A Sabedoria Dos Pais Curta Temporada

Ma sœur Aurora et moi sommes liées aux jumeaux Alpha. À mes cinq mois de grossesse, je suis attaquée par un groupe de renégats. Je contacte mon compagnon Alpha Alexander par lien mental pour avoir son aide. Mais il m'ignore neuf fois. Les renégats m'entourent et me mordent aux bras et aux jambes. Mon sang gicle à chacune de leurs attaques. La douleur transperce mon corps. Je réussis à lier mon compagnon pour la dixième fois, en pleurant de manière désespérée. Cette fois, sa voix froide résonne dans ma tête : « Tu n'as pas marre de faire de la comédie ? Ma sœur Vicky a été enlevée, alors ne m'embête plus. » Vicky est la demi-sœur d'Alexander et Éthan, elle est celle qu'ils aiment réellement. Maintenant que plus rien ne les freinent, les renégats se jettent sur moi. L'un d'entre eux ouvre mon estomac avec ses griffes, pour que je les regarde déchiqueter mon enfant pas encore né avec horreur. Quand je suis presque morte, Aurora me trouve et se bat contre les renégats. Mais ils sont trop nombreux. En peu de temps, Aurora se retrouve ensanglantée et blessée à côté de moi. Elle lie son compagnon Éthan par lien mental, mais ce qu'elle reçoit comme réponse est : « Je cherche Vicky. Ne me dérange pas. » Aurora n'a pas d'autre choix que de se transformer pour me prendre sur le dos de sa louve. Elle descend rapidement de la montagne, mais un glissement de terrain provoqué par le temps orageux nous piège. Heureusement, la patrouille des frontière nous trouve. Aurora et moi réussissons à survivre. Quand je me réveille à la clinique de la meute, la première idée qui me traverse l'esprit est simple : mettre fin à mon lien de compagnons.

"Quoi ? !" Elle s'exclame et se moque. "Est-ce que j'ai l'air d'une vulgaire salope pour toi ?" "Non. Tu as l'air convenable mais je veux juste être sûr que tu n'es pas attiré par moi comme tu l'as prétendu." Je vois bien qu'elle a menti. Elle me trouve attirant. Je sais que je suis le plus bel homme qu'elle ait jamais vu de toute sa vie. Mais elle ne veut pas que je le sache. Elle ne s'est pas encore remise du choc de ma question lorsque je pose ma main sur sa taille et que, l'instant d'après, mes lèvres sont sur les siennes. Elle halète lorsque je l'embrasse doucement. Ses yeux sont grands ouverts de surprise et je peux entendre son cœur battre deux fois plus vite que d'habitude. Mes yeux sont également ouverts parce que je veux voir son expression. Je peux sentir ses pensées. Elle n'arrive pas à croire qu'elle embrasse un autre homme juste un jour après avoir rompu avec son premier petit ami. Elle a l'impression de le tromper. Elle n'a jamais embrassé personne d'autre que son premier petit ami. Embrasser un autre homme qui est moi, c'est différent. Je sais tout cela d'après son expression. Je suis doux avec elle. Lorsque je mords ses lèvres inférieures, elle émet un gémissement et ferme les yeux pour profiter de l'instant, oubliant qu'elle essaie de cacher ses émotions à l'homme qui se tient devant elle. Je ferme les yeux à mon tour et je fais glisser ma main le long de sa cuisse, puis je soulève sa jambe gauche. Elle halète à nouveau. L'embrassant toujours, je la porte avec la jambe gauche jusqu'à la dalle, la plaçant dos au grand miroir. Je n'ai pas cessé de l'embrasser pendant que je me débarrassais de mon pantalon et de mon short.

— Malu, eu te amarei para sempre! — Eduardo rugiu em desespero com a voz carregada de desejo. No instante em que estavam prestes a alcançar o clímax, o celular dele começou a vibrar insistentemente. Em um momento como aquele, é claro que ele não deu importância. Mas logo a tela se acendeu e, no momento, que ele reconheceu o nome escrito na notificação, seus movimentos pararam de repente. Maria Luíza ouviu-o atender: — Alô? — Edu, você sabia que a Jordana... — No silêncio da noite, a voz do outro lado soou nítida. — Fale mais baixo, o momento não é conveniente. — Eduardo interrompeu em árabe, num tom contido. — O resultado dos exames saiu. — Do outro lado, a pessoa também passou a falar árabe, mas a voz continuava alta. — Jordana está com câncer terminal, e só tem um mês de vida! Ela quer ser sua esposa. Você pode realizar o último desejo dela antes que ela morra? — O quê? — O rosto de Eduardo mudou drasticamente. — Espera por mim! — Malu, surgiu uma urgência. — Ele se voltou para Maria após desligar o telefone. — Eu preciso sair um instante. Fique em casa descansando, eu volto logo. Sem esperar pela resposta dela, Eduardo levantou-se, lavou-se rapidamente, trocou de roupa e saiu sem olhar para trás. Logo em seguida, o celular de Maria vibrou. A tela iluminada mostrava a mensagem de Jordana Torres: [Maria, você perdeu. Eu já te disse antes que o Eduardo é meu.] E logo acima, tinha uma mensagem enviada por ela três dias antes: [Se eu tivesse câncer, você acha que Eduardo te deixaria para vir atrás de mim? Eu aposto que sim.] O olhar de Maria ergueu-se lentamente desviando a tela do celular até a porta do quarto, ainda aberta. Eduardo não sabia, mas ela já dominava o idioma árabe há tempos, e tinha entendido cada palavra daquela conversa. Depois de muito tempo em silêncio, um sorriso amargo se desenhou em seu rosto. — É... eu perdi...