All Chapters of La Luna Finale De L’Alpha: Chapter 91 - Chapter 100

Damon La lumière du matin a filtré à travers les minces murs de la tente quand Eliot et moi nous sommes réveillés. La première chose que nous avons faite a été de sortir pour vérifier la situation de l'endroit après ce qui s'est passé hier soir. Les voyous qui nous avaient donné un si merveilleux accueil avaient vu un autre côté de nous. Je ne pouvais même pas deviner ce qu'ils ressentaient maintenant, mais sûrement, ils ne seraient pas de la meilleure humeur. Peut-être soupçonneraient-ils que nous leur avons causé des problèmes. Ils pourraient penser que nous nous sommes enfuis après avoir volé ou ils pourraient même penser que nous étions des alphas. À l'extérieur, l'air sentait encore le sang et les cendres de la violence de la nuit. Mais les voyous avaient déjà nettoyé les corps de nos attaquants. Il n'est resté aucune trace du combat, à l'exception des taches sombres sur la terre. Ces gens ont travaillé rapidement. Il savait comment survivre. Comment nettoyer et passer à au

Rhea Je me suis réveillé avec une lumière douce qui se déversait sur les murs et une lumière dorée filtrait à travers les rideaux. La lumière du soleil était chaude contre ma peau et lorsque mes yeux ont scruté la pièce, l'étrangeté m'a laissé abasourdi.Pendant un moment, mon esprit était vide. Vide de mémoire ou de compréhension. J'aurais pu être n'importe où. Aurait pu être n'importe qui.Puis, tout à coup, le souvenir de ce qui s'était passé m'est revenu. J'avais été torturé par Killian et Lucien m'a sauvé et m'a ramené dans sa chambre.Bien sûr, c'est ce qui s'est passé.Je n'étais pas seulement dans sa chambre, j'étais devenu son amant. Le tenir près de lui, prendre soin de lui, l'aimer.Eh bien, jusqu'à ce que je sois assez fort pour m'enfuir.Heureusement, mon dos était différent. La combustion constante s'était transformée en quelque chose de gérable. L'agonie aiguë qui avait rendu la respiration difficile n'était plus qu'un battement terne. Toujours douloureux mais supporta

Rhea Je me suis réveillé au son de voix douces qui dérivaient dans la pièce. Ma tête était lourde et déconnectée de mon corps. Comme si je flottais quelque part au-dessus de moi.La pièce était sombre avec des rideaux serrés contre la lumière du jour. Le médecin se tenait près du lit avec son sac noir ouvert à côté de lui. Lucien planait à proximité, l'inquiétude écrite sur ses traits.« Qu'est-ce qui m'arrive ? » Ma voix est sortie grinçante et faible.Le médecin s'est tourné vers moi avec une préoccupation professionnelle. « J'ai pris un échantillon de votre sang pendant que vous étiez inconscient. J'ai besoin de faire quelques tests pour voir ce qui vous a causé votre évanouissement. »Il a emballé ses instruments avec des mouvements prudents. « Je ramènerai les résultats demain matin. »J'ai hoché la tête parce que parler a demandé trop d'énergie. « D'accord. »Lucien s'est rapproché du lit. Son sourire était doux, mais ses yeux sont restés surveillez. « Vous êtes probablement ép

Rhea Je pouvais entendre mon propre rythme cardiaque - rapide, inégal, comme il voulait sortir de ma poitrine. Les mots de Lucian étaient suspendus dans l'air, lourds comme du fer.Pendant un long moment, je n'ai pas pu respirer. Ma gorge fonctionnait, mais aucun son n'est sorti. En fin de ça. Il l'a dit si calmement, comme s'il discutait de la météo.Comment voulait-il emporter mon bébé ?Qu'est-ce qu'il allait faire ?« Comment ça, tu vas... prendre le bébé ? » Ma voix a craqué. « Je ne comprends pas. »Ses yeux étaient illisibles, mais l'obscurité et la cruauté en eux étaient indubitables.« Je te l'ai dit, Rhea. Je ne le permettrai pas. Je n'élèverai pas l'enfant de Damon. Mon cœur n'a pas d'importance, il ne bat que pour toi.J'ai senti la pièce s'incliner. « Pourquoi penseriez-vous quelque chose comme ça ? Tu n'as pas de cœur ? »« Ça n'a pas d'importance », répéta-t-il, plus doux maintenant, presque tendre. « Tu restes avec moi, jusqu'à la mort. Toujours. »La façon dont il a

Rhea Je me suis réveillé avec un poids doux qui m'appuyait, la lourde couette sentait légèrement la lavande et quelque chose de plus pointu, l'eau de Cologne de Lucian.Pendant un moment, je ne savais pas où j'étais. Le plafond au-dessus de moi était gris pâle, inconnu. Mes paupières étaient trop lourdes, tendues sur mes muscles.Depuis combien de temps j'étais endormi ?J'ai tourné la tête. L'autre côté du lit était vide, les draps étaient lisses comme si personne ne les avait touchés. Un silence assez épais pour m'étouffer s'est installé dans la pièce. J'ai glissé une jambe libre et j'ai mis mon pied nu sur les planchers froids. Le froid m'a fait frissonner, puis tout est revenu d'un seul coup comme une forte tempête.Le souvenir a frappé si fort que j'ai failli m'effondrer.Enceinte.Et le bébé... est parti avant même que j'aie eu le temps de rêver d'un visage ou d'un nom.Ma main a dérivé vers mon estomac. Il semblait creux, un endroit où la vie avait été, puis arrachée. Les larm