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Chapitre 62 : Une douce vengeance 

Author: Déesse
last update Last Updated: 2025-04-17 06:16:00

Luciano Lance

Je me regarde encore dans le miroir : je suis parfait . Parfait pour ma rencontre avec ma patronne , elle revient après deux semaines de voyage . J'ai payé son ancienne sevré pour qu'elle demande trois mois de repos maladie . Ce qui me vaut de prendre sa place durant cette période . Je dois être là , car il me faut trouver des réponses à la mort très suspecte de mon père . Mon père était un employé de cette entreprise . Il avait une santé fragile . Malgré le fait que je lui envoyais de l'argent chaque fin de mois , il tenait à travailler . Il ne voulait pas être une charge pour moi . J'ai entendu dire que cette femme est très méchante et qu'elle maltraite pratiquement ses employés .

Je m'appelle Luciano Lance et je viens venger la mort de mon père . Alors il me faut trouver des preuves contre cette femme , je dois montrer aux yeux du monde quelle mauvaise femme d'affaires elle est . Où encore montrer comment elle a bâti sa fortune grâce à la souffrance de ses employés
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    Djena Le matin se leva en douceur, les rayons du soleil filtrant à travers les rideaux avec une chaleur réconfortante. Je me réveillai lentement, encore enveloppée dans la chaleur des draps, le parfum musqué de Romain m’enveloppant. Je n’avais jamais été aussi bien réveillée. Mon corps, encore lourd du plaisir de la nuit, semblait s'éveiller à la vie lentement, avec un bonheur léger.Je jetai un coup d'œil à Romain. Il était étendu à mes côtés, les traits calmés par le sommeil, et je me perdis un moment dans l'admiration de son visage apaisé. Il avait cette beauté naturelle, presque hypnotique, qui me faisait chavirer. Ses cheveux ébouriffés et son sourire endormi éveillèrent en moi un sourire. Je ne savais pas ce qu’allait devenir cette journée, mais j’étais prête à me laisser porter par le courant.L’air frais du matin invita des sentiments d’euphorie et de sérénité. J’avais envie de plus, de découvrir non seulement son corps mais aussi l’homme qu’il était. Puis, alors que la premi

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    Djena Le jour s’était transformé en soirée, et je me tenais devant le miroir de ma chambre, contemplant mon reflet. Les lumières tamisées, l'air chargé de parfum de ma lotion préférée, contrastaient avec les pensées tumultueuses qui parcouraient mon esprit. J'avais l'impression que chaque décision que je prenais m'éloignait un peu plus de la sécurité que je connaissais. Romain, m'avait récemment invité à dîner. Il avait toujours été charmant, avec son sourire engageant et son sens de l'humour désarmant. Pourtant, ce soir, je savais que l'invitation avait une certaine connotation, bien plus qu'un simple repas entre amis. À l'inverse, cet appel imprévu entraînait un frisson d’excitation, mais également l’ombre de mes doutes.Avec une dernière vérification de ma tenue, je pris une profonde respiration avant de quitter chez moi. En chemin, j'essaie de faire le vide dans ma tête, mais l'image de Jack et de son regard doux m'assaillait. Pourquoi m’étais-je laissée entraîner dans cette sit

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    Jack Je me réveillai au petit matin, la lumière douce et dorée du soleil filtrant à travers les rideaux de notre chambre. Les rayons caressaient doucement mon visage, et j’ouvris les yeux lentement, encore engourdi par le sommeil. À mes côtés, Josiane dormait paisiblement, ses cheveux éparpillés sur l’oreiller, et son visage serein. Un sentiment de tendresse m’envahit en l’observant. C’était bien là la femme que j’aimais, celle avec qui j’avais bâti ma vie.Je pris un moment pour apprécier la tranquillité de l’instant. La nuit vécue auparavant, bien que troublée par des pensées contradictoires, m’avait permis d’une certaine manière de retrouver une connexion avec Josiane. J’avais compris que je ne pouvais plus rester dans l’incertitude. Il était temps de lui prêter plus d’attention, d’être pleinement présent.Je me redressai légèrement, tout en évitant de la réveiller. La sérénité de notre chambre tranchait avec le tumulte de mes pensées. Je savais que je devais lui montrer à quel po

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    Djena Quand je franchis le seuil de la porte, mon regard se posa immédiatement sur Jack. Il était là, debout devant ma porte, l’air grave, les bras croisés, comme s’il m’attendait depuis des heures. Je sentis une pression dans ma poitrine. Ce moment allait arriver, celui où tout ce que j’avais ignoré et repoussé pendant tout le weekend allait éclater.Je m’arrêtai un instant, hésitant à avancer. Il me fixa sans un mot, ses yeux brillants d’une inquiétude et d’une colère contenues. Je ne savais pas ce qu’il pensait exactement, mais je pouvais deviner la tension dans son regard. Et je savais que, tôt ou tard, il fallait que j’y fasse face.Alors que je faisais quelques pas vers lui, la voiture de Romain ralentit et s’arrêta derrière moi. Je n’avais pas eu le temps de le remercier ou de lui adresser un mot de plus avant qu’il ne parte, mais je n’avais pas le courage de le retenir, de prolonger encore ce moment. Je tournai la tête pour le regarder s’éloigner, avant de poser de nouveau le

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