Addison Rae Ai Nude

Ma demi-sœur m’a accusée à tort d’être responsable de ses allergies, et, dans un accès de rage, mes trois frères m’ont enfermée dans une cave exiguë, sans lumière ni air. Ils ont même enchaîné la porte. J’ai frappé la porte de la cave, suppliant de toutes mes forces qu’on me laisse sortir. Alors que le frère aîné, un homme d’affaires d’élite, s’apprêtait à partir, une froide colère se lisait sur son visage : « Tu as l’habitude de maltraiter Zoé dans de petites histoires, mais je n’ai pas l’intention de t’embêter pour ça. Cette fois, tu savais que Zoé était allergique aux fruits de mer, et malgré cela, tu l’as laissée en manger. N’est-ce pas là une malveillance délibérée ? Tu ferais bien de réfléchir à ce que tu as fait ! » Le deuxième frère, récemment couronné Roi des Chants, et le troisième, un peintre talentueux, ont grogné : « Une personne aussi perfide que toi, qui trouve toujours des excuses, tu vas rester là-dedans, et que cela te serve de leçon ! » Après avoir dit ces mots, ils ont pris ma demi-sœur, tremblante, dans leurs bras et se sont précipités à l’hôpital. Peu à peu, l’air dans la cave se raréfiait. Chaque respiration devenait un combat. La suffocation m’a envahie, et bientôt, tout ce que j’avais ressenti s’est transformé en un calme absolu. Je suis morte, seule, dans cet espace clos. Trois jours plus tard, lorsqu’ils sont revenus de l’hôpital avec ma demi-sœur, ils se sont souvenus enfin de moi. Mais ils ont ignoré que, dans l’obscurité de cette cave étouffante, j’avais déjà succombé au manque d’oxygène.

Beaucoup l'ont rêvé et moi j'ai eu la chance de le vivre. Crésus a tapé à ma porte. Ensuite cupidon m'a transpercé le cœur au moment où j'en avais le plus besoin. Mais est-ce suffisant ?

J'avais oublié de ramener la maîtresse de mon compagnon, la laissant seule dans la nature pendant trois heures. Fou de rage, il m'a jetée dans un vieux puits abandonné, en pleine campagne. « Toi aussi, tu dois goûter à la souffrance qu'a endurée Ria. » Le puits, profond et étroit, m'obligeait à me recroqueviller sous ma forme de louve. L'air me manquait. Je lui ai demandé pardon, j'ai supplié qu'il me sorte de là — mais tout ce que j'ai obtenu, ce sont ses reproches indifférents. « Repens-toi comme il faut. Il faut que tu comprennes, une bonne fois pour toutes, les responsabilités d'une Luna. » Il a ordonné qu'on scelle l'ouverture du puits avec une lourde pierre. J'ai hurlé, désespérée. Encore et encore, j'ai essayé de grimper, mais chaque fois je retombais. La paroi du puits s'est couverte de traces de mes griffes, témoins de ma lutte acharnée. Jusqu'à ce que ma gorge, brûlante de soif, ne puisse plus émettre le moindre son. Deux semaines plus tard, en découvrant le cadeau d'anniversaire que j'avais commandé pour lui, son cœur a flanché. Pris d'un élan de remords, il a décidé d'enlever ma punition. Mais il ne savait pas qu'au fond du puits, mon cadavre, déjà dévoré par les vers et les serpents, n'avait plus rien d'humain.

J'ai été infectée par l'aconit lunaire, une maladie chronique, et j'ai fait face à la mort. Mais le seul antidote, la Panacée rouge, a été acheté par mon compagnon Léo et offert à ma demi-sœur Jeanne, simplement parce qu'il pensait que je faisais semblant d'être malade. J'ai abandonné le traitement conservateur et avalé des analgésiques puissants. Le prix à payer : ils me tueraient en trois jours, en faisant atrophier mes organes. Durant ces trois jours, j'ai tout abandonné : Quand j'ai offert ma filature, bâtie de mes propres mains, à Jeanne, mes parents m'ont félicitée : « Enfin, Viviane sait aimer sa sœur. » Quand j'ai proposé à Léo de rompre notre lien, il a souri : « Tu deviens enfin compréhensive. » Quand j'ai ordonné à mon fils d'appeler Jeanne « Maman », le petit a ri : « Jeanne est la plus gentille du monde ! » Lorsque j'ai transféré toutes mes économies à Jeanne, personne n'a perçu l'anormalité. Ils ont simplement hoché la tête, satisfaits : « Viviane n'est plus aussi mauvaise qu'avant. » Mais après ma mort, regretteraient-ils leurs actions ?

Bah voilà jme présente ! Moi, c'est Zaïna, orpheline, j'ai 15 ans, je suis Comorienne mais avant tous Musulmane. Malheureusement je ne sais pas pratiquer. J'y connais rien. On ne m'a jamais apprise. On m'a poser à mes 1 ans apparemment. Bref ma vie jvous la racontera après. Bref physiquement ? Jfais 1m60, un truck comme ça ! J'ai une couleur de peau matte. J'ai un corps normal et les formes la où il faut. J'ai les yeux marron claiiiir qui vire au marron foncé quand jsuis énervé. Les cheveux noir/marron, tous est en fonction du soleil. A l'ombre tu les verras noir et au soleil tu les verras marron. Bref ils sont long et y'a beaucoup de volume ! Mais personne sais. C'est chignon ou natte, jamais je les montre. Bref assez parler dmon physique. Jsuis une meuf genre qui parl pas, qui calcule personne mais quand il faut j'ai une grosse bouche et sa peut aller loin en deux quatre six. Dans cette orphelinat, jparle à dégun depuis le drame (A suivre...). On m'appelle même la "muette". Ok leur délire mais m'en bas les couilles je leur répond pas. J'ai un coeur en pierre, double portes blindé, double serrure et trois codes. Rien ne m'atteint à part mon passer mais personne la connait. Bref mes journées se passe comme ça: Réveille => école => boxe => chambre et je bouge plus de la journée. Ah oui oui depuis cette incident j'ai décidé de plus me laisser faire. Mes parents ? Même vu pas jparle. Ils m'ont abandonné dès ma naissance tsssss et voilà ou je suis maintenant DANS UN ORPHELINAT DE MERDE . A suivre...

