บททั้งหมดของ Divorcée et oubliée, elle a ébloui le monde: บทที่ 121 - บทที่ 130

Julie discutait tranquillement avec le prêtre, savourant son thé de l’après-midi.En plein moment de détente, elle a vu Claire et Gérard entrer. Claire s’est excusée auprès du prêtre et a tiré Julie vers la sortie.« Attends, pourquoi partir si tôt ? On n’a rien de prévu en rentrant ! » a protesté Julie, perplexe.« Comment ça, rien de prévu ? On a des tonnes de choses à faire ! » a répondu Claire.Une fois dehors, elle a baissé la voix : « Mamie, tu vas rester au même endroit toute la journée ? C’est le Nouvel An, on peut explorer un peu, voir d’autres lieux. Peut-être qu’il y a des activités dans d’autres églises ! »Julie a eu un instant d’arrêt : ce n’était pas faux.Mais quelque chose lui semblait bizarre. L’après-midi était déjà bien entamé, et Claire n’était-elle pas d’ordinaire peu intéressée par ce genre de choses ?Elle a gardé ses doutes pour elle.En visitant plusieurs lieux, Julie s’est laissée emporter par l’enthousiasme.L’important, c’était de prier d’abord.De toute

Les hommes suspects était tout proche, et la situation devenait critique.Pour ne pas alerter les hommes, Claire n’a pas osé passer un appel. Elle a sorti son téléphone, l’a mis en mode silencieux et a envoyé des messages rapides à Marie, Gérard et au propriétaire du gîte, en joignant sa position en temps réel.Elle a prié pour que quelqu’un se réveille tôt, voie le message et appelle la police. Mais ce n’était pas assez sûr.Alors elle a basculé sur l’écran de SMS, a tapé en vitesse sa position et la situation, a ajouté l’indicatif régional, puis a envoyé des messages d’alerte aux numéros d’urgence liés au 17, au 15 et au 119.Autrefois, pour collecter la matière pour ses créations, elle s’était fait passer pour une journaliste et s’était infiltrée dans des zones montagneuses reculées pour enquêter sur des traditions locales. Elle avait croisé des bandits et s’était constitué un réseau de contacts, ce qui lui avait donné une certaine expérience.Peu importait qui recevrait son mess

Claire s’est réveillée et a immédiatement remarqué qu’il y avait quelqu’un de plus dans le lit.En découvrant qu’il s’agissait de l’enfant qu’elle avait sauvé, elle n’a pas osé bouger, restant allongée.Gérard a jeté un regard noir à l’enfant blotti contre elle et a serré les dents : « Ce gamin s’est réveillé peu après son arrivée à l’hôpital, mais rien à faire, personne n’a pu le convaincre. Dès qu’on essaie de le séparer de toi, il se débat et hurle comme un possédé. Il a fait un tel raffut qu’on craignait d’aggraver ses blessures bandées. Du coup, on vous a laissés ensemble. »Claire a compris. L’enfant était si jeune, et après une telle épreuve, il manquait cruellement de sécurité. Seule elle, sa sauveuse, pouvait lui offrir un semblant de réconfort.Mais… « Les parents de l’enfant ? Ils ne sont pas encore là ? »Gérard a secoué la tête. « On ne sait pas encore. La police enquête et essaie de les contacter. »Claire a hoché la tête. Après seulement deux phrases, elle a senti

Claire a tapoté doucement la tête de Gérard :« Ne dis pas de bêtises. »Elle a aussitôt senti une pointe d’amertume lui serrer la poitrine. Elle n’avait même pas réussi à bien éduquer son propre fils, et Théo s’est toujours montré distant avec elle. Rien que d’y penser, son cœur s’est alourdi.…Au bout de quelques minutes, Marie est revenue.Elle venait tout juste de régler les formalités d’hospitalisation. Sans même avoir poussé la porte, sa voix a résonné dans le couloir :« C’est dingue ! En allant payer, les infirmières m’ont dit qu’un homme avait déjà tout réglé, sans laisser son nom. On dirait un vrai saint-bernard, ce type ! »Claire a haussé un sourcil, et elle a deviné :« Omar, peut-être ? »Gérard a ricané. « Hypocrite. »« Omar ? Omar Lepoint ? »Marie a tiré une chaise, s’est assise, puis a bu deux longues gorgées d’eau avant de demander :« Qu’est-ce qu’il est venu faire ici ? »Claire a baissé les yeux vers l’enfant endormi dans ses bras :« C’est son neveu. »

Mais la phrase suivante de Marie a figé la main de Claire qui caressait l’enfant, un frisson lui parcourant l’échine.« Le soir du drame, l’enfant était à la maison. »…Cette nuit-là, la nourrice s’occupait de l’enfant à domicile.Plus tard, devant le tribunal, elle avait expliqué au tribunal qu’elle ne voulait pas que le scandale familial s’ébruite.Mais la dispute avait dégénéré en crime.Les cris dans la maison avaient été si violents qu’ils avaient alerté un voisin. La porte, mal fermée, s’était ouverte facilement.En entrant, le voisin avait été pétrifié par la scène.Iker gisait dans une mare de sang. À ses côtés, l’enfant de trois ans, tenant un jouet en peluche, était couvert de sang de la tête aux pieds. Ses yeux clairs fixaient le vide, sans larmes ni cris, comme hébété.La mère, un couteau à la main, semblait prête à frapper son propre fils.Sans l’intervention du voisin, ce soir-là, Iker n’aurait pas été la seule victime : un enfant serait mort aussi.Claire a senti so