Share

CHAPITRE 4

Chapitre IV

La tristesse est momentanée, la douleur est toujours éternelle.

Samuel Ferdinand-Lop

— Évidemment ! Ça devait arriver ! dit-elle, pâle de colère.

D’un pas vif, elle s’apprêta à rentrer chez elle, mais Boris la retint aussitôt par le bras.

— Attends, soyons prudents. Je vais entrer en premier.

À ce moment-là, le voisin de palier ouvrit sa porte. Il tenait une canette de bière et semblait quelque peu éméché.

— Je savais bien que j’avais entendu des bruits, dit-il à Hélène d’une voix indifférente. En constatant les dégâts, j’ai appelé la police. C’est ce qu’on doit faire dans ces cas-là n’est-ce pas ?

Chapitre verrouillé
Continuer à lire ce livre sur l'application

Related chapter

Latest chapter

DMCA.com Protection Status