บททั้งหมดของ Divorcée et oubliée, elle a ébloui le monde: บทที่ 261 - บทที่ 270

« Claire Morea, pourquoi est-ce toujours toi qui as droit à tout ? »Claire a légèrement froncé les sourcils, sans comprendre la nouvelle folie de cette femme. Elle a esquissé un geste pour partir : « Si tu veux pas discuter, je m’en vais. »Sarah l’a fixée un long moment, puis elle a soudain ri d’un air méprisant et a repoussé les documents qu’elle tenait.« Tu sais quoi ? T’es parfois vraiment pitoyable. »Elle a lâché cette phrase, a ouvert la porte et est partie sans se retourner.Il ne restait plus que Claire, seule, dans le salon privé.Qu’est-ce qui lui prenait ?Claire paraissait déconcertée. Elle ne s’est pas souciée davantage, a pris les documents sur la table et les a feuilletés un à un. Mais à la dernière page, sa main tremblait si fort qu’elle pouvait à peine tenir les papiers. Son visage a été pâli.Elle n’y croyait pas !Sarah devait forcément mentir. Comment accorder foi à ce que cette femme apportait ?Mais… et si ce n’était pas faux ?Claire a posé les coud

La main de Claire qui tenait le couteau tremblait.Elle a saisi la pile de documents sur la table, les a lancés vers Gabriel et a demandé d’une voix tremblante : « Tout cela aussi, c’est toi qui l’as fait ? »Les papiers sont tombés en désordre sur le sol.Chaque mot était clair, chaque phrase distincte, confirmant l’absurdité du début de ces sept années de mariage, si misérables et risibles.Gabriel a baissé la tête un instant, puis l’a lentement relevée. Ses yeux brillaient d’un éclat glacial. « T’as osé m’espionner ? »Cette seule phrase a suffi à confirmer ses soupçons.Les yeux de Claire se sont immédiatement rougis. Elle a regardé l’homme devant elle avec incrédulité. Pendant un instant, il lui est apparu étranger. Après sept années partagées dans le même lit, elle n’avait jamais vu son vrai visage.Sa voix a tremblé : « Tu es vraiment fou. »Gabriel est resté inexpressif. « Claire, c’est toi qui m’as trahi la première. Moi, je n’ai fait que ce que je devais faire. »« M

Le tonnerre grondait, les éclairs fusaient.L’intérieur, faiblement éclairé, baignait dans un silence de mort. Le petit robot, toujours allumé, gisait entre eux, son chapeau rouge de travers.Claire se tenait là, les larmes aux yeux.Elle ne pouvait pas décrire ce qu’elle ressentait à cet instant. Par moments, elle croyait halluciner. Pourtant, elle reconnaissait cette voix, la voix de Gabriel jeune, celle qu’elle aurait pu reconnaître entre mille.C’était impossible de se tromper.Son esprit refusait d’y croire. Son cerveau bouillonnait.Ce mariage de sept ans avait été absurde au début, absurde pendant, et encore plus absurde maintenant.Si ce « je ne t’aime pas » répété pendant sept ans avait été un mensonge, alors qu’étaient ces sept années ? Qu’était la vérité, au juste ?Les larmes coulaient sans bruit. Elle sentait son cœur s’effondrer lentement, comme sous le poids d’un monde.« Ma chère… »Les yeux de Gabriel tremblaient. Une panique, rare et presque irréelle, a trav

Cette recherche a duré toute la nuit. Finalement, Gabriel a été rappelé à la demeure familiale par un appel de son père, Rolland Morel.« Tu es devenu fou ? »Dans le bureau, le visage de Rolland était fermé.La nuit précédente, Gabriel avait déployé tant d’hommes sur le terrain que tout le milieu en parlait. Beaucoup observaient la scène, amusés ou curieux, attendant le scandale.Même lui, Rolland, qui ne s’occupait plus des affaires depuis des années, avait été dérangé par ce tumulte.Gabriel, trempé par la pluie, le teint livide, semblait ne pas y prêter attention.« Je n’ai pas le temps de penser à tout ça. Il faut la retrouver, au plus vite. »Les veines de Rolland ont sailli sur son front. Furieux, il a saisi la tasse de thé sur la table et l’a lancée contre lui. « Et maintenant tu t’inquiètes, enfin ! »Il allait poursuivre quand on a frappé à la porte.Théo, qui vivait depuis quelque temps dans la demeure familiale, est entré timidement.« Titou, il est encore tôt, po

En dehors de Montjoie, dans une petite villa à l’entrée d’un village proche de la banlieue, c’était le désordre complet.Pacome tournait nerveusement devant la porte de la chambre d’amis.Au bout d’un long moment, la porte s’est ouverte.La maîtresse de maison est sortie, lui a fait un signe de tête et a dit : « Je lui ai nettoyé le corps à l’eau chaude, je lui ai donné un peu de thé au gingembre et je lui ai mis des vêtements secs. Elle dort maintenant. »En prononçant ces mots, la femme a pris un air contrarié, presque réprobateur : « Vous ne faites pas assez attention à votre petite amie, monsieur ! Par une pluie pareille, elle aurait pu tomber malade. »Pacome a eu l’air gêné et s’est empressé de répondre : « Non, ce n’est pas ma petite amie, c’est ma belle… ma cousine. »Il avait voulu dire belle-cousine, mais le mot lui a paru trop étrange dans l’instant. Il s’est rattrapé de justesse. La maîtresse de maison ne s’en est pas méfiée. Après quelques recommandations, elle est p