Semua Bab La bien-aimée du milliardaire : Bab 91 - Bab 100

Moi : « J’étais inquiète pour vous, alors je suis venue ici pour m’occuper de Wayne. »En regardant ma mère avec une expression triste, j’avais chuchoté. En voyant comment elle essayait constamment de me repousser, je me sentis découragée.Maman : « Si tu étais vraiment inquiète, tu aurais dû obtenir l’argent pour la chirurgie de ton frère !Si nous retardons davantage son opération, il sera handicapé pour le reste de sa vie.Après tout, il est ton frère. Comment as-tu pu rester inactive, sans rien faire ? » dit ma mère en colère.Même jusqu’à ce point, elle pensait toujours que j’avais de l’argent sur mon compte d’épargne et que j’avais délibérément choisi de ne pas l’utiliser pour sauver Wayne.Moi : « Maman, s’il te plaît, arrête de me mettre dans une situation aussi difficile.Si j’avais les moyens, pourquoi ne les aurais-je pas utilisés pour sauver mon frère ? »Dis-je après avoir soupiré, en regardant les yeux ardents de ma mère.Maman : « Si tu es toujours ma fille, tu feras le

En effet, il y avait beaucoup de belles femmes aux côtés de Nathan. Souvent, les collègues féminines bavardaient même exprès avec lui.D'autre part, Nathan et moi nous nous traitions froidement dans l'entreprise. De plus, à moins qu'il ne s'agisse d'affaires officielles, nous ne nous parlions même pas.J'étais curieuse de savoir pourquoi Nathan, un homme si froid en apparence, insistait pour que je devienne son amante.En réalité, je ne me distinguais pas particulièrement par rapport aux autres belles femmes de son entourage.Nathan : « Me croirais-tu si je te disais que c'est parce que tes seins sont énormes et que ton vagin est serré ? » répondit Nathan.Il me regardait en souriant. En entendant ce qu'il disait, j'avais eu envie de lui jeter un oreiller à la figure.Moi : « Nathan, tu peux être plus sérieux ? »Frustrée, je lui lançai un regard noir.Nathan : « Est-ce que j'ai l'air de plaisanter ? Je suis sérieux », répondit-il.Nathan me regardait comme s'il pensait chaque mot qu'

Ky : « Pas de problème. C'était juste un simple accident », dit l'homme en souriant doucement, donnant l'impression de ne pas être gêné par le fait que je venais de le heurter.Dès mon départ, l'homme me regarda partir pendant un long moment. Ses lèvres se courbèrent en un sourire en coin.Au lieu d'aller chez Liliana, je choisis d'aller à West Northam. Je voulais être un peu seule, et je savais que Nathan n'irait pas là-bas pendant la journée.Si j'étais allée chez Liliana, elle aurait probablement piqué une crise en voyant mon état pitoyable. Je ne pouvais plus l'inquiéter, pas après tous les problèmes dont j'avais été la cause.J'étais désespérée, comme si j'avais été abandonnée par ma famille. Je ne savais pas où aller. Je pouvais aller chez Liliana, mais ce n'était finalement pas ma maison et elle n'était pas ma famille.En arrivant à West Northam, je m'assis sur le balcon en fixant l'horizon. Je me sentais étouffée, mais je n'avais personne à qui parler.Assise sur le balcon, je

Moi : « Très bien, alors, je vais prendre cette robe. » dis-je.Finalement, je m'étais décidée à l'acheter.Bien que Nathan m'ait donné sa carte pour que je puisse la dépenser à ma guise, j'avais quand même utilisé mon propre argent pour l'acheter.À mon retour à West Northam, Nathan n'était pas encore rentré. Je me douchai rapidement et je mis ma nouvelle robe.À vrai dire, je me sentais un peu nerveuse, mais en même temps, j'étais aussi excitée. Comment Nathan allait-il réagir en me voyant ? Remarquerait-il la différence ?Je préparai le dîner et m'assis à la table à manger, en attendant que Nathan rentre à la maison. À mon grand désarroi, il n'était pas rentré après un long moment, et le repas était déjà froid.Je pris donc mon téléphone et je voulus appeler celui de Nathan. Cependant, il avait mentionné que nous étions tous les deux en train d'échanger ce dont nous avions mutuellement besoin. Si je l'appelais pour lui demander où il se trouvait, il se méprendrait certainement sur

Son beau visage s'était assombri, et il avait serré les dents en prononçant ces mots. Ses yeux brûlaient de fureur pendant qu'il me regardait.Moi : « Bien sûr que je n'ai pas dit ça. Je l'ai juste entendu d'une autre personne. »Remarquant que son attention était tournée vers moi, je m'étais rapidement expliqué. Il était incontestablement de première classe au lit, alors comment pourrais-je penser qu'il n'en était pas capable ?Nathan : « Alors qu'en penses-tu ? Penses-tu que je suis puissant ? »J'avais beau essayer de rejeter la faute sur une autre personne, cela ne semblait toujours pas fonctionner. Le sujet de Nathan était toujours ciblé sur moi. En plus, il me regardait avec un fort sentiment d'oppression.Moi : « Je… » commençai-je.Immédiatement, je me sentis résignée. Si j'avais su que ce sujet serait ciblé sur moi, je ne lui aurais certainement rien dit. C'était juste que je voulais voir sa réaction, mais je ne m'attendais pas à m'attirer des ennuis. Comme j'avais été malcha