All Chapters of Féconde-moi. Papa Alpha: Chapter 81 - Chapter 90

Au début, je n'ai pas bougé.J'ai entendu la porte se fermer derrière moi. Clic. Pas un claquement. Pas un grincement. Juste ce clic sec et discret qui a sonné le glas. Comme le bruit que faisait la porte d'une cellule, lorsqu'elle vous enfermait avec tout ce qui vous effrayait et tout ce que vous désiriez.Ma poitrine s'est soulevée.Puis s'est affaissée.Puis s'est soulevée à nouveau, beaucoup trop vite.Je pouvais sentir l'air contre ma peau... frais, vif, impitoyable. Chaque centimètre de mon corps était nu. Chaque partie de mon corps le savait. Mes fesses me brûlaient encore.Mes cuisses étaient glissantes. Mon sexe palpitait, comme s'il n'avait pas appris à s'arrêter. Et sa voix résonnait encore dans mes oreilles, me parcourant l'échine, enveloppant mon corps comme une seconde peau dont je ne pouvais me débarrasser.« Monte. Sur. Le lit. »Je me suis retournée lentement.Il était déjà à l'intérieur. Il réduisait déjà la distance entre nous. Il supprimait déjà le dernier

~Lyra~Il continuait à me pénétrer. Fort. Profondément. Rapidement. Chaque coup était plus fort que le précédent. Ses mains agrippaient ma taille, comme s'il s'accrochait à son dernier soupçon de contrôle avant de le perdre.Je sentais qu'il grossissait. Qu'il s'épaississait. Son nœud gonflait. Cette pression dure et ronde à la base de son sexe commençait à m'étirer à nouveau.J'ai crié. Pas de peur. De désespoir.« Oui. », ai-je hurlé. « Oui, s'il te plaît. Lie-moi. Lie-moi encore. Je veux le sentir. Je veux te sentir gonfler. Je veux le sentir se bloquer. Je veux sentir ton sperme gicler en moi et y rester. »Il m'a donné une claque sur les fesses. Si fort que le son a résonné.« Tu veux le nœud de papa ? », a-t-il dit. « Tu veux que je verrouille cette petite chatte, et que je te remplisse si profondément que ça coule pendant des jours ? »« Oui, s'il te plaît, baise-moi. », ai-je crié, ma voix se brisant sous le poids de mon besoin, de ma chatte déjà brûlante.« S'il te pla

~Lyra~Quand son sperme était encore chaud et épais en moi et que j'étais trop remplie pour bouger, trop endolorie pour penser, trop mouillée pour prétendre que je n'avais pas adoré chaque seconde de cette expérience obscène.J'ai soulevé légèrement mes hanches, même si son nœud était encore gonflé et enfoncé si profondément en moi que cela me faisait mal.Et dès que j'avais bougé ?Une nouvelle quantité de sperme s'est échappée.« Oh mon Dieu. », ai-je gémi à nouveau, plus fort cette fois. « Ça continue de couler de moi. Je le sens couler le long de mes cuisses. Je l'entends. Je suis tellement remplie, papa. Tu m'as si bien fécondée. Je sens ta bite trembler en moi. Je ne peux pas m'empêcher de me contracter. »Il a tendu la main et m'a donné une claque sur la chatte.J'ai hurlé.Le son qui est sorti de ma bouche n'était même plus un gémissement, c'était un putain de cri.« Tu aimes ça, ma petite fille ? », a-t-il grogné à mon oreille, d'une voix rauque, grave et suffisante.

~Lyra~Ma mère m'a rappelée et je n'aurais pas dû décrocher. Je jurais devant Dieu que dès que mon doigt avait effleuré l'écran, et que cet appel avait été connecté, j'ai su que je commettais la plus grosse erreur de ma vie.Ma chatte était encore enflée. Le nœud de Damon était toujours en moi. Je pouvais littéralement sentir son sperme couler hors de moi, comme du miel s'écoulant d'un donut trop rempli, et pourtant, ma connerie m'a poussée à répondre au téléphone, comme si c'était le bon moment pour discuter avec ma mère.« Allô. », ai-je dit, et ma voix sortait comme si je venais de courir un marathon tout en sanglotant pendant une scène porno. Ma gorge était à vif. Mes lèvres étaient encore humides. Tout mon corps tremblait. J'avais l'air d'une fille qui venait de se faire démolir. Parce que c'était exactement ce qui m'était arrivé.« Lyra ? », a-t-elle dit, et j'ai eu immédiatement envie de jeter le téléphone à travers la pièce. Sa voix était si aiguë, si claire, si pleine de s

~Lyra~« ...il semble être un homme qui prend la discipline très au sérieux. »J'ai cligné des yeux. J'ai cligné à nouveau des yeux. J'avais envie de crier.Ma mère venait de prononcer le nom de Damon Vitrozon. L'homme qui était actuellement enfoui si profondément en moi, que je pouvais sentir son cœur battre dans mon sexe. L'homme qui m'avait fait jouir quatre fois et qui, à cet instant précis, frottait mon clitoris endolori et gonflé avec deux doigts, comme si j'étais son jouet sexuel personnel. L'homme que ma meilleure amie appelait littéralement « Papa » il y a deux jours.Elle venait de qualifier cet homme de modèle.« Je pense qu'il t'aidera à rester sur la bonne voie. », a poursuivi ma mère, comme si elle ne parlait pas de ma ruine en temps réel. « Tu as toujours été un peu... impulsive. Rebelle. Mais lui, il est ferme. Concentré. Protecteur. »J'ai poussé un cri.Ce n'était pas un gémissement. Pas cette fois-ci.C'était une sorte de mélange entre un sanglot étouffé, un