À ce moment-là, le visage d’Arthur était tout pâle. Le sang a jailli de sa bouche et son visage était plein d’horreur et d’incrédulité.Au bout d’un moment, Kevin et Luc ont enfin pu relever la tête.En voyant que Jean était sain et sauf, ils étaient encore plus choqués.Comment était-ce possible ?Cependant, Jean se tenait là et ils n’ont eu d'autres choix que de le croire.À ce moment-là, le rouleau qui se tenait dans la main d’Arthur s’est soudainement brisé morceau par morceau, puis il s’est transformé en cendres et s'est dissipé.En voyant cela, Arthur était d’abord stupéfait, puis il a perdu la tête et il a crié : « Ancêtre, mon vieux ! »« Arrête de crier. »Jean a froncé les sourcils et a dit : « L’ancêtre de ta famille, il voulait juste vous laisser ce tout petit pouvoir comme souvenir, mais tu l’as gaspillé. Il ne pouvait y avoir que cette fin. »Arthur a regardé Jean avec des yeux féroces et a dit avec haine : « Tu as détruit le trésor de ma famille. »Le visage de Jean e
Cependant, Arthur a salué Jean en disant : « Senior, vous êtes gentil, je regrette beaucoup. Afin de présenter mes excuses, je voudrais vous faire un petit cadeau en guise d’excuse, veuillez l’accepter. »« Ah bon ? »Jean était un peu surpris.Arthur a regardé autour de lui et a dit : « Cette île de Mer est la propriété de la famille Salomon. Et moi, Arthur Salomon, j’ai été si nul de vous avoir offensé. Donc cet endroit, je vous le donne en guise de réparation. »« Tu me le donnes ? »Avec surprise, Jean a regardé Arthur et a dit : « Ça coûte cher, n’est-ce pas ? »Arthur s’est incliné et a dit : « Cet argent ne devrait pas être un problème pour moi . Je suis sincère, acceptez-la, s’il vous plaît ! »Jean a réfléchi un moment et a lentement dit: « Puisque tu es si sincère, je l’accepte. »« Merci, Senior. Je vais faire terminer les procédures et vous les envoyer dès que possible », a déclaré Arthur.Jean a hoché la tête et s’est retourné pour partir.Arthur a dit à haute voix derrièr
Cependant, Luna ne lui avait pas posé de questions sur son histoire. Si son patron ne la lui racontait pas, elle n’en parlerait jamais.Qu’elle soit son employée, son amie ou son amante, se taire était toujours la meilleure chose à faire.Après avoir entendu cela, Luna a souri légèrement et a dit : « L’île de Mer vaut au moins cinq cent millions d’euros. Tu es rentré les mains pleines. »« C’est une surprise, je n’y ai pas pensé. » Jean a sourit.À ce moment-là, Luna était complètement soulagée. Les deux se parlaient en prenant le repas. Après avoir assez mangé, Luna est allée joyeusement dans la cuisine pour faire la vaisselle.Jean a allumé une cigarette sur le canapé. En regardant le dos de Luna qui était occupée dans la cuisine, et il ne savait pas ce qu’il pensait.Au bout d’un moment, Luna a fini la vaisselle et est arrivée dans le salon.Au moment où elle allait s’asseoir, elle a soudain glissé, et elle est tombée vers Jean.« Ah ! »Avec le cri coquet de Luna, son corps blanc
En voyant que c’était Méline, Jean a rapidement décroché le téléphone.« Jean, où es-tu, veux-tu que je te cherche chez toi ? »La voix de Méline s’est fait entendre au téléphone.Jean a dit en hâte : « Non, j’arrive tout de suite. »« D’accord, ne sois pas en retard. »À ces mots, Méline a raccroché le téléphone.Jean a souri. Pour être honnête, il était également très heureux de pouvoir fêter avec ses anciens camarades de classe. Après tout, il n’avait pas beaucoup d’amis. Et la relation pure entre les camarades de classe était également précieuse.Il est sorti pour prendre la voiture, et est directement allé à la cité des Nuages.La cité des Nuages était un centre de loisirs intégrant la restauration et le divertissement. Elle était très connue à la ville J.Trente minutes plus tard, Jean est arrivé à la cité des Nuages. Dès qu’il est entré dans le hall, il a vu Méline assise sur le canapé, comme si elle l’attendait.Méline a aussi vu Jean. Elle s’est vite levée et s’est approché d
