Semua Bab La Luna Finale De L’Alpha: Bab 101 - Bab 110

Rhea Je ne sais pas combien de temps je suis dans le noir.La chambre était sombre et sentait le sang et la rouille. Je n'avais aucune idée de l'heure de la journée parce que j'étais gardé dans le noir sans rien, pas même le plus faible signe de vie. C'était la salle de torture et juste par ce qu'on l'appelait, je savais que ce ne serait pas une balade amusante.C'était à cause du fait que je l'ai poignardé.Je n'ai eu aucun regret à ce sujet et la seule chose que je regrette, c'est de ne pas avoir terminé le travail. Je voulais sa mort. Disparu. Détruit. Je voulais être celui qui a pris son dernier souffle.Malheureusement, cela ne s'est pas produit à l'époque. Mais cela allait sûrement arriver un de ces jours. Je ne peux pas le laisser sortir de cette vie.La porte grince.La lumière pâle traverse le sol.Lucien est entré. Je le savais grâce à sa position et à la faible lumière qui éclairait la pièce. Mais quand la porte s'est fermée, la lumière s'est évanouie. Il s'est avancé dans

RheaJe ne savais pas combien de temps j'étais là. La chambre était une caverne d'obscurité. Mes mains étaient crues de la chaîne. Mes poumons étaient pleins d'air froid qui avait le goût du métal et de la poussière.Je me suis assis par terre parce que m'asseoir sur le sol était la seule chose que je pouvais faire qui faisait moins mal que de rester debout.La porte lourde s'est ouverte avec un son lent et cruel. L'ombre de Lucien traversa d'abord la pièce, puis son visage. Il avait l'air heureux de me voir comme un homme qui avait trouvé un prix qu'il possédait déjà.« Vous avez changé d'avis ? » Il a demandé, comme si la question était une sorte de blague. Ses sourcils étaient levés et il avait l'air d'avoir vraiment attendu que je change d'avis, croyant que la torture qu'il me servait me ferait changer d'avis.« Non », ai-je dit. Ma voix était aussi dure qu'une pierre. « Soit tu meurs, soit je le fais. C'est la fin. »Il a ri doucement et brillamment, comme s'il appréciait une bla

CélineJe me tenais dans la petite cuisine pour aider le chef du village à écraser les racines en poudre. Bien que je ne voulais rien faire de tel, mais après les mots de Damon l'autre jour sur l'aide, elle semblait vraiment intéressée à ce que je vienne l'aider.J'ai donc décidé de faire ce que je pouvais et de venir l'aider quand elle en avait besoin.Puis je l'ai entendu.Une vibration douce. C'était faible au début, puis c'est devenu plus fort. Le son est venu de ma poche.Mon estomac est tombé.Si elle savait quelque chose sur le téléphone dans ma poche, le dirait-elle à Damon et cela l'amènerait-il à poser des questions ? Je ne savais pas quoi dire à ce stade.J'ai jeté un coup d'œil à la vieille femme à côté de moi. Sa tête s'est penchée sur le pot pendant qu'elle remuait. J'ai prié pour qu'elle n'ait pas entendu le bourdonnement. Mais ça a continué.« J'ai besoin d'un peu d'air », dis-je rapidement. J'ai essuyé mes mains sur ma jupe avant qu'elle ne puisse répondre.Je me suis

DamonCéline ne m'a pas répondu. Elle ne regardait qu'avec de grands yeux et un visage qui était devenu pâle comme le clair de lune. Puis elle a commencé à reculer.« Céline », ai-je dit brusquement.Mais elle a fait un autre pas en arrière.Avant qu'elle ne puisse bouger à nouveau, j'ai attrapé son poignet et je l'ai tirée vers moi. Elle a haleté. La peur a traversé son visage comme un éclair.« Dis-moi la vérité », ai-je dit en serrant les dents. « Êtes-vous celui qui a amené ces charognards ici ? »« Je n'ai rien fait ! » Elle a pleuré. Elle a essayé de libérer sa main de ma prise.« Tu mens », ai-je craqué. « Je ne vous ai jamais parlé du fait que je voulais partir après avoir eu affaire aux charognards. Je ne l'ai dit à personne, sauf à Eliot. Alors, comment l'avez-vous su ? »Elle déglutit fort. « Je vous ai entendu, vous et Eliot, parler », a-t-elle dit rapidement. « C'est comme ça que je l'ai su. J'ai pensé que je devrais peut-être demander si tu voulais partir maintenant. »M

DamonJe me suis approché d'elle avant de pouvoir réfléchir. L'instinct m'a ému plus que la pensée. La forme d'elle dans la porte, la façon dont elle avait l'air de se briser à tout moment, m'a donné envie de l'atteindre. Je me suis avancé en tendant les bras.Elle a reculé comme si je l'avais brûlée. Ses yeux étaient vitreux et vides de larmes, mais il y avait un poids qui m'a fait tomber l'estomac.« Rhea », ai-je commencé. Je l'ai de nouveau contactée.Elle s'est éloignée si proprement qu'elle ressemblait à une gifle sur mon visage. Elle m'a regardé comme si elle voyait un fantôme.« Êtes-vous vraiment vivant ? » Elle a demandé. Sa voix était petite et brisée.« Oui. » Le mot s'est perdu dans ma gorge. J'ai encore essayé. « Oui. Je suis ici maintenant. »Elle a frotté son pouce le long de sa lèvre inférieure, comme si elle essayait de donner un sens à quelque chose d'impossible. « Ils m'ont dit que tu étais mort », a-t-elle déclaré. « Je ne t'ai pas vu depuis plus d'un mois. Je pen