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Chapitre 203 : Le mari de ma tante 49

Penulis: Déesse
last update Terakhir Diperbarui: 2025-05-22 03:31:09

Jack

Je conduisis sur les routes sinueuses qui menaient à chez moi, mon esprit encore engourdi par la conversation avec Djena. Les rues de la ville défilaient, mais il m'était difficile de me concentrer. Mes pensées tourbillonnaient autour de ma femme, Josiane, et des promesses que je lui avais faites, tandis que l'image de Djena, vulnérable et sincère, persistait dans mon esprit. Chaque fois que je pensais à elle, une vague de culpabilité m’envahissait.

Arrivé chez moi, je poussai la porte en bois, un geste banal mais, ce soir, une tension s'était installée en moi. Josiane m'accueillit avec un sourire chaleureux, ignorant totalement le tumulte émotionnel qui se trame en moi.

"Alors, comment s'est passée ta journée ?" demanda-t-elle, en se dirigeant vers la cuisine.

« Ça a été, » répondis-je, levant les yeux, le regard pensif. Je ne pouvais m’empêcher de penser à Djena, à ses incertitudes, et à la promesse d’une conversation encore à venir. Une partie de moi savait que je ne pouvais
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  • Baise-moi    Chapitre 204 : Me mari de ma tante 50

    Jack Je me réveillai au petit matin, la lumière douce et dorée du soleil filtrant à travers les rideaux de notre chambre. Les rayons caressaient doucement mon visage, et j’ouvris les yeux lentement, encore engourdi par le sommeil. À mes côtés, Josiane dormait paisiblement, ses cheveux éparpillés sur l’oreiller, et son visage serein. Un sentiment de tendresse m’envahit en l’observant. C’était bien là la femme que j’aimais, celle avec qui j’avais bâti ma vie.Je pris un moment pour apprécier la tranquillité de l’instant. La nuit vécue auparavant, bien que troublée par des pensées contradictoires, m’avait permis d’une certaine manière de retrouver une connexion avec Josiane. J’avais compris que je ne pouvais plus rester dans l’incertitude. Il était temps de lui prêter plus d’attention, d’être pleinement présent.Je me redressai légèrement, tout en évitant de la réveiller. La sérénité de notre chambre tranchait avec le tumulte de mes pensées. Je savais que je devais lui montrer à quel po

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    Jack Je conduisis sur les routes sinueuses qui menaient à chez moi, mon esprit encore engourdi par la conversation avec Djena. Les rues de la ville défilaient, mais il m'était difficile de me concentrer. Mes pensées tourbillonnaient autour de ma femme, Josiane, et des promesses que je lui avais faites, tandis que l'image de Djena, vulnérable et sincère, persistait dans mon esprit. Chaque fois que je pensais à elle, une vague de culpabilité m’envahissait.Arrivé chez moi, je poussai la porte en bois, un geste banal mais, ce soir, une tension s'était installée en moi. Josiane m'accueillit avec un sourire chaleureux, ignorant totalement le tumulte émotionnel qui se trame en moi. "Alors, comment s'est passée ta journée ?" demanda-t-elle, en se dirigeant vers la cuisine.« Ça a été, » répondis-je, levant les yeux, le regard pensif. Je ne pouvais m’empêcher de penser à Djena, à ses incertitudes, et à la promesse d’une conversation encore à venir. Une partie de moi savait que je ne pouvais

  • Baise-moi    Chapitre 202 : Le mari de ma tante 48

    Djena Le lendemain matin, je me réveillai avec la sensation d’avoir été traversée par un torrent de sentiments contradictoires. La décision de faire une pause avec Jack ne m’avait pas apporté la tranquillité que j’avais espérée. Au contraire, elle avait ajouté une couche supplémentaire de confusion à un tableau déjà flou. Je n’arrivais pas à échapper à l’écho de ses paroles, à cette douleur silencieuse qu’il avait laissée derrière lui, et je savais qu’il n’accepterait pas longtemps cette distance que je lui imposais.En même temps, il y avait Romain. Ce weekend passé à ses côtés avait été une bouffée d’air frais, un répit dont j'avais cruellement besoin. Mais même avec lui, je me sentais tiraillée, comme si j’étais condamnée à marcher sur une corde raide, incapable de savoir quel chemin prendre.Je n’avais pas beaucoup dormi, trop perdue dans mes pensées. Mais à un moment donné, la sonnerie du téléphone me tira de ma torpeur. Un message de Romain. Il m’avait écrit qu’il passerait me

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    Djena Je restai là, figée, mes yeux rivés sur l’endroit où Jack venait de disparaître. Le vent léger caressait mon visage, comme une brise timide cherchant à apaiser la tension qui s’était installée entre nous. Mais rien ne pouvait effacer la lourdeur de ce moment, cette sensation d’incompréhension, de regrets. Tout ce que j'avais redouté venait de se produire. Nous étions là, chacun de notre côté, à nous disputer pour des raisons que je n'avais pas su exprimer clairement.Je n'avais jamais voulu en arriver là, mais maintenant que c’était fait, je savais que quelque chose devait changer. La distance entre Jack et moi semblait désormais plus grande qu’elle ne l’avait jamais été. Nos discussions, même les plus sincères, n’arrivaient plus à combler ce vide que j’avais moi-même créé. Peut-être était-ce moi qui avais perdu le fil, qui m'étais égarée dans un tourbillon de doutes et d’incertitudes.Je pris une profonde inspiration avant de sortir mon téléphone. Je n'avais pas le choix. Il f

