Semua Bab La mariée mafieuse: Bab 81 - Bab 90

Comme promis, Luca était rentré tôt à la maison. J’étais incroyablement nerveuse. J'avais choisi une belle robe jaune et dressé la table sur la terrasse du toit. La surprise s'est affichée sur le visage de Luca quand il m'a trouvé dehors.« Je pensais qu'on pourrait manger ici ? » Il m'a pris dans ses bras et m'a attirée pour un long baiser. Des papillons ont voleté dans mon ventre. « J'ai commandé de la nourriture indienne. » « Je n'ai faim que d'une seule chose. » Je frissonnai. « Allons manger. » Que ferait Luca si je lui disais que l'affaire était annulée ? Je me suis assise. Luca m'observait avec intensité. Finalement, il s'est affalé sur la chaise en face de moi. Il y avait une légère brise qui caressait ma peau et tirait mes cheveux.« Tu es vraiment sexy. » J'ai commencé à manger. « Romero m'a emmené au Metropolitan aujourd'hui. C'était incroyable. » « Bien », a dit Luca avec une pointe d'amusement. Pouvait-il voir à quel point j'étais nerveuse ?« Et le propriétaire du restau

Gianna réussit à obtenir un billet d’avion deux jours plus tard. J’étais débordante d’excitation ce jour-là. Cela ne faisait pas longtemps que je ne l’avais pas vue, mais cela semblait une éternité. Il commençait déjà à faire sombre dehors quand Luca et moi nous sommes arrêtés à JFK. J’aurais préféré que Gianna puisse prendre un vol le matin ou l’après-midi à la place.Depuis que j’avais dit que Luca me tuerait pour protéger la Familia, il s’était retiré émotionnellement, même s’il n’était pas un livre ouvert avant cela. La seule façon dont nous interagissions était la nuit, quand Luca me faisait plaisir avec ses mains et sa bouche, et moi avec lui à mon tour. Peut-être que sans la visite imminente de Gianna, j’aurais essayé de lui parler ou même de le supplier de me montrer où il travaillait, mais au lieu de cela je lui aurais donné l’ espace qu’il voulait manifestement. Luca a garé la voiture et nous sommes sortis. Il n’a pas essayé de me prendre la main. Je ne pensais pas qu’il éta

Luca est parti peu de temps après le petit-déjeuner et Gianna m'a immédiatement tirée sur la terrasse du toit, loin des oreilles attentives de Romero."Que se passe-t-il ? Tu as agi bizarrement toute la matinée. Pourquoi n'as-tu pas répondu quand je t'ai appelé ce matin ?"Je détournai le regard, une rougeur se répandant sur mes joues.Les yeux de Gianna s'ouvrirent brusquement. « Qu'est-ce qu'il a fait ? » « Il m'a fait une fellation, » avouai-je.« Tu l'as laissé faire ? » Je riais. « Oui. » Plus de chaleur monta sur mes joues au son de l'impatience dans ma voix.Gianna se pencha en avant. « Tu aimes ça ? » « J'adore ça. » Gianna se mordit la lèvre. « Je déteste penser à toi avec lui, mais tu sembles vraiment apprécier ça. Je suppose que ça a ses avantages que Luca ait baisé toutes les filles de la haute société de New York. » Je ne voulais pas y penser.« Alors, comment tu te sens ? » « Comme si je me brisais. C'est bouleversant et incroyable, et je ne sais pas comment le décrire.

Une vague de nausée m’arracha au sommeil. Je trébuchai vers la salle de bain et vomis à nouveau, à genoux sur le sol en marbre froid, trop épuisé pour me lever. Je frissonnai.Luca tendit la main vers moi et tira la chasse d’eau avant de me caresser le front. « Il ne fait plus si chaud, n’est-ce pas ? » dis-je d’un rire rauque.« Ça n’aurait pas dû arriver. J’aurais dû te protéger. » « Tu l’as fait. » Je saisis le siège des toilettes et me mis debout en titubant . Les mains de Luca me saisirent par la taille.« Peut-être qu’un bain m’aidera. » « Je pense que je vais me noyer si je reste allongé dans la baignoire maintenant. » Luca fit couler l’eau dans la baignoire tout en me tenant toujours d’une main. Le ciel devenait gris au-dessus de New York.« On peut prendre un bain ensemble. » J’essayai de lui faire un sourire taquin. « Tu veux juste te sentir. » « Je ne te toucherai pas pendant que tu seras sur Roofes. » « Un Capo avec des valeurs morales ? » Le visage de Luca était sérieux.

Reprends-toi, Aria. « Non, pas tant que ça. » Ma voix s'est arrêtée sur le dernier mot parce que Luca avait tressailli. « C'est bon, Luca. Bouge juste. Je ne serai pas en colère contre toi. Tu n'as pas à te retenir pour moi. Fais-en juste une chose. » « Tu crois que je veux t'utiliser comme ça ? Je peux voir à quel point c'est douloureux. J'ai fait beaucoup de choses horribles dans ma vie, mais je n'ajouterai pas ça à ma liste.- Pourquoi ? Tu blesses tout le temps les gens. Ce n'est que parce que nous sommes mariés que tu n'as pas à faire semblant de te soucier de mes sentiments.Ses yeux brillèrent. - Qu'est-ce qui te fait penser que je dois faire semblant ?Mes lèvres s'entrouvrirent. Je n'osai pas espérer, je n'osai pas trop lire dans ses paroles, mais Dieu, j'en avais envie.- Dis-moi quoi faire, dit-il durement.Peux-tu me serrer contre toi un moment ? Mais ne bouge pas. -Je ne le ferai pas, promit-il, puis il m'embrassa sur les lèvres. Il serra les dents en s'abaissant complète