Semua Bab La mariée mafieuse: Bab 11 - Bab 20

Je n'étais pas fan des contacts physiques la nuit et je n'avais souvent même pas partagé le lit avec ma défunte épouse. Non pas qu'elle aurait jamais rêvé de vouloir que je sois proche la nuit. Elle n'a jamais pris la peine de cacher sa réticence à m'avoir près d'elle, encore moins lorsque nous dormions ensemble – à moins qu'elle n'attende quelque chose de moi.Giulia avait demandé ma proximité et je l'avais refusée.La lumière du petit matin illuminait son visage bouffi. Ses cils collaient à sa peau avec des larmes séchées. Elle était proche, s'était rapprochée dans le sommeil jusqu'à ce que nous nous touchions presque. J'ai ressenti un désir déraisonnable de la toucher – et pas de manière sexuelle. Appuyée sur mon coude, je la regardais dormir paisiblement.Comme bien des nuits auparavant, le corps couvert de sang de Gaia avait hanté mes rêves. Je ne rêvais presque jamais des gens que j'avais tués, et pourtant ma défunte épouse remplissait toujours mes nuits.Giulia remua, les lèvre

Cassio se raidit, mais l'expression de son visage devint encore plus intense qu'auparavant. "Ca c'était quoi?" Sa voix était d'une voix rauque et grave que je pouvais sentir partout."Un bisou?" Je n'avais pas beaucoup d'expérience, mais je doutais que quiconque puisse gâcher un simple baiser."Essayez-vous de m'influencer avec votre corps?"Mes yeux s’écarquillèrent. "Non. Je pouvais sentir l’alcool dans ton haleine et j’étais curieux de savoir quel goût elle avait.Cassio rit. "Tu es une fille étrange." Sa bouche se tordit. "Femme."Il baissa les yeux sur le chien dans mes bras. Il était blotti contre moi paisiblement. Sans un mot, Cassio se retourna et retourna à son verre de whisky posé sur la table. Je suis entré et j'ai fermé la porte. Caressant le chien, j'ai suivi mon mari."Quel est son nom?""Loulou," dit Cassio, une note étrange dans la voix. Je m'arrêtai à côté de lui."Puis-je prendre une gorgée de votre whisky?"Les yeux de Cassio m'ennuyaient. « Vous n'avez jamais bu de

Je me figeai, pris au dépourvu par sa soudaine proximité. Comment pouvait -il m'embrasser alors qu'il était en colère ?Il se retourna avec une expiration brusque et s'éloigna de quelques pas avant de me lancer un regard prudent. « Il ne faut pas avoir peur. Je ne m'imposerai pas à toi. La nuit dernière était nécessaire, mais je ne te retrouverai plus tant que tu ne le voudras pas.Il avait à nouveau l'air fatigué et comme s'il était certain que je ne le voudrais jamais. Que s'était-il passé entre sa femme et lui ? J'ai repoussé l'idée d'elle au fond de mon esprit, et avec elle le malaise qui l'accompagnait.J'aurais dû dire quelque chose, mais j'étais bouleversé – par la situation, par le baiser qui résonnait encore sur mes lèvres, par le regard de Cassio. J'avais l'impression d'être emporté par un courant qui tournait de plus en plus vite, me laissant désorienté. Hier matin, j'étais moi, une jeune fille de dix-huit ans qui adorait l'art et le Pilates. Maintenant, j'étais une épouse,

Cassio gardait sa main sur mon dos tout en faisant signe à l'homme plus âgé. "C'est Domenico." L'homme avait l'air d'avoir la soixantaine avec des cheveux gris courts. Il avait l'air d'avoir servi dans l'armée : dos droit, chemise parfaitement repassée, expression pragmatique."C'est un plaisir de vous rencontrer, Mme Moretti." Mme Moretti. J'ai jeté un coup d'œil à Cassio, mon mari. Cela n’avait pas encore vraiment été réalisé, pas vraiment. "Et voici Elia." Mon regard suivit celui de mon mari, vers le deuxième homme, et il était tout le contraire de Domenico. D'une part, il était jeune. Hauts du milieu de la vingtaine. Il avait des cheveux châtain clair ondulés et lâchement coiffés en arrière. Ses vêtements mettaient en valeur un corps musclé et son sourire était rapide. C'était décontracté, presque charmant, mais toujours avec le respect nécessaire. "Ravi de vous rencontrer." Cassio m'a regardé. "Ravi de vous rencontrer aussi," dis-je rapidement. J'ai été surpris. Domenico était ex

Après avoir vérifié notre nouveau laboratoire de drogue et l'un de nos casinos clandestins, je me suis dirigé vers la maison de mes parents parce que mon père m'avait demandé un rendez-vous. Bien sûr, je savais de quoi il s’agissait.Giulia.Avant de descendre de la voiture, j'ai envoyé un texto à Elia. Il m'a appelé peu de temps après. "Comment ça va?"« Elle ne se sent pas en sécurité avec moi. Elle semble remarquer que quelque chose ne va pas, mais je ne pense pas qu'elle sache encore quoi penser de moi.Elle s'entend bien avec les enfants et le chien."Elle est?""Très patient. Tout simplement vraiment charmant.Tout le monde utilisait ce mot pour désigner ma femme, et bon sang, elle était vraiment adorable. "Hmm. Ne la draguez pas trop vite. Cela pourrait la rendre suspecte."Très bien, patron."J'ai raccroché et j'ai quitté la voiture. La porte de la maison de mes parents s'est ouverte avant que j'aie eu la chance de sonner. J'ai jeté un coup d'œil à ma mère. «Avez-vous regardé