Dix jours. J'ai dû passer dix jours avec M. Jones, le patron de mon père, pour que mon père pourrait garder son emploi. Mon père a été surpris en train de voler son entreprise et M. Jones l'a viré sur-le-champ. Mais cela signifiait la ruine financière de ma famille. Nous n'aurions pas d'endroit où vivre, rien à manger et je devrais abandonner l'école. Mais ensuite, M. Jones a proposé une solution. Je passerais dix jours avec lui dans son manoir et tout serait pardonné. Sauf que le mâle alpha avait des règles. Je devais porter ses vêtements. Mangez sa nourriture. Et le pire de tout, mendier quand il a demandé. Et j'ai honte de le dire… mais je le voulais désespérément !

A 19-year-old Liana Rae Trojillo borrowed a million peso money from a loan shark to get her mother a surgery after got hit-and-run by a car. Now, Liana had to divide her salary as a stripper in a club in able to pay her debt. When things got worst, Liana agreed to the offer of her friend, Lucas Thompson-- to pretend as his 26-year-old daughter Elysia and marry the CEO of Casa de Saros Hotel, Cosimo Ariento Melgarejo. After 5 months of pretending as the rich, classy and educated Elysia, and their marriage finally works out, will Cosimo still accept Liana if she reveals her true identity? Will a young woman who came from a squatters area, did not go to college and works as a stripper in the club has a chance to a rich and respectable CEO?

Hidup penuh dengan unsur kemisterian membuatkan kehidupannya terumbang-ambing. Sekejap ke sini kemudian sekejap ke sana. Seorang demi seorang yang wujud dalam hidupnya sehingga terjadinya cinta empat segi tanpa sengaja. "Aara, you will be mine. I fall in love with you, my dear." - AHMED IVANDER Tanpa dia sedar, dirinya sudah membuatkan lelaki yang merupakan majikannya sendiri jatuh hati pada dirinya dalam diam. Walhal lelaki itu sudah berumah tangga. "Saya mohon. Bagilah saya peluang. Peluang terakhir." - ARIF HALFI Munculnya suami yang tidak menjadi membuatkan kehidupannya semakin bercelaru. Dirinya sendiri buntu. "Aku nampak air mata kau jatuh. And you can't lie to me. Don't be a liar. I hate it." - RERY EL-SHARIF Berjumpa pula dengan seorang lelaki yang suka menyakitkan hati. Bertambah-tambah serabut hidupnya begini. "Apa yang aku tahu, Tuhan uji kau sebab Tuhan tau yang kau kuat." - RAE EL-SHARIF Si adik kepada lelaki yang menyakitkannya itu pandai pula menenangkan hatinya. Tapi tidak kekal. Tak lama itu, Rae bersikap dingin dengannya. Dia sendiri tidak tahu apa kesilapannya pada lelaki itu. "Aku akan kembali dekat kau. Kau tunggu aku..." - RERY EL-SHARIF Air mata menjadi teman setiap kehidupannya hariannya. Siapa yang sebenarnya berjaya menghuni hatinya? Dan kenapa hidupnya perlu ada perpisahan? Tidak layakkan untuk dia bahagia?

Once upon a time in a promiscuous beach resort which has a prude and nude side called Hydrus Haven, there was a fortress owned by a mysterious woman named Sheeva Mae Corporal. She's known for her old-fashioned black temple dress na mukha at kamay lamang niya ang nakikita. Her behavior and super conservative outfit were utterly out of place against the backdrop of the said haven for n*dists. The fortress and its owner alone had been a pain in the ass of the Turkish-Filipino owner of Hydrus Haven. Walang makapagsasabi kung ano ang tunay na misteryong bumabalot sa kakatwang tahanan na iyon ng dalaga. Fck whatever those goddamn mysteries na kinakanlung ng beach house na iyon! Basta ang natatanging layunin lamang ni Hydrus Horizon Hugo ay ang magiba ang bahay na iyon na sakop pa ng property na kanyang nabili. Subalit ang lagay ay dadanak daw muna ang dugo ng dalaga bago magtagumpay si Hydrus na maipagiba ang tahanan niya. Paano siya magtatagumpay na ipagiba ang bahay na iyon kung sa bawat impormasiyon na nakukuha niya tungkol sa misteryosong babae ay siya ring unti-unting paglambot ng puso niya? Would he be able to undesired the mysterious woman incessantly or would he forbid himself from adoring the exciting wonders his heart feels for her?

Mon frère était à une soirée, je suis allée le chercher. J'ai entendu mon frère demander à Lucas Bernard : « Tu as une petite amie, non ? Ça fait longtemps et je ne l'ai jamais vue. » J'ai soudain été prise de panique. Cela faisait trois ans que Lucas et moi étions ensemble, mais dans le secret. Personne ne le savait. Lucas a répondu d'une voix traînante : « Ce n'est pas une petite amie, juste un passe-temps. De toute façon, je ne compte pas me marier avec elle. » J'ai serré les poings et j'ai directement poussé la porte de la pièce.