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Chapitre 3 - La Première Nuit - Désirs

Penulis: Foxy
last update Terakhir Diperbarui: 2025-05-15 20:09:57

Elle semblait si fragile en cet instant, tellement soulagée d’avoir eu une oreille pour l’écouter, une épaule pour se reposé.

Il caressait ses cheveux dans son dos, observant les cicatrices qui le jonchaient. Il avait bien vu : son dos en est recouvert.

Est-ce que c’était lui qui lui avait fait subir tant de souffrances ?

La réponse semblait évidente.

Elle s’était mise à pleurer contre lui en silence, elle avait besoin de laisser sortir une partie de ses émotions.

L’eau chaude et les caresses l’aident à se contenir.

Puis, la nature commença à faire son œuvre lentement.

Un lien avait commencer à se tissé entre eux depuis le jour où il l’avait empêcher de convulsé dans la grotte. Se lien s’était renforcé quand il avait choisi de ne pas la livrer au Grand Conseil alors qu’elle était son ordre de mission. Et là, dans l’instant présent, il l’à réconfortait humblement.

Chaque fois qu’un doigt touchait sa peau, il ressentait un picotement électrique léger. Même lui ne savait plus depuis combien de temps une femme ne l’avait pas toucher, alors en avoir une contre lui, aussi belle d’ailleurs, n'était pas si désagréable.

Elle avait réveiller quelque chose en lui qu’il avait oublié depuis tout aussi longtemps...

L’impression était celle de la température de l’eau qui augmentait... Que le vent avait cessé de souffler sa brise fraîche, les arbres s’étaient tus, les oiseaux dormaient, il n’y avait plus un bruit, l’ambiance était incroyablement électrique avec ses deux corps l’un contre l’autre dans une source chaude.

Chacun d’eux réagissait différemment au contact de l’autre, mais dans la même direction.

Lorsqu’elle se redressa, il posa les mains sur ses joues pour essuyer ses larmes avec ses pouces, avec une tendresse qu’il ne se connaissait pas.

Ses yeux rencontraient les siens.

L’on dit que les yeux sont le miroir de l’âme... Il ne savait pas si ce qu’il voyait à travers eux étaient un miroir brisé, ou si c’était son âme...

Elle posa les mains par dessus les siennes en soutenant son regard. C’était un instant privilégié, ils le savaient et en profitaient pour se lire mutuellement.

Elle le connaissait si bien de part ses exploits et sa réputation, mais elle n’arrivait pas à déchiffrer le langage de ses yeux.

Elle se releva, et il détourna les yeux par respect, le temps qu’elle sorte de l’eau en silence, et qu’elle prit le temps de se rhabiller.

Il en fit de même par la suite alors qu’elle était partie s’occuper du feu, afin de faire des brochettes avec le serpent tué plus tôt.

Il ramassa son pendentif, qui avait céder. Elle ne s’était pas aperçue qu’elle l’avait perdue.

En revanche, elle avait récupérer la dague qu’il avait déposé avant de la rejoindre.

Il retourna au feu de camp et s’installa prêt d’elle s’en être intrusif.

Elle préparait le repas en faisant des assortiments de serpent avec des fruits cueillis sur le chemin, et elle faisait cuir le tout sur le feu.

Avec si peu de choses, elle avait réussi à faire un repas consistant.

Lorsqu’ils eurent terminé de manger, il se plaça derrière elle et mis ses cheveux de côté, pour lui remettre son pendentif.

- Merci... Je croyais l’avoir perdu.

- En sortant de l’eau, oui. Je pense que tu y tiens.

- En effet... C’est la seule chose qu’il me reste de mon petit garçon. Elle me donne la force de me battre chaque jour pour lui. Même si parfois c’est plus compliqué...

- Il te manque. Je suppose que c’est normal pour une mère privée de son enfant. Quand tu le reverras, il sera fier de toi.

Elle le regarde par dessus son épaule, tandis que sa main glisse dessus, et qu’il vient déposé un léger baiser sur son cou, faisant frissonner sa nuque.

Elle le voulait aussi, le fait qu’elle ne veuille pas le repoussé était un premier signe. Elle se détendait aussi sous ses doigts, c’était un autre indice... Il ne forçait pas les choses, elles se faisaient toutes seules.

Après tout, ils n’étaient tout deux que des âmes perdues et solitaires.

Elle pencha la tête en sa faveur, lui offrant accès à plus de surface sur son cou. Il passa les bras sous les siens pour la serrer doucement contre lui en continuant ses délicieux baisers qui refaisaient monter la température progressivement.

Elle aimait ce qu’elle découvrait de lui. Personne ne connaissait cette vision de lui. Plusieurs rivaux et jaloux s’étaient déjà posé la question à savoir si Haruka était capable d’aimer quelqu’un, ou de simplement avoir des rapports de temps en temps.

Il n’avait pas la réputation d’être un coureur de jupons, mais on ne lui connaissait aucune partenaire non plus.

Elle se sentait donc particulièrement privilégiée. A juste titre, elle était à son goût... Le type de femme qu’il ne trouvait jamais sur son chemin.

Il aurait dévorée sa peau sucrée toute la nuit, mais elle le piègea en tournant la tête au moment opportun pour qu’ils échangent un premier baiser.

Il était surpris et la regardait dans les yeux, mais il remonta sa main gauche sur sa joue droite pour maintenir son visage et prolonger se doux moment.

Elle l’intensifia elle-même en allant chercher sa langue, passant une main dans sa chevelure aussi douce que la robe d’un chaton.

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