu'il y a six ans, une réalité qui l'a frappée violemment.- Je ne l'ai jamais aimé autant que je t'aime. Je m'acquittais seulement de mes devoirs conjugaux. Je ne voulais pas lui donner une raison de m'être infidèle.- Écoute, je t'ai pardonné mais je ne peux pasoublier cela si rapidement, je...Les larmes étaient sur le point de couler. Elle l'aimait, mais elle refusait de continuer à souffrir. Elle désirait qu'il éprouve aussi la douleur qu'elle avait subie ces dernières années.- Accorde-moi une seconde et ultime chance, je t'en supplie habibti, fais-le pour nos enfants.- J'ai dit que je te pardonne, mais cela ne signifie pas que je te donne une autre chance.- Et pourquoi pas ? Tu m'aimes, ne le nie pas.- Je..., Il ne lui permit pas de terminer et captura ses lèvres avec force.Cora y répondit par instinct. Elle n'avait jamais réussi à lui résister et à présent, c'était encore pire. Inut

Alors, tous ses souvenirs lui revinrent ; toutes les fois où elle se pensait victime d'une hallucination.- J'imagine aussi que c'était toi, le jour de l'accouchement ?!- Oui, c'était moi ; j'étais de passage et mon détective m'a informé de ton état. J'ai tout de suite foncé à l'hôpital, déclara-t-il d'une traite. J'ai vu Rayan et Kenza naître, mais j'ai toujours refusé de voir leurs visages parce que je pensais que c'était à cause d'eux qu'on n'était plus ensemble.- C'était donc toi. Même le jour de ma remise de diplôme, j'imagine, et c'est encore toi qui as fait en sorte que j'obtienne le lieu où j'ai ouvert mon cabinet.Son silence confirma ses dires.- Moi qui pensais que j'hallucinais.Il y eut un silence.- Pardonne-moi, habibti... je t'aimais trop pour te laisser comme ça.- Par le plus grand des hasards, as-tu suivi des études pour être psychopathe ?Il se rapprocha d'elle, la souleva et la mit sur ses genoux.- Qu'est-ce que tu fais ? s'écria-t-elle en essayant en vain de s