Lahat ng Kabanata ng Divorcée et oubliée, elle a ébloui le monde: Kabanata 141 - Kabanata 150

Élise a encore eu du mal à accepter tout ce qu’elle avait appris sur Claire. Comment pouvaient-ils être nés de la même mère ?Elle a fixé Hugo, le cœur rempli d’un mélange d’inquiétude et d’irritation.« Quel imbécile ! » Hugo a encore baissé la tête, les yeux rouges, n’osant pas répondre.Élise a passé une journée à encaisser des chocs successifs, et plus elle y a pensé, plus la colère lui est remontée. Pourtant, malgré ses insultes, elle s’est approchée et, en pestant encore, elle a pris des cotons imbibés de désinfectant pour soigner les blessures d’Hugo.…Quant à Claire, elle n’a pas cherché à s’attarder sur ce qui s’est passé du côté d’Élise. Les résultats étaient évidents.Ces derniers jours, elle a enfin eu la paix, sans personne pour venir la déranger. Elle a pu se concentrer sur ses projets de création. Elle a même demandé à Gérard d’aller chercher des feuilles de dessin chez elle. Sans accès à un ordinateur, elle a commencé à esquisser ses premières idées sur papier.

Claire a naturellement refusé.Cependant, elle n’a pas pu s’empêcher d’appeler Omar à part pour lui glisser un conseil.« Je trouve que cet enfant montre des signes d’autisme. Bien sûr, je ne suis pas experte, je ne peux pas être précise, mais en tant que parent, tu devrais passer plus de temps avec lui. Emmène-le voir un psychologue de temps en temps. Les problèmes psychologiques des adolescents, ça ne se prend pas à la légère. Plus tôt on s’en occupe, mieux c’est. »Omar a eu le cœur lourd.Il avait déjà consulté des psychologues. Après que Viliers avait assisté, enfant, à la scène où sa mère avait tué son père, avant de manquer lui-même d’être tué, il avait subi un choc immense. Sa mémoire en avait été affectée, oubliant les détails de l’événement, mais les séquelles psychologiques persistaient. Il parlait de moins en moins et se montrait extrêmement méfiant envers la plupart des gens.Et, sans qu’on sache pourquoi, en grandissant un peu, il avait développé cette manie de fuguer p

Gérard s’est exclamé, faussement vexé : « Je ne suis pas aussi gros que ça ! »Claire a ri en esquivant, refusant de modifier son dessin.Après s’être amusés un moment, ils ont rangé les restes du repas. Gérard a passé la nuit sur le lit d’accompagnant dans la chambre d’hôpital.Dans quelques jours, son université reprendrait, et son directeur de thèse, un académicien en mathématiques, avait de grandes attentes à son égard. D’une sévérité redoutable, il ne lui laisserait que peu de temps libre une fois la rentrée arrivée. Gérard voulait donc profiter de ces derniers jours pour passer le plus de temps possible avec Claire.…Au N Laugh Club, le soir de l’Épiphanie, Omar avait réservé un salon privé dans son club exclusif et avait réuni quelques amis d’enfance pour fêter l’occasion.En plein milieu d’un verre, il a reçu un message de Viliers. Ce garçon, d’ordinaire si renfermé et difficile à approcher, lui envoyait rarement des messages. Omar a donc ouvert celui-ci sans attendre.C’é

À côté, Omar a observé la scène avec un mélange d’envie et de frustration.Quand est-ce que ce petit lui avait déjà montré autant d’affection ?Vraiment, il n'y a pas plus traître ! Oncle Omar était son préféré auparavant !…À l’entrée de l’école primaire Soleil, Omar a garé la voiture et a pris Viliers par la main pour descendre. À peine sorti, il a aperçu, non loin, deux personnes qui attiraient tous les regards : Gabriel et Sarah.Devant eux se tenait Théo, signe qu’ils étaient venus ensemble pour accompagner l’enfant à l’école.Omar a froncé les sourcils, a hésité un instant, puis a décidé de s’approcher avec Viliers, lançant un salut de loin.Sarah, visiblement ravie de les voir, a posé les yeux sur Viliers. En tendant la main pour lui caresser le visage, elle a dit : « C’est Viliers, n’est-ce pas ? Quel adorable petit garçon ! »Mais avant que sa main ne touche sa joue, Viliers s’est esquivé, laissant la main de Sarah suspendue dans le vide, dans un moment de gêne.Omar, em

Plus Julie y pensait, plus elle trouvait son idée justifiée. Elle a ajouté : « Et puis, quand tu arriveras à Paris, tu seras déjà célibataire, non ? C’est quoi ton problème ? »Claire, à court de mots, a murmuré : « … Pas de problème. »« Alors c’est décidé ! » a tranché Julie, sans laisser place à la discussion. Puis, pressée, elle a conclu :« Bon, je ne te retiens pas, je dois prendre ma correspondance pour Paris. »La Fashion Week de Milan venait à peine de se terminer, et Paris enchaînait aussitôt.Les défilés internationaux du premier semestre s’étaient presque collés les uns aux autres. Mais, l’énergie de Julie n’étant plus ce qu’elle avait été, elle avait confié la plupart à ses apprentis. Elle, elle avait seulement assisté aux plus importants : Paris, Milan, Londres et New York.Voyant Julie si occupée, Claire lui a adressé quelques recommandations de sécurité avant de raccrocher.Il était alors quatre ou cinq heures de l’après-midi. Une lumière douce, non éblouissante,