Semua Bab La bien-aimée du milliardaire : Bab 81 - Bab 90

Stéphen : « Irene, est-ce vrai ? Vous avez passé la nuit ensemble et… »Il n'avait pas continué à parler. À mon avis, c'était parce qu'il ne voulait pas m'embarrasser, ou peut-être était-il trop bouleversé pour finir sa phrase. Ce qu'il essayait de demander était devenu évident. Face à son regard brûlant, je détournai le regard avec culpabilité.Après tout, Stephen était un homme intelligent. En voyant ma réaction, il savait que Nathan disait la vérité. Malgré le fait que je voulais vraiment m'expliquer, je ne pouvais pas nier la vérité.Moi : « M. Spence, s'il vous plaît… Pouvez-vous arrêter de vous mêler de mes affaires personnelles ? Je vous suis très reconnaissante de m'avoir sauvé la nuit dernière, mais je ne veux plus rien avoir à faire avec vous. Pouvez-vous au moins me faire cela ? »Malgré le fait que Stephen était resté silencieux tout le temps, je sentais qu'il était très préoccupé par ma relation avec Nathan. Si je choisissais vraiment de rester avec Stephen, je devais abs

Alors que je pensais qu'il était sur le point de dire quelque chose, Nathan s’était soudainement levé. Il avait rugi de colère, ce qui m'avait stupéfaite. Quel homme bipolaire ! Tout à l'heure, il parlait encore comme une personne normale. La seconde d'après, il me criait soudainement dessus.Ainsi, je ne pouvais vraiment pas dire ce qu'il pensait.Après avoir repris mes esprits, je sentis mon cœur battre la chamade. Je sortis vite de son bureau.Après avoir passé toute la journée à regarder fixement l'ordinateur, je remarquai qu'il était enfin temps de quitter le travail. Mes collègues étaient donc partis les uns après les autres. De même, je commençai à ranger le bureau, et je fus sur le point de partir. En me levant, j'entendis mon téléphone sonner. Remarquant que c'était un appel de la maison, je froncai les sourcils par curiosité.Moi : « Maman, pourquoi tu m'appelles soudainement ? Qu'est-ce qu'il y a ? »Maman : « As-tu déjà quitté le travail ? »Ma mère avait dit d'une voix do

Moi : « Maman, tu me mets vraiment dans une situation difficile. Je n'ai réellement pas beaucoup d'argent. »Ce n'était pas seulement une question de choix pour moi, mais je n'avais pas non plus la capacité d'aider du tout.Étant donné ma pauvreté, où aurais-je pu trouver une telle somme ?Maman : « Irène, je t'en supplie. Wayne a tellement peur qu'il n'ose pas rentrer à la maison maintenant. Pourtant, il est le seul fils de notre famille. Si quelque chose lui arrive, comment pourrons-nous vivre le reste de nos vies en paix ? » dit tristement ma mère.En entendant sa voix chevrotante, je...Moi : « Très bien. Je vais réfléchir. Combien as-tu besoin maintenant ? » répondis-je.Finalement, j'étais devenue tendre. Même si je n'avais pas d'argent à ce moment-là, je ne supportais pas de voir mes parents ainsi. Après tout, mon père avait déjà eu une crise cardiaque. Et s'il rechutait à cause de cet incident ? Je ne pouvais absolument pas prendre de tels risques.Je savais que, même si j'aid

Nathan : « Entrez. »La voix froide de Nathan se fit entendre.J’ouvris la porte et j’entrai.Dès mon entrée dans le bureau, je sentis que quelqu’un m’attrapait fermement le bras. La seconde suivante, j’étais plaquée au mur, tandis que Nathan fermait immédiatement la porte.Moi : « Nathan, qu’est-ce que tu fais ? Si tu continues à agir aussi effrontément, tu vas me faire mourir de peur ! »Voyant que je devenais furieuse, il n’avait rien dit d’autre. Après m’avoir lâchée, il se dirigea directement vers son bureau.Quand il s’éloigna de moi, je me sentis beaucoup plus détendue. Je me dirigeai ensuite vers lui et je posai les documents sur son bureau.Moi : « M. Spence, voici ma dernière révision du plan de conception. Pourriez-vous vérifier s’il y a quelque chose qui cloche ? »Après avoir réprimé ma colère, j’avais fait de mon mieux pour rester professionnelle et j’avais parlé calmement à Nathan.Il jeta donc un bref coup d’œil au document.Nathan : « Le concept n’est pas mauvais, mai

Lilianna : « Calme-toi, Irene. Nous sommes très proches de l’hôpital, donc nous y serons bientôt. »Voyant combien j’étais impatiente, elle avait immédiatement attrapé ma main et m’avait demandé de me calmer.Malgré le fait que j’étais de plus en plus inquiète, je réprimai mes émotions.Bientôt, nous atteignîmes finalement l’hôpital.Alors que nous étions arrivées au département orthopédique, Liliana et moi, je ne savais pas dans quelle salle se trouvait mon frère.Étant donné mon anxiété, mon esprit était dans un état de désordre.Heureusement, Liliana était venue avec moi.Au moment où je cherchais mon frère dans chaque service, elle obtint des informations auprès des infirmières de la réception.Lilianna : « Irene, arrête de chercher salle par salle. Ton frère est dans la chambre 1201.Dépêchons-nous et allons le trouver. »Finalement, nous avions trouvé dans quelle salle se trouvait Wayne, alors je m’y précipitai immédiatement.Même si la porte était fermée, je pouvais encore ente