Ganaëlsy était plus expérimentée qu'elle et lui parlait tout le temps des plaisirs éprouvés lors de ses rapports sexuels, il fallait à tout prix qu'elle intègre ce monde. Mais comment?
-Tu sais ma chérie, tu n'auras ta satisfaction qu'en essayant et pas en profitant de mes absences pour les regarder dans MON PORTABLE. Va savoir combien de fois tu as fait ça.
Elle cacha ses yeux de ses mains, rouge de honte, elle ne voulait pas voir l'expression de son ami. Ce n'était pas non plus la peine d'en faire tout un fromage pour un petit vidéo mais pas n'importe lequel.
Sa dernière relation amoureuse date de deux ans, ce dernier ne pouvait pas satisfaire ses désirs; elle n'aimait pas la façon dont il la touchait, la caressait et a préféré prendre la meilleure décision le quitter.
Heureusement que sa mère rentra au même moment dans sa chambre, ça lui épargnerait les sermons de son amie.
-Comment avancent les préparatifs de la fête maman?
-Super bien! Ton père est dans son bureau et aimerait te voir. Je crois que ton nouveau chauffeur y est aussi. Dit Jaïna
-Mais maman j'ai dix-huit ans maintenant, je peux conduire toute seule. Rétorqua Hilary.
-Tu sais comment est ton père.
Furieuse, elle se rendit dans le bureau de son géniteur.
Lui pourrir la vie jusqu'à ce qu'il démissionne s'était ce qu'elle comptait faire.
Aaron se leva de bonne heure, prévint les agents du FBI et se rendit chez les Clinton après avoir fini de se préparer.
Ellipse du trajet.
De l'extérieur, la maison était remarquable par sa grandeur et son éclat fastueux. Il y avait un système de sécurité.
A l'intérieur: il y avait deux étages avec une terrasse. Un immense salon qui donnerait sur un jardin où il y avait des fleurs de toutes les couleurs et des balançoires; un sous-sol où on mettait des bouteilles de vin, de whisky...
Après avoir été annoncé, Aaron attendit Hilaire dans le salon doté d'un canapé de quinze places remplis de coussins moelleux et une large cheminée juste en face du canapé.
-Bonjour, je suis Aaron
-Je sais qui tu es. L'interrompit Hilaire qui l'invita à le suivre jusqu'à son bureau.
Ils s'asseyèrent.
-Je dois commencer par te dire que ma fille est très dure à vivre.
Aaron n'en doutait pas.
Ils entendirent cogner puis la porte s'ouvrit, laissant paraître une jeune femme aux visages angélique dotés d'un front plat, et d'un petit nez grec; ses yeux sont en amandes, son regard est tout simplement brillant et pétillant. Ses lèvres sont minces à commissures élevées tandis que ses oreilles sont courtes, petites... Son visage est particulièrement lisse, épanoui de couleur blanche avec les joues gonflées et rosâtres.
C'était la fameuse Hilary Clinton, beaucoup plus jolie en vrai que sur les photos; les yeux d'Aaron s'arrêtèrent sur sa poitrine, il pouvait voir ses gros seins puisse qu'elle ne portait pas de soutif.
-Papa, tu m'as fait appelé?
Pas même un bonjour à l'inconnu.
-Ma fille voici Aaron ton nouveau chauffeur.
Aaron se leva et se mit en face d'elle.
-Je suis là pour vous servir mademoiselle. Dit-il.
-Allez au diable. Lui dit-elle avant de sortir.
Elle ne lui facilitera pas la tâche apparemment.
Il s'assit de nouveau.
-Tu viens de le remarquer par toi même.
-En effet.
-Elle a dix-huit ans aujourd'hui et je crois qu'il sera de plus en plus difficile de la maitriser, c'est de notre faute, nous l'avons trop gâtée. Admit l'homme avec une pointe de tristesse dans la voix.
-Que voulez-vous que je fasse?
-Que vous la conduisez partout pour ensuite me faire un rapport détaillé de tous les endroits qu'elle fréquente, de qui elle voit. Ne la conduisez surtout pas en boîte, c'est l'âge de la folie...
Aaron ne prêtait plus attention à ce que disait l'homme; comment pourrait t-il lui empêcher d'aller quelque part? Il était là uniquement pour la conduire où elle voudrait aller et non pour la servir de garde du corps.
-Garder un oeil sur elle et j'ajouterai à votre salaire.
Son salaire? Bien sur que oui, ils devraient aborder le sujet car il ne savait vraiment pas pour combien de temps il travaillerait pour eux, pour beaucoup apparemment car avec cette maison immense, il ne trouverait pas les preuves du jour au lendemain.
Après avoir trouvé un accord, il décida de s'en aller.
-Vous commencerez demain car aujourd'hui on organise une grande fête.
Il acquiesça et s'en alla.
Son enfer ou peut être paradis commencera demain avec cette fille capricieuse.
La fille du patron.
*********Hilary souffla sur son café et ramena la tasse à ses lèvres. Ses mains tremblaient encore, ce qui venait de se passer l'avait complètement chamboulé."Jeffrey venait de l'embrasser" et il lui a fallu beaucoup d'effort pour le repousser. Il était totalement comme elle l'avait imaginé... Un loup.La respiration coupée, elle se passa une main dans les cheveux alors que la tasse faillit lui tomber des mains si Tamara n'était pas intervenu juste à temps.-Les pains de cakes sont prêts? Demanda t-elle à Tamara-Pas encore mais je peux vous servir autre chose mademoiselle.-Va voir si Jeffrey est encore au salon."Seigneur pourvu qu'il parte" pria t-elle intérieurement.Alors que Tamara était partie, Hilary fit un mouvement circulaire du poignet pour former la pâte dans la poêle. Elle retourna les pains de cakes.Quelques minutes plus tard-Mais mademoiselle, les pains de cakes brûlent. S'affola Tamara une fois de retour.Elle coupa le feu avec un petit hoquet.Hilary avait la têt
Jeffrey s'excusa et remercia une nouvelle fois Hilaire puis se rendit vers la jeune femme qui l'attendait impatiemment.Ses longs cheveux étaient retenus par un noeud lâche à l'arrière de sa nuque et quelques mèches retombaient sur sa joue. Son visage ne portait pas la moindre trace de maquillage et elle était vêtue d'un Jean moulant, d'un haut de survêtement et des basket gris et blanc. L'image de son corps souple le submergea.-Tu en as mis du temps mais ça en valait la peine.Ses lèvres étaient pulpeuses, ses froncements de sourcils diaboliquement sexy.Il n'était pas mal non plus dans sa tenue décontractée.Sans s'y attendre, Jeffrey glissa sans main dans la sienne et ils sortirent ensemble. Une fois dehors, Aaron vint à leur rencontre.-Je vous emmène quelques parts mademoiselle Hilary ?-Comme tu as pu le constater, j'ai ma voiture et je sais conduire donc c'est pas la peine.Ils prirent conger d'Aaron. Jeffrey ouvrit galamment la porte de sa Mercedes à Hilary qui y monta, il mo
Ses mains passèrent de ses bras à sa taille. Délicate, fine, il serra ses doigts contre sa taille en humant son parfum. Elle ne faisait plus la rebelle et il en profita pour l'embrasser. Ses lèvres effleurèrent à peine les siennes qu'Aaron intervint et propulsa Jeffrey vers l'arrière. Énervé, ce dernier voulut ce jeter sur lui mais Hilary se mit à temps entre les deux hommes.-C'est qui lui?-Mon chauffeur.-À voir son comportement on dirait ton homme. Pourquoi se mêle t-il de ce qui ne le regarde pas?- Le seul qui ne s'est pas bien comporté ici c'est vous. Vous devez respecter la demoiselle. Se justifia Aaron.Mon Dieu, donnez-moi la force de ne pas devenir fou. Un simple chauffeur me montre comment me comporter. Se dit Jeffrey-Aaron ce n'est plus l'heure de ton travail alors rentre chez toi.D'un pas hésitant, il décida de partir. Hilaire lui avait parlé ce matin certe mais il ne pensait pas qu'il allait les réunir d'aussi tôt. Ne pouvait-il pas attendre plus de temps? Le temps qu
Alors qu'Hilary rejoignait son amie, quelqu'un l'a frappé par accident et a fait jeté son sac à main. Apparemment, il était au téléphone et ne faisait pas attention.-Regardez au moins où vous allez. S'énerva t-elleElle s'abaissa au même moment que lui pour ramasser le sac, Aaron intervint au même moment.-Je n'ai pas besoin de votre aide. Dit-elle à l'inconnu et du tien non plus Aaron.Les parents d'Hilary discutaient et Hilaire faisait part de son idée à sa femme. La peur de cette dernière se mêlait à un sentiment étrange. Bien qu'elle s'était faite la promesse de soutenir sa fille en tout moment mais de là à ce qu'elle tombe amoureuse d'une fille comme elle hélas!-Je refuse d'imaginer cela.-C'est pourquoi nous devons organisé un dîner ce soir, je vais inviter mon associé, sa femme ainsi que son fils. Ce sera un début.La dame réprima son trouble en battant des cils. Une vague de panique la submergea. Son mari était si sérieux qu'elle en perdit le souffle. Si le seul moyen de sav
** "Ses mots broyèrent le coeur d'Aaron"Après le bilan qu'Aaron lui avait donné, Hilaire était satisfait du comportement de sa fille. Elle avait deux ou trois fois dormi chez son amie mais rien de plus, pas de sortie en boîte comme le font les autres filles sans cervelle qui devaient sûrement penser que tout leur était permis à leur dix-ans, au moins sa fille était différente sur ce point là et il était fière de lui au point de penser qu'elle méritait une petite récompense.De plus, elle a cessé de manquer de respect à Aaron. Je savais bien qu'elle allait cesser de se comporter comme une gamine. Se disait intérieurement Hilaire.- Tu dois penser que je suis fou à cause du fait que je t'ai demandé d'espionner ma fille alors qu'elle a l'âge de la raison.-Je pense plutôt que vous êtes protecteur. Répondit Aaron.L'homme âgé se releva, fixa son haut plafond, inspirant un grand coup puis tourna la tête vers Aaron.-Elle est tout ce que j'ai de plus chère au monde.Les yeux noirs d'hil
"Aaron?"Aaron se sentait mal, pas physiquement mais moralement.La blesser n'était pas son intention mais il n'avait pas d'autre choix. Il commençait à avoir des sentiments pour elle et ça ne faisait pas parti de leur contrat, et elle, qui lui avait avoué qu'elle l'aimait, venait d'empirer la situation.Hilary venait de partir, Dieu sait à quel point il voulait la retenir, la prendre sur le bureau, sur le canapé, sur le lit... Un peu partout dans la maison mais il n'a pas bougé d'un pouce et a préféré la regarder sans aller seule, comme elle le lui avait demandé.Avec Andro, il avait décidé de prendre le petit dej afin de discuter de leur situation actuelle avant que chacun d'eux ne se rende à leur poste respectif.-Alors mon frère, quoi de neuf ? Lui demanda Andro alors qu'il cherchait un moyen de lui expliquer sa liaison avec Hilary sans le surprendre et sans l'énerver car le connaissant, il serait capable de prendre la journée entière pour lui faire la morale.-Ça fait environ une