Juliette avait l’air arrogante, tenant le bras de Jules. Ils se sont assis. Jules avait également une expression hautaine, se faisant gloire de son identité.Les sourcils de Jean se sont légèrement froncés. Il ne les aimait pas dans son cœur.De toute évidence, ces deux étaient venus montrer leurs succès, mais c’était une fête des camarades de classe, ce n’était pas une occasion de se vanter.À ce moment-là, Juliette s’est couvert la bouche, puis elle a dit en souriant : « Ne nous regardez pas avec surprise. Même Jules a une certaine identité, mais il est mon petit ami. Vous n’avez pas besoin d’être surpris. »Ce qu’elle avait dit semblait être de bons mots, mais ce n’était vraiment pas poli de dire ça.La foule était impuissante, alors un certain camarade s’est levé et s'est versé du vin. Ceux qui ne voulaient pas boire se sont également versé du jus d’orange.Par la suite, Eric Offman, l’ancien chef de classe, a levé son verre et a dit : « Aujourd’hui, on se réunit ici, c’est une occ
Méline s’est précipitamment levée et a dit : « Ne vous fâchez pas, on fête la réunion de classe, c’est pour être heureux, ne soyez pas en colère. »Cependant, Jules a dit : « En colère ? Quelle blague ! C’est un ordre. Je suis venu ici grâce à Juliette, sinon, de quels droits pouvez-vous vous asseoir près de moi ? »Les mots de Jules ont énervé tous ceux qui étaient présents. Tous les anciens camarades de sa petite amie étaient mécontents, mais à cause de son identité, ils n’osaient vraiment rien dire, parce qu’ils travaillaient et vivaient tous à la ville J, alors ils ne pouvaient vraiment pas offenser le fils du chef d’un district.Néanmoins, un camarade de classe a pris son verre et a dit : « Monsieur Girard, ne vous fâchez pas, je vous porte un toast. »Jules a demandé avec arrogance : « Oh, qui es-tu ? »Le camarade de classe a dit à la hâte : « Je m’appelle Vincent Bernard, je viens d’être transféré pour travailler au poste de police du district Ouest. Monsieur Girard, veuillez m
En entendant les mots de Juliette, Jules a immédiatement arrêté cet homme-là et a dit froidement : « As-tu touché les fesses de ma petite amie ? »« Et alors ? », a dit cet homme d’un ton ferme.Jules a dit avec colère : « Putain, tu veux mourir. »Jules s’est avancé et a donné un coup de poing à cet homme-là.En voyant cela, Vincent s’est précipité vers cet homme-là, sans rien dire, il lui a donné des coups de poing et de pied.L’homme n’avait pas l’occasion de se battre parce qu’il était tout seul. Il avait deux adversaires en face de lui. Au bout d’un moment, il a été frappé au sol, et il a crié de douleur.À ce moment-là, Jules a froidement dit : « Merde, tu oses toucher ma femme ? Tu le mérites. »« N’oublie pas cette leçon, as-tu compris ? »Juliette l’a également grondé.Ensuite, ils sont partis d'un air triomphant.Il a fallu un long moment à l’homme pour se lever. En fixant leur salle privée, il a dit avec férocité : « Merde, on verra. »À ces mots, l’homme est retourné à sa
En entendant cela, Laurent a souri légèrement. Augustin a répondu : « Monsieur Royer, la famille Dublanc se développe à la ville J depuis des centaines d’années, le patriarche de la famille Dublanc est puissant dans cette ville. D’ailleurs, le jeune maître Marcel Dublanc est le secrétaire adjoint du premier secrétariat de la ville J, beaucoup de jeunes de la famille Dublanc travaillent dans des institutions gouvernementales. Non seulement ils sont puissants dans la politique, mais aussi forts dans la société. Même le Tigre de tonnerre doit nous respecter en nous rencontrant. Pensez-vous que nous avons peur d’un jeune gamin ? »Raymond s’était déjà renseigné sur la puissance de la famille Dublanc, sinon il ne serait pas venu en personne pour coopérer avec eux. Ils connaissaient tous très biens la raison pour laquelle il avait dit cela.Après avoir entendu les paroles d’Augustin, Raymond a dit en souriant : « La famille Dublanc est forte. Alors Monsieur Dublanc, comment devons-nous régle