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Chapitre 139 : J'ai mis enceinte la fiancée et la sœur de mon meilleur ami 27

Penulis: Déesse
last update Terakhir Diperbarui: 2025-05-02 06:11:58

Alessandro

Elle est étendue sous moi alors que mes lèvres effleurent son clitoris , puis je l'aspire lui arrachant un gémissement .

Ma langue entre dans le jeu , elle lèche son clitoris alors que je continue d'entrée et de sortir de sa chatte avec mes doigts j'essaie d'atteindre l'endroit le plus éloigné possible . Elle jouit enfin dans un cri . J'ai un sourire arrogant aux lèvres , j'aime la voir comme ça , abandonner à moi , si fragile et si belle !

Je caresse lentement mon sexe alors qu'elle ouvre les yeux pour me regarder , je lui demande :

- Ma chérie , dis-moi combien de fois as-tu envie de ma grosse queue !

Je continue de me caresser alors qu'elle avale sa salive son regard est sur cette queue qui lui fait toujours tant de bien .

Elle finit par ouvrir la bouche :

- J'ai trop envie de toi mon chéri , s'il te plaît , pénètre-moi !

Je me penche un peu vers elle puis je joue un moment avec son entrée en faisant un tour avec la tête de mon sexe . Elle tremble en pensant que j
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    ÉLÉNAIl n’y a pas eu de promesse, pas de serment échangé dans le noir, pas de regard appuyé avant de partir, il n’y a eu que le bruit du matin qui entre sans prévenir, la lumière blafarde sur mes reins nus, le drap encore moite de nous, le vide là où son corps aurait dû être, là où, pendant quelques heures, j’ai cru pouvoir m’abandonner sans tomber, j’ai cru qu’il resterait, qu’il ne fuirait pas, pas encore.Mais il l’a fait.Sans un mot, sans une note griffonnée, sans même une cigarette laissée sur le rebord du lavabo, il s’est volatilisé, comme une ombre qu’on ne peut jamais vraiment saisir, comme une fièvre qui vous quitte au petit matin mais qui vous laisse lessivée, étrangère à vous-même.Et moi, je suis restée là, allongée dans le lit défait, les jambes écartées, tremblantes encore de son empreinte, de ses gestes, de ses ordres, de ses silences, de sa violence douce et cruelle à la fois, je suis restée là à respirer son absence, à goûter le sel de sa disparition sur ma langue,

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    ÉLÉNAC’est d’abord une voix.Grave. Lente. Le genre de timbre qui vous attrape par la colonne vertébrale pour vous forcer à écouter. Je ne distingue pas les mots, pas encore. Juste cette vibration chaude qui se glisse sous ma peau, comme un murmure soufflé contre ma nuque nue.Je ne devrais pas être là.Déposer un dossier, signer un formulaire, repartir. C’est tout. Rien de plus. Mais mes doigts tremblent autour de la chemise cartonnée, et mes talons hésitent sur le sol ciré du hall d’entrée.Puis je le vois.Neyl.Il ne regarde pas les autres. Il ne regarde rien, en vérité. Il avance dans l’espace comme s’il le possédait déjà. Un tailleur anthracite parfaitement ajusté, une chemise sombre ouverte sur la gorge, et ce regard… noir, fendu d’acier, impassible, jusqu’à ce qu’il se tourne vers moi.Et là, tout s’arrête.Il me voit.Pas comme on remarque quelqu’un. Non. Il me voit comme on cible. Comme on choisit.Son regard me balaye sans honte, sans détour, sans pudeur. Il ne s’attarde p

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