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    Djena Quand je franchis le seuil de la porte, mon regard se posa immédiatement sur Jack. Il était là, debout devant ma porte, l’air grave, les bras croisés, comme s’il m’attendait depuis des heures. Je sentis une pression dans ma poitrine. Ce moment allait arriver, celui où tout ce que j’avais ignoré et repoussé pendant tout le weekend allait éclater.Je m’arrêtai un instant, hésitant à avancer. Il me fixa sans un mot, ses yeux brillants d’une inquiétude et d’une colère contenues. Je ne savais pas ce qu’il pensait exactement, mais je pouvais deviner la tension dans son regard. Et je savais que, tôt ou tard, il fallait que j’y fasse face.Alors que je faisais quelques pas vers lui, la voiture de Romain ralentit et s’arrêta derrière moi. Je n’avais pas eu le temps de le remercier ou de lui adresser un mot de plus avant qu’il ne parte, mais je n’avais pas le courage de le retenir, de prolonger encore ce moment. Je tournai la tête pour le regarder s’éloigner, avant de poser de nouveau le

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    Djena Le lundi matin, je me réveillai lentement, comme si la réalité m'avait rattrapée en douceur, mais avec une certaine insistance. Le weekend que j’avais passé avec Romain m’avait offert une parenthèse de tranquillité, loin des préoccupations et des tensions de ma vie quotidienne. Mais maintenant, il était temps de revenir à la réalité. Le week-end s’était écoulé trop vite, et je n’avais pas vraiment eu l’occasion de réfléchir à tout ce qui m’attendait à mon retour. Les appels manqués de Jack, les messages sans réponse, tout cela m’attendait comme une épée de Damoclès. Et chaque minute de silence me pesait un peu plus.Je me lève et prends une douche .J’étais en train de me préparer lentement, le cœur lourd, quand , Romain entre dans la chambre :- Bonjour ma chérie , as-tu bien dormi ?- Oui , bonjour à toi , n'a très bien dormi - Es-tu prête à partir ?- Oui , - D'accord , tu n'oublies pas de manger avant de descendre , tu dois avoir faim !- C'est vrai , j'ai très faim .Je

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    Jack Le lundi matin, je me réveillai avec un malaise que je ne pouvais expliquer. Il avait suffi d’un weekend sans nouvelles pour que l’angoisse se fraye un chemin en moi. Je savais que ça n’avait pas de sens. Elle était indépendante, elle avait ses occupations. Mais cette sensation de vide, de silence, m’envahissait d'une manière insupportable. Je n’avais cessé d’essayer de la joindre tout le weekend, entre appels et messages. Mais chaque fois, son téléphone était éteint, sans réponse. À chaque tentative, une petite frustration s'était accumulée, se transformant peu à peu en une anxiété grandissante. Et ce matin, je m'étais réveillé avec ce poids, ce vide lourd dans la poitrine.Je n’étais pas du genre à être dépendant, à m'inquiéter sans raison. Mais il y avait quelque chose dans cette situation qui me déstabilisait. Je pris mon téléphone, espérant qu'il y aurait enfin une notification, un message. Mais non, rien. Pas de message, pas d’appel. Il n’y avait que le silence. Je posai m

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    Djena Le weekend semblait se déployer comme une mer calme, chaque instant flottant doucement entre les heures, chaque moment partagé étant une douce découverte. Dès le samedi matin, alors que le soleil peinait encore à traverser les rideaux épais, nous nous étions réveillés tard, un peu engourdis de sommeil, mais heureux de n’avoir nulle part où aller. Le parfum du café frais envahissait la pièce, tandis que je me levais en baillant et que Romain, déjà en train de préparer des œufs brouillés, me lançait un regard complice."Je pensais que tu allais dormir encore un peu", dit-il en souriant, sa voix encore chargée de la douceur du matin.Je lui répondis en haussant les épaules, un sourire paresseux sur les lèvres. "Je crois qu’on a toute la journée devant nous. Je ne vois pas pourquoi je serais pressée."Il me tendit une tasse de café, et je m’assis à la table, observant le soleil qui faisait éclater de petites touches dorées à travers la fenêtre. La matinée se déroulait dans une lent

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    Djena Le frisson de son contact me traversa, réveillant en moi une nouvelle vague de désir. Je lui rendis son sourire, mes joues s’empourprant légèrement tandis que j'éprouvais l’excitation tranquille d’un nouveau matin à ses côtés.Il m’attira doucement vers lui, m’enveloppant dans ses bras musclés. Je sentis la chaleur de son corps contre le mien, une promesse silencieuse de ce qui allait suivre. Dans un élan de désir, il déposa des baisers sur mon front, ma joue, puis sur mes lèvres, chaque baiser une invitation à descendre un peu plus dans l’abîme du plaisir.Romain me saisit délicatement par la taille et, avec une fluidité presque magique, me fit rouler sur le dos, perdant la notion du temps alors que nous nous installions l’un contre l’autre dans un cocon de douceur. Sa présence était électrique, et je pouvais sentir la chaleur se répandre en moi à l'idée de ce qu'il souhaitait accomplir.« Je crois que je ne peux pas me passer de toi, » souffla-t-il à mon oreille, ses mots enf

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