Chapitre 04

Chapitre 4

— Jack, je veux me retirer, ainsi que mes parents, de la famille Smith ; je veux mettre fin au contrat qui empêche mon père de travailler pour une autre entreprise ; et ils devraient lui payer tout l'argent qu'il demande de la part de la société Smith.

Jack écoutait tout en écrivant tout, puis demanda à la famille Smith si cela posait problème.

Pendant tout ce temps, la famille Smith se demandait 

— Comment diable ce salaud connaît-il le patron de l'institut de la firme de la Ville A, et la manière dont il était respectueux envers elle les surprit encore plus, donc ils n'écoutèrent pas ce que l'avocat leur demandait, ils acceptèrent simplement.

— Si vous acceptez, veuillez signer ici.

Ils signèrent tous, y compris la jeune génération en tant que témoins, puis brûlèrent l'ancien accord en morceaux.

C'était un arrangement qu'il avait fait avec ses parents pour épouser sa femme ; malgré le fait d'être le plus travailleur, il n'était pas censé travailler pour une entreprise ou obtenir les faveurs de l'entreprise.

Il ne pouvait pas croire qu'il avait retrouvé sa liberté, grâce à sa fille.

Il avait toujours voulu quitter cette famille et créer sa propre entreprise car il savait qu'il était brillant et avait de grandes ambitions, mais chaque fois qu'il essayait de parler à son père de quitter la famille et de commencer sa carrière, il le menaçait avec cet accord.

Il ne pouvait pas croire qu'il était maintenant détruit et qu'il pouvait travailler dur pour offrir à sa fille et à sa femme un avenir meilleur, il souriait les larmes aux yeux et tenait sa fille.

— Merci ma chérie d'avoir restauré ma liberté, Papa te promet que désormais, je travaillerai très dur pour te rendre toi et ta maman fières.

Sa femme se joignit à l'étreinte car elle se sentait coupable à chaque fois qu'elle voyait son mari humilié. Elle croyait que c'était à cause d'elle, si elle ne l'avait pas épousé, il aurait peut-être une meilleure vie et pourrait réaliser ses aspirations.

— Je remercie Dieu dans mon cœur de m'avoir donné une fille sensée qui comprend et est prête à sacrifier n'importe quoi pour ma famille.

Pour la première fois en vingt-deux ans depuis que Sandra avait fui sa maison, elle pensait à sa famille et se demandait 

— Comment vont-ils ?

Elle se demandait si ses parents lui pardonneraient un jour sa décision. Néanmoins, elle avait eu une deuxième chance de corriger ses erreurs, et elle avait l'intention de travailler dur avec son futur mari pour s'assurer qu'ils atteignent le sommet par leurs propres efforts.

— Maintenant que tout est fait et que nous avons tout signé, vous devez remplir votre part du marché, déclara le vieux Smith, brisant le silence de la famille.

— Ne vous inquiétez pas, Grand-père, dit-elle. 

— Je suis bonne pour tenir mes promesses et je méprise forcer les gens à faire des choses qu'ils ne veulent pas faire, contrairement à vous, dit-elle en se tournant vers William, qui était là debout comme si tout devant lui était un drame, il était si silencieux que si vous ne regardiez pas de près, vous pourriez penser qu'il n'y avait personne.

Cela la fit se questionner sur son futur mari, si ses gens peuvent être si calmes au milieu d'une tempête, est-ce parce qu'ils ont beaucoup de drame ou est-ce qu'il n'est pas aussi ordinaire qu'ils le présentent aux gens, mais elle laissa tomber.

car elle n'avait pas le temps de réfléchir à ces choses.

— Dites à votre patron ou à qui que ce soit que vous appelez qu j'ai accepté de l'épouser, qu'il me donne l'heure de rendez-vous aux affaires matrimoniales pour obtenir notre certificat, déclara-t-elle, comme si elle parlait de quelqu'un d'autre qui se mariait, pas d'elle-même.

Dès que sa tâche fut terminée, M. William déclara : 

— D'accord, maintenant je vais prendre congé.

Sandra dit à ses parents de faire leurs bagages car ils partaient, et elle dit à son grand-père d'appeler les finances de l'entreprise pour régler l'argent de son père afin qu'ils puissent quitter la maison.

Le vieux Smith grinça des dents, mais il n'y avait rien qu'il puisse faire, alors il demanda à son fils aîné de contacter les finances de l'entreprise et d'informer tout le monde dans l'entreprise qu'Andrew n'était plus autorisé à entrer dans l'entreprise et n'était plus membre de la famille Smith, avec sa fille et sa femme.

Cela rendit la famille Smith restante ravie car ils pensaient que c'était à leur tour de s'assurer qu'Andrew et sa femme ne reviendraient pas à la famille Smith une fois qu'ils regretteraient leur décision. La vieille femme Smith s'approcha d'Andrew comme si elle n'était pas sa mère et déclara :

— Ne reviens jamais ici mendier ! si les choses ne se passent pas comme tu les avais prévues.