Mon mari a sauvé son amour en m’arrachant mon rein
Pour sauver son premier amour atteinte d'insuffisance rénale, mon mari, juge de profession, a décidé de lui attribuer un de mes reins sans mon consentement.
Je lui ai expliqué que je souffrais aussi d'une insuffisance rénale, et qu'une greffe m'aurait été fatale.
Mais il m'a crié avec haine : « Isabelle est si gravement malade, et toi, tu es encore si jalouse ! Tu es vraiment impitoyable ! »
Sous sa décision imposée, on m'a emmenée à l'hôpital pour la transplantation.
À la fin, à cause de l'aggravation de mon insuffisance rénale, je suis morte misérablement dans un coin désert de l'hôpital.