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Chapitre 390
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Ma Femme, Ma Secrétaire Chapitre 390
La chaleur se répand de mon sexe au reste de mon corps sous la lenteur et la détermination avec lesquelles Sophie m’avale. Elle n’a pas encore bougé, mais la simple sensation de me prendre entièrement dans sa petite bouche me brûle.La main qui la tient par les cheveux retombe mollement à mes côtés, serrant le poing pour reprendre le contrôle. Je perds rapidement le contrôle, luttant contre l’envie de m’enfoncer dans sa bouche jusqu’à ce que je touche le fond de sa gorge.Sophie se retire, mon sexe glissant hors de sa bouche d’un seul mouvement. Il est brillant, dégoulinant de la même salive qui descend lentement le long des sèvres.Elle lèche la salive en souriant avant de rejaillir sur moi. Cette fois, elle l’avale d’un coup, s’arrêtant juste avant le fond de sa gorge. Elle commence à bouger, le faisant entrer et sortir de sa bouche tandis que ses mains pétrissent mes couilles.Ses lèvres et l’intérieur brûlant de ses joues donnent une sensation de succion, comme si elle essayait d’a
Ma Femme, Ma Secrétaire Chapitre 389
Point de vue de TimothéeSophie rampe vers moi à quatre pattes, lentement, avec tout le charme d’un grand chat qui traque silencieusement sa proie.Ses yeux me retiennent dans une trance tentante, ses lèvres sont légèrement entrebâillées comme si respirer par le nez ne suffisait pas pour elle.Avant qu’elle ne commence à ramper vers moi, tout le sang de mon corps semble déjà avoir afflué vers mon sexe, donc je ne pense pas qu’il puisse devenir plus dur. Mais, il le devient. Alors qu’elle prend son temps pour me rejoindre, il pèse lourdement dans ma main crispée, suppliant à être enfoncé déjà dans sa bouche consentante.Mais j’aime cette montée lente, l’attente qui me laisse sans souffle comme si j’avais déjà couru un marathon.Finalement, Sophie me rejoint.Comme un chien obéissant qui n’a même pas besoin d’ordre, elle se met à genoux devant moi, mon sexe planant comme une ombre sur son visage. Sophie maintient ses beaux yeux bruns fixés sur moi, ses joues sont rosies d’un léger blush.
Ma Femme, Ma Secrétaire Chapitre 388
CHAPITRE 75 [À QUATRE PATTES ]SOPHIETimothée a perdu, et il a perdu lamentablement.Il s’est assis en face de moi, large d’épaules et la mâchoire serrée, vêtu seulement d’une chemise et d’un boxer noir moulant qui n’avait absolument pas à être aussi flatteur sur qui que ce soit. Pendant ce temps, moi, je suis restée entièrement habillée, détendue par terre, les jambes croisées, avec un sourire satisfait plaqué sur le visage.Nous avons commencé un autre tour et c’était à lui de jouer, mais il a pris tout son temps comme si cela allait changer quoi que ce soit. Il a étudié les lettres avec cette même concentration laser qu’il utilisait probablement pour conclure des contrats à plusieurs millions. Il a eu une légère ride entre les sourcils, comme si ce n’était pas juste un jeu.Je ne me suis pas plainte, cela dit. J’ai adoré ses regards sérieux. Cela rend le moment encore meilleur quand je le vois enfin perdre complètement son sang-froid.« Ne réfléchis pas trop », ai-je lancé en
Ma Femme, Ma Secrétaire Chapitre 387
CHAPITRE 74 [Jeux d’adultes ]SOPHIEDeux jours !Timothée m’avait promis deux jours ! Mais il n’avait été là que physiquement – son esprit, lui, semblait toujours au bureau. C’était le week-end – un foutu dimanche en plus – mais on aurait dit n’importe quel autre jour.J’avais fait les cent pas dans la chambre d’hôtel, lançant des regards furieux à Timothée, encore une fois scotché à son téléphone. Il se tenait près de la fenêtre, tel une statue d’indifférence, la voix basse et sèche alors qu’il débitait je-ne-sais-quoi sur les rapports trimestriels à son interlocuteur.Il avait été comme ça depuis notre réveil, après une nuit de sexe interminable. Mais ce n’était pas censé se passer ainsi. J’avais tout planifié à la perfection.Cette escapade devait être à propos de nous, pas de son boulot, ni de sa fiancée, ni du reste du monde. Mais clairement, j’avais surestimé l’importance de ce « nous » pour lui.Je m’étais laissé tomber sur le lit, les bras croisés, fixant le plafond. Je
Ma Femme, Ma Secrétaire Chapitre 386
CHAPITRE 73 [La Belle-Sœur Angélique]ELAINE (3)IL Y A TROIS SEMAINESLa liberté a été à portée de main.Pour la première fois depuis des années, les chaînes qui m’attachaient à cette maison, à cette famille, ont commencé à se desserrer. J’ai presque pu la goûter.Je l’ai fait. J’ai convaincu Timothée de m’épouser, de m’offrir la seule chose dont j’avais le plus besoin : un billet pour m’éloigner d’eux. Loin de Jacob. Loin des cauchemars.Quand j’ai tout avoué à Timothée, je m’attendais à ce qu’il parte. La culpabilité a pesé plus lourd que les cicatrices sur ma peau, et je n’ai pas été assez naïve pour croire que le pardon viendrait facilement, ou même qu’il viendrait tout court.Mais à ma grande surprise, il n’est pas parti. Il n’a même pas semblé choqué. Et je savais pourquoi.Sophie.Je lui ai été redevable pour ça. Timothée a été tellement désespéré de nier ce qu’il ressentait pour elle qu’il a choisi de rester — avec moi, de toutes les personnes possibles. L’ironie m’a p
Ma Femme, Ma Secrétaire Chapitre 385
CHAPITRE 72 [Le Garçon Doré]ELAINE(2)Avertissement : ce chapitre contient des scènes de maltraitance susceptibles de heurter la sensibilité de certains lecteurs.IL Y A UN ANLa maison a été silencieuse, comme elle l’avait toujours été quand Jacob avait orchestré ses jeux. Il n’y avait ni belle-mère pour aboyer des ordres, ni père arpentant les couloirs. Même le jumeau plus doux n’avait pas toujours été là dans ces moments-là.Il n’y a eu que lui et moi — comme si Dieu avait réellement voulu me punir en laissant Jacob obtenir ce qu’il voulait, tout le temps. J’avais appris à ne jamais baisser ma garde dans une maison vide. Mais savoir ne m’avait jamais suffi. Jamais.Je me suis tenue au milieu de ma chambre, les doigts tremblants, alors que je venais de plier la dernière chemise dans le tiroir — mes mains étaient devenues douloureuses à force de faire la lessive pour toute la maison. L’air m’avait semblé lourd, comme si les murs eux-mêmes avaient retenu leur souffle. Le léger gr
Ma Femme, Ma Secrétaire Chapitre 384
CHAPITRE 71 [Mon bourreau]ELAINEQuelqu’un, sauvez-moi.Ces mots ont résonné dans ma tête alors que j’ai fixé mon reflet dans le miroir. Mes doigts se sont crispés autour de mon téléphone, les bords me mordant la peau comme si la douleur pouvait me sortir de cette misère étouffante qui m’a submergée.Mes cheveux, autrefois joliment coiffés, sont tombés en mèches plates, collant à mon front moite. Mon maquillage a coulé légèrement autour de mes yeux, conséquence des larmes que je n’ai pas pu me permettre de laisser couler. Et cette robe — oh, cette robe.Des couches de dentelle et de soie ont cascadé en une chute immaculée de blanc, mais elle n’était pas élégante. Elle a incarné tout ce que j’ai détesté dans ma vie.Le col était trop haut, le tissu trop rigide, et il a épousé mon corps aux mauvais endroits, me donnant plus l’air d’une poupée de porcelaine que d’une mariée. Je l’ai détestée. Mais depuis quand mon avis comptait-il ? Surtout avec elle.Ma belle-mère avait pris la dé
Ma Femme, Ma Secrétaire Chapitre 383
CHAPITRE 70 [Cœurs-à-Cœurs ]SOPHIESi on m’avait demandé à dix ans quel était mon plus grand souhait, j’aurais dit que c’était de vivre seule avec mon père. Plus de belle-mère inventant de nouvelles façons de me tourmenter, plus de demi-frère tournant autour de moi comme un vautour — juste mon père et moi.J’en avais même prié, chaque soir sans faute, suppliant Dieu de le faire arriver. Et maintenant, alors que je me suis assise sur le lit moelleux de ma chambre immense et douloureusement silencieuse dans son domaine, je n’ai pas pu m’empêcher de rire en pensant à quel point ces prières ont été exaucées trop tard — et surtout, de la mauvaise manière.L’ironie était presque poétique. Mon père et moi avons enfin vécu ensemble, mais l’image chaleureuse et rassurante que j’avais gardée étant enfant a été remplacée par la réalité froide et maladroite d’un homme qui ne s’est souvenu de mon existence que lorsque la mort a frappé à sa porte.Dieu a vraiment eu le sens de l’humour.Sébast
Ma Femme, Ma Secrétaire Chapitre 382
CHAPITRE 69 [Ses principes]JUSTINJe n’ai jamais été le premier choix de qui que ce soit.Peu importe combien j’ai essayé, Jacob a toujours eu la vedette. Il a été le petit prodige, celui avec les médailles et les récompenses. Pendant ce temps, moi, j’ai ramené à la maison des dessins au crayon et des récitals de piano auxquels personne n’est venu assister.Quand Jacob a choisi d’étudier l’ingénierie, mon père a organisé une fête. Quand moi, j’ai été accepté dans l’école d’art dont j’avais toujours rêvé, il m’a dit que c’était une perte d’argent.Ensuite, il m’a forcé à faire du commerce, et j’ai subi des années de cours ennuyeux, en prétendant que je ne voulais pas hurler chaque fois qu’on me demandait pourquoi je n’avais pas la discipline de mon frère.La perfection de Jacob m’a hanté partout, même maintenant, alors qu’il est plongé dans le coma. Je n’ai jamais réussi à échapper à son ombre – pas quand mon père lui a rendu visite chaque jour et a dépensé ce qui restait de sa fo
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