Lahat ng Kabanata ng Maître François, Claire dit qu'elle ne reviendra pas: Kabanata 181 - Kabanata 190

« Comment ? » Le visage de la vieille dame exprimait la surprise. « Ce petit garnement était vraiment très turbulent ! Je suis désolée, ses parents ont divorcé et nous venons d'emménager hier. J'étais tellement occupée à ranger la maison que je n'ai pas fait attention. Je vous promets que cela ne se reproduira plus ! »La sincérité de ses excuses était évidente.Le gestionnaire a insisté plusieurs fois : il fallait absolument surveiller l'enfant. Si celui-ci voulait jouer avec des bulles de savon, il devait le faire dans le jardin en bas.La dame âgée a promis maintes fois qu'elle surveillerait bien son petit-fils. Son attitude repentante était vraiment irréprochable.Claire comprenait que ce n'était pas facile pour une personne âgée de s'occuper d'un enfant, d'autant plus qu'à cinq ou six ans, les garçons traversaient souvent une période espiègle. Un léger soupir s'est échappé de ses lèvres. Son regard s'est adouci légèrement malgré la tension persistante dans ses épaules.Elle n

Quand il était presque vingt et une heures, elle avait presque fini de ranger ses affaires. La douce lueur de la lampe l'enveloppait, illuminant les grains de poussière qui dansaient dans l'air calme, tandis qu'elle pliait le dernier pull.C'était à ce moment-là que François a appelé.Claire a posé ce qu'elle avait dans les mains pour répondre au téléphone.« Je rentre à la Montaigne aujourd'hui. » La voix grave de François est venue de l'autre bout du fil.Claire a répondu d'un ton neutre : « On va au Tribunal Judiciaire cet après-midi ou demain ? » Elle gardait les yeux fixés sur la boîte en carton à moitié remplie.« Je ne suis pas libre cet après-midi. »« Claire, tu veux emporter ces livres ? » La voix d'Olivier est venue du salon. C'était joyeuse, légèrement étouffée par la distance et les piles d'affaires.Claire s'est retournée pour répondre : « Prends-les tous. »« D'accord, je vais tout emballer pour toi, mais j'ai déjà quelques-uns de ces livres chez moi, on peut les

Après un long moment, la ligne a fini par se connecter.« Flora ? »À l'autre bout du fil, une voix d'homme, grave et rugueuse, a résonné dans le combiné. La respiration de Flora s'est figée aussitôt. Ses doigts se sont crispés sur le téléphone.Ne l'entendant pas répondre, l'homme s'est impatienté : « Flora, je sais que c'est toi. Si tu m'appelles, c'est que tu as des ennuis, n'est-ce pas ? Ne t'inquiète pas, dis un mot et je t'aiderai, quoi qu'il arrive. »Dans l'esprit de Flora a jailli l'image de cette nuit d'orage, le fracas de l'éclair, le corps de Victor basculant du deuxième étage…Elle a inspiré difficilement, la voix tremblante : « J'ai… j'ai besoin que tu m'aides encore une fois. Quand… quand ce sera fait, je… je te donnerai de l'argent. »« Flora, entre nous, on ne parle pas d'argent. »« La seule chose que je puisse te donner, c'est de l'argent ! » a répliqué-t-elle en serrant les dents, peinant à contenir l'agacement qui lui montait au cœur. « Hector, si je revie

Elle est restée un long moment silencieuse, incapable de prononcer les derniers mots.« Olivier s'en sortira, tu dois garder confiance en lui, » a murmuré Élodie d'une voix douce en lui serrant la main pour la calmer. « Et rappelle-toi que tu portes deux bébés. Il ne faut surtout pas te laisser submerger par l'émotion. »Claire a baissé les yeux et a posé instinctivement la main sur son ventre arrondi. Elle a dit « Olivier a été blessé pour me protéger. L'arme… le canon était dirigé sur moi. »« Tu as vu le visage de l'homme ? » a demandé Élodie avec inquiétude.Elle a secoué lentement la tête. « Tout est arrivé trop vite. Il portait une casquette et un masque, on ne pouvait pas distinguer ses traits. »« Michel a déjà prévenu la police, » a expliqué Élodie. « D'après les images de surveillance, cet homme a agi sur ordre. Sa cible, c'était clairement toi. »Le regard de Claire s'est fait aussitôt glacial. « En France, se procurer une arme à feu n'est pas à la portée du premier ve

« Camille ! » s'est exclamé Flora en se précipitant pour s'asseoir à ses côtés. Elle a levé la main pour lui frotter doucement le dos. « Pardon, ma chérie, maman ne l'a pas fait exprès. J'étais juste trop inquiète et j'ai perdu mon calme. Tu n'as rien ? »La tête baissée, Camille a laissé passer dans son regard une lueur d'aversion. Lorsqu'elle a relevé enfin les yeux, ses paupières étaient rougies, ses prunelles brillaient de larmes. « Maman, excuse-moi… Je n'avais pas d'autre choix tout à l'heure. Je savais que ce que je disais te blesserait, mais je… kof, kof… »« Je comprends, je ne t'en veux pas, » l'a interrompu Flora.« J'étais acculée. Cette demoiselle Dupont a élevé Mathieu pendant cinq ans. Non seulement l'enfant dépend d'elle, mais on dirait même que François la tient en haute estime… »La voix de Camille s'est brisée, pleine de larmes. « Maman, j'ai perdu la mémoire. Je ne sais absolument pas comment m'occuper de Mathieu. Il adore les friandises, et j'ai seulement pen