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XXIII. Au bord du gouffre.

Penulis: TessE_MGH
last update Terakhir Diperbarui: 2025-05-13 22:58:13

Dominique ayant aperçu son fils debout sur le balcon intérieur saisit rapidement la tête de Valérie pour l'embrasser pendant quelques secondes avant que cette dernière le repousse.

« Non mais ?!... » s'indigne-t-elle.

« Le p'tit nous regarde. » répond le concerné dans un signe de tête tout en essuyant de ses mains les larmes de Valérie.

Celle-ci se redresse puis se lève en jetant un coup d'œil vers le balcon. Et, en effet, le bonhomme est posté là, en train de les observer dans un air assez fatigué.

« Ça va, mon trésor ? » lui demande-t-elle en se dirigeant vers les escaliers en arborant un air normal.

« Je n'arrivais pas à dormir. »

« Je suis désolée... j'ai été bruyante, c'est ça ? »

« Disons que je me suis demandé ce qui se passait. C'est pourquoi je suis venu voir. Mais j'aurais pas dû. Pardon de vous avoir dérangé. » monologue le gamin qui se retourne vers le couloir.

« Ne t'inquiète pas, mon garçon. »

Valérie arrive à son niveau et l'accompagne dans sa chambre où sa jumelle est
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  • "La bague ne veut rien dire"   XXIII. Au bord du gouffre.

    Dominique ayant aperçu son fils debout sur le balcon intérieur saisit rapidement la tête de Valérie pour l'embrasser pendant quelques secondes avant que cette dernière le repousse. « Non mais ?!... » s'indigne-t-elle.« Le p'tit nous regarde. » répond le concerné dans un signe de tête tout en essuyant de ses mains les larmes de Valérie.Celle-ci se redresse puis se lève en jetant un coup d'œil vers le balcon. Et, en effet, le bonhomme est posté là, en train de les observer dans un air assez fatigué.« Ça va, mon trésor ? » lui demande-t-elle en se dirigeant vers les escaliers en arborant un air normal.« Je n'arrivais pas à dormir. »« Je suis désolée... j'ai été bruyante, c'est ça ? »« Disons que je me suis demandé ce qui se passait. C'est pourquoi je suis venu voir. Mais j'aurais pas dû. Pardon de vous avoir dérangé. » monologue le gamin qui se retourne vers le couloir.« Ne t'inquiète pas, mon garçon. »Valérie arrive à son niveau et l'accompagne dans sa chambre où sa jumelle est

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    « Où est-ce que tu allais comme ça ? »« Je rentrais à la maison pour me reposer avant de me préparer pour le travail. »« Je suis sincèrement désolé pour tout ce que tu es en train d'endurer. »« Parles pour Blévie ! Moi, je vais bien. »« Lorsque je te regarde, je vois de la fatigue. Tes yeux bouffis trahissent ta faiblesse que tu caches derrière une fausse assurance. Je te connais assez pour savoir que tu es abattue et j'ai mal en sachant que c'est en partie de ma faute. Tu voulais rentrer chez toi et moi,... »« Chuuuuut ! » articule Véronique en posant délicatement ses doigts devant la bouche de son interlocuteur.Avant leur rencontre, Véronique avait les yeux figés sur son téléphone, remarquant à peine les messages de Dominique. Lorsque leur regard s'est croisé après la bousculade, chacun a ressenti un sentiment de soulagement. Ils ont décidé d'aller discuter dans un endroit calme. Et quoi de mieux que la voiture de Dominique située dans le grand parking du CHU. Heureusement qu

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  • "La bague ne veut rien dire"   XVII. Écho de l'ironie.

    ~ VÉRONIQUE ~ "Demande-moi de mendier ou d'aller coucher avec lui tant que t'y es !" : c'est exactement ce que je lui avais dit à la maison. Et même en y repensant, ça n'avait pas vraiment de rapport avec le sujet principal. Bref, le temps était passé vite et je ressentais le besoin de rentrer et lui demander pardon. Comme elle occupe une grande place dans mon cœur, il m'était impossible d'attendre demain. Ce qui me faisait le plus mal n'était pas la façon dont je lui avais parlé mais son silence et son regard. Il y avait beaucoup de peine mais je ne sais pas comment j'ai pu y être insensible. J'ai demandé à Dominique de me raccompagner à la maison sous prétexte que j'étais fatiguée en vue d'écourter notre balade. Et en bon gentleman, il a accepté. Nous avons parcouru les 500-600 mètres qui nous séparaient de sa voiture en discutant, en se disant qu'on se manquait déjà. De mon côté, j'avoue que plus nos pas se rapprochaient du parking, moins j'avais envie de le quitter. Mais il fall

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