Booktok Journal Minimalist Edition

A wife buy girl for her husband to enjoy freely her life “Saan naman? ” tanong ko pabalik. “Nagkakagulo raw sa labas te, may mag-asawa kasing nais bumili ng babae at hindi naman pumapayag si boss” sagot ni Kisha na kinataka ko. WFS which means wife for sale “Te, mukhang ikaw ang bet ng babae” tukso nitong si Kisha sa akin. j I am Carizza Laurise Somorostro, also known as the highest paid wife. The limited edition woman. Ako lang ang may pinaka-konting buyer pero kapag nagkaroon ay sangkatutak na pera naman ang kapalit. I am skilled with everything at mataas ang ratings sa akin. 6 months ang time “My dear, can I buy you? Promise you won’t regret your decision, I can pay, name the amount. I also promise your safety. I’ll hire bodyguards and buy all you want just let me buy you” pakiusap ng babae “Ma’am we can’t really consider what you want. Limited time lang ang service ni Carizza. ” paalala nito sa babae na ngayon ay nanlulumo at mukhang desperada talaga “I’m Georgianna Lanzaderas, the wife of Yhulo Lanzaderas. I’ll ask you again, Mr. Lawrence. Can I get this beautiful maiden right here? ” seryosong tanong niya at ginawaran ako ng tingin. Napalunok si Sir Lawrence at hindi nag-atubiling tumango. “Y-yes miss, Kisha please prepare the contract” natarantang utos ni Sir Lawrence na kinataranta rin ni Kisha. Lahat sila ay hindi mo maipinta ang mga mukha. Lumapit ang babae sa akin. Hindi ko alam anong klaseng mga tao sila at bakit ganito makagalaw mga kasamahan ko. Nagtataka man ay sumabay lang ako, bakit may isang asawa ang gustong bumili ng isang babae magiging asawa ng kung sino man? “My dear Carizza, tinatanggap mo ba ang offer kong bilhin ka? ” tanong ni Mrs. Lanzaderas.

I should have been walking down the aisle. Instead, I was running through the woods in my wedding dress. The white fabric caught on every branch, tearing apart like my life. My name is Camela Siegel. My father is the Mayor, and he sold me to save himself. Vincent Castellano was supposed to be my husband. They call him the Mad Prince, but I learned he’s so much worse than that. His hands trembled when he touched me—sometimes gentle, like I might break, and sometimes rough, like he wanted to overpower me. “You’re mine now,” he’d whisper in the dark corners of that house. “No one else gets to touch you. No one else gets to hurt you but me.” I tried the door handle every day for three months. It only turned from the outside. When help finally came, I thought it was over. I thought I could go home and pretend none of it ever happened. I was wrong. Vincent found my journal—the one where I wrote about him, about what he did to me, and about who he truly is. Now he’s not just keeping me locked up. He’s hunting me. They call him “The Fox” for a reason. He’s patient and waits. When he catches what he’s after, he never lets it go. I can feel him watching me even now—through my bedroom window, from across the street, in the shadows where I can’t see him but I know he’s there. My father thinks making that deal saved his life. He doesn’t realize it destroyed mine. Vincent said he’d keep me until the last day of my life. I’m starting to think that day is coming soon.

Mon petit ami Nick, qui avait combattu pendant dix ans dans les tribus du Sud, est enfin revenu. Quand il m'a dit qu'il voulait m'épouser et faire de moi sa Luna, mon cœur a débordé d'émotion. À ce moment-là, j'ai cru que j'avais enfin trouvé ma place. Mais après être tombée enceinte, j'ai découvert par hasard, dans son ordinateur, des vidéos pornographiques entre lui et ma meilleure amie Sherry, ainsi que son journal intime, rempli de déclarations d'amour pour elle. Je me suis connectée à son compte secondaire WhatsApp. Bien que Sherry l'ait déjà bloqué, il continuait à lui envoyer des mots doux, des déclarations en vidéo, des messages écrits et vocaux. Je suis allée à l'hôpital pour un examen prénatal. Mais dans le hall, j'ai vu mon Alpha, Nick, à genoux devant Sherry, un bouquet de fleurs à la main et le collier en pierre de lune, héritage de sa famille. « Sherry, pour toi, j'ai renoncé à mon rêve de soumettre les tribus du Sud. Je suis revenu uniquement pour te retrouver. Je veux t'épouser ! Un enfant a besoin de son père. Si tu es d'accord, je te marque immédiatement et tu deviendras ma Luna ! » Je me suis alors retournée et j'ai demandé au médecin de procéder à une interruption volontaire de grossesse. Puis je suis partie seule, sans me retourner. Je ne m'attendais pas à ce qu'il abandonne Sherry et leur enfant pour se lancer, comme un fou, à ma recherche.

Jean-Baptiste Messier nous livre ici un recueil de nouvelles érotiques torrides à souhait. Toutes ont été saluées par les lecteurs à part une nouvelle inédite « Ma lecture de vacances » qui dénote par sa perversité assumée. On retrouve avec délice et dans l’ordre : Un train d’enfer, Femme-chatte, nuit féline, Le lys noir, La féministe et le peintre, Ma lecture de vacances, L’impossible retour, La femme du sculpteur, Sex-toy au journal télévisé, Ma femme avec une femme (vengeance de femme), Hotline. Il y en a pour tous les goûts et même plus que ça ! « Sexe, mensonges et vidéos… quoi de plus déroutant et excitant pour un homme viril de voir son épouse sexy succomber à une autre femme… Mouss va en faire les frais… entre désirs et jalousie… plaisirs érotiques… et quel dénouement… encore une fois la plume de Jean-Baptiste Messier m’aura transporté aux confins du plaisir » Valérie L « un coté doux rêveur qui se raccroche à son monde présent dans le regret de ses fantasmes. des dialogues codés, des sous-entendus qui ouvrent les portes de sensations tactiles « non sages ». Les mots effleurent puis enflamment notre libido. j’y ai trouvé beaucoup d’humour…L’Asie et la Scandinavie. Deux autres fantasmes, dans l’esprit masculin, ici revisités par Jean-Baptiste Messier. » Eva C. « La plume est franche, très masculine y compris dans la description de la scène sensuelle, cependant j’ai aimé ce vocabulaire cru sans être vulgaire, dernier instant pour deux hommes qui savent qu’ils vont mourir. Un français impeccable, un mystère qui reste entier car trop peu d’éléments dans un si court récit pour bien s’imprégner et pourtant il y a un petit quelque chose qui vous attire. » Samba