All Chapters of Mon Alpha , Mon addiction : Chapter 11 - Chapter 20

_ Bonjour mademoiselle moi c'est Gertrude la gouvernante , le roi m a dis de vous donner un poste en tant que servante mais avant j aimerais connaître votre prénom _ Bella , je me prénomme bella _ D accord Bella , savez vous faire la cuisine ?? _ Oui je cuisine très bien _ D' accord , vous allez donc travailler en cuisine , c'est l' endroit le moins difficile pour vous , vous devrez faire à manger avec les autres servantes mais avant je vais vous mettre à l essais pour être sûr que vous êtes bonne _ D accord madame _ Or mis la cuisine vous devez vous occuper de la suite du Roi , changer les draps , préparer son bain , faire sa lessive bref tout ce qu'il faut pour que sa suite soit propre _ Daccord madame _ Autre chose , en arrivant ici vous avez vu un côté du roi qu'il montre très rarement , faites attention à vous , n essayez jamais de le séduire , ou quoi que se soit de ce genre si non vous mourrez , plusieurs ont essayée mais elles ont toute vu leur vie quit

Point de vue de Bella Déjà deux semaines , deux semaines depuis mon arrivée ici , et pour la première fois de ma vie je me sens à ma place quelque part , je suis certe la seule humaine sur ces terres mais je suis traitée comme si j'étais des leur . Tout le monde m'adresse la parole , je sais que d'autres le font par curiosité , car la majeure partie des membres de la meute ne sont jamais sortis du territoire , seuls les gardiens du royaume de la déesse , les alphas et les membres de haut rang peuvent sortir du territoire du royaume . Je me suis faite une amie , Leila , c'est elle qui m'a tout raconté sur leur monde , le roi est le gardien celeste du royaume de la déesse et autour de lui il y a douze autres gardiens , se sont eux qui font les lois et veilles à la securité de toutes les autres meute , la meute de la montagne bleue est la meute la plus puissante et la plus riche et tout le monde craint le roi car il est cruel et impitoyable et apparement il y a une malédiction qui p

Point de vue de Bella Je sais que je pourrais peut être mourir après ça mais pour une fois dans ma vie je connais ce que c'est que désirer et être désiré . chacun des baisé du roi me rendais folle , même Eric au tout début de notre relation n avait pas ce pouvoir sur moi , tout en moi le voulais . Il me porta et me déposa sur son lit , je n'avais presque plus ma robe et mon haut en col roulé m a été retiré , je n avais qu'un soutien gorge . Il s'arrêta un moment et me regarda en caressant mes seins prisonniers , il retira mon soutien sans même me demander mon avis , j'étais comme clouée sur ce lit , je n'avais plus aucune volonté . Il me regarda et ses yeux étaient rouges , mais bizarrement je n'avais pas peur au contraire cela m'excitait , il recommença à m embrasser , puis descendit vers mon cou exposé et je pouvais sentir ses crocs caresser ma peau , avant de saisir l un de mes seins dans sa bouche _ mmmmmhhhh ..............monsieur ; j'ai gémi en agripant ses beaux cheuveux

Narrateur Le soleil n’était pas encore complètement levé lorsque Bella descendit dans les cuisines. L’atmosphère y était déjà animée : les marmites tintaient, les cuisinières s’affairaient, les odeurs de pain chaud et de ragoût épicé emplissaient la pièce. Elle avait espéré que s’y replonger suffirait à faire taire le tumulte dans son esprit. Mais elle se trompait. Chaque ustensile qu’elle lavait, chaque panier de légumes qu’elle portait, chaque four qu’elle alimentait semblait charger son cœur d’un poids supplémentaire. Kael. Elle aurait voulu chasser son nom, mais son esprit n’en faisait qu’à sa tête. Son regard, sa peau contre la sienne, sa voix rauque dans le noir… Elle avait tout senti. Tout gravé. Et c’était précisément pour cette raison qu’elle ne devait plus jamais le croiser. — Bella, tu vas bien ? demanda Gertrude en l’observant de biais. — Oui. Oui, ça va, répondit-elle un peu trop vite, sans lever les yeux. La vieille femme plissa les yeux, peu convaincue,

Chapitre – L’amie et la Prophétie — Tu danses comme si tu portais le monde sur les épaules, murmura une voix douce. Bella releva les yeux, surprise. Elior, un plateau en main, l’observait depuis l’encadrement de la porte de la cuisine. Elle était en train de ranger des épices, les bras couverts de farine, les joues rouges de chaleur. — C’est juste une longue journée, dit-elle avec un petit sourire. — Et pourtant, tu souris toujours. Impressionnant. Elle le fixa un instant. Il n’avait pas le regard lourd comme certains hommes du château. Il semblait réellement sincère. Simple. Apaisant. — Tu es bon pour flatter les gens, Elior ? Il rit doucement. — Pas vraiment. Mais je reconnais ce qui est vrai. Tu es différente. Pas comme les autres ici. Bella baissa les yeux. Elle ne voulait pas laisser son cœur s’ouvrir. Elle ne voulait pas... espérer. Pas après ce qu’elle avait ressenti dans les bras du roi Mais elle ne pouvait nier que parler à quelqu’un d’autre lui faisait du