Share

La reine

Author: Hazillagry Ow
last update Last Updated: 2025-08-02 12:43:28

Jeap regarde ces femmes et localise tout de suite la mère de Mive, à qui il s'adresse

Jeap : C'est vous, la cheffe ? Et vous laissez votre fille coucher avec n'importe qui ?

Mive, faisant des yeux doux malgré la pression du couteau sur sa gorge, rétorque aussitôt : Jeap ! Tu sais bien que c'est seulement avec toi que c'est allé plus loin.

Jeap : Peu importe. Mais pourquoi laisse-t-elle sa fille se charger de tuer les étrangers ?

Movelle, mère de Mive, une belle dame d'à peine 40 ans, à la poitrine bien fournie, un corps athlétique et un sexe aussi attirant que celui de sa fille, ouvre finalement la bouche : C'est une guerrière. Elle est appelée à prendre ma place dans quelques années.

Jeap : Ok ! Je vois. Donc je tiens l'avenir de votre communauté entre mes mains ! Allez ! Ordonnez à toutes les autres femmes de sortir de la pièce !

Movelle : Elles ne sont pas sous mes ordres, malheureusement.

Jeap presse alors le couteau au cou de Mive et le sang se met à couler.

Mive : Aïe !

Movelle, la peur dans les yeux : Arrête ! Tu sais très bien que si tu la tues, tu n'auras plus de moyen de pression.

Jeap, à voix haute : Alors dis à toutes ces femmes de sortir !

Movelle : Allez ! Sortez toutes ! Je vais m'en sortir !

Avec hésitation, les autres femmes finissent quand même par quitter la pièce.

Jeap : Bien ! Madame ! C'est quoi votre nom ?

Movelle : Movelle !

Jeap : D'accord, Madame Movelle ! Maintenant, vous allez faire exactement ce que je vais vous dire : dans les prochaines 24h, trouvez-moi un moyen de retourner à mon monde ! Débrouillez-vous comme vous pourrez mais je veux à tout prix quitter votre territoire. Et dans l'entre-temps, rapportez-nous, à Mive et moi, tout ce qu'il nous faut pour vivre. Je la garde en otage. Tant que je serai traité comme un prince, rien de mal n'arrivera à votre héritière.

Movelle : Mais ...

Jeap : Je ne vous ai pas demandé de parler. J'ai fini et maintenant, allez exécuter ! Et surtout, ne tentez rien qui attente à la vie de votre fille.

Movelle sort alors calmement de la pièce qu'elle referme aussitôt selon les ordres de Jeap. Ensuite, Jeap libère Mive. Cette dernière met aussitôt la main sur son cou qui saigne encore.

Jeap : Attends !

Mive, en colère : Surtout, ne t'approche pas de moi !

Jeap : Je suis désolé. C'était ma vie qui était en jeu.

Mive : Et tu étais prêt à aller jusqu'où, pour protéger ta vie?

Jeap : Je ...

Mive : Réponds à ma question ?

Jeap se rapproche alors d'elle et la fait asseoir de force sur le lit.

Jeap : C'est pour ton bien que je veux t'aider à stopper le saignement.

Mive : Maintenant tu appliques la force, c'est ça ? Vous êtes tous les mêmes, les hommes !

Jeap, la fixant du regard : Tu es si en colère contre moi ?

Mive : Tu voulais que je t'applaudisse ?

Jeap s'en va alors sur une table proche du lit et prend une bouteille contenant de l'alcool avec un peu de ouate.

Mive : Quoi? Tu penses cela une blessure d'aiguille ?

Jeap : Au fait, j'ai veillé à ce que rien ne t'arrive de mal. J'ai appris à maîtriser le maniement du couteau. La pression que j'ai exercée sur ton cou a été vraiment comme le pincement d'une aiguille et cela ne peut te poser aucun problème de santé.

Mive : Il essaie de me bercer avec ses paroles mensongères.

Jeap : Bien ! C'est comme tu voudras.

En se rapprochant alors du lit, Jeap avait ses deux mains occupées donc son couteau était mis dans la poche de son pantalon. Du coup, Mive essaie de récupérer le couteau comme elle a vu Jeap en état de faiblesse. Mais ce dernier se saisit de la main de la jeune fille, dépose les objets qu'il avait entre les mains et appuie avec la manche du couteau sur la blessure du cou de Mive. Cette dernière se tord alors de douleur en tenant son cou et se roulant sur le lit. Dans l'entre-temps, Jeap coupe des morceaux des tissus puis attache les bras de la jeune femme sur le lit. Il prend ensuite la ouate qu'il plonge dans l'alcool puis se rapproche de Mive.

Jeap, à voix douce : ça va faire un peu mal.

Puis il appuie la ouate sur la plaie et Mive se met à hurler. Aussitôt, Jeap pose ses lèvres sur celles de la jeune femme qui ressent ainsi la douleur s'envoler et entreprend d'embrasser chaleureusement la bouche lui offerte. Au fur et à mesure que le jeune homme presse la plaie, Mive se laisse aller de plus en plus à son baiser, emprisonnant presque totalement la langue de Jeap dans sa bouche. Après quelques secondes, Jeap se retire alors.

Mive : Ouf ! Ça faisait mal ! Et tu diras encore que ton maniement du couteau m'a évité le mal !

Jeap la fixe du regard sans rien dire. Puis, alors qu'elle se sent visée par ce regard.

Mive : Quoi ? C'est toi qui le premier a posé tes lèvres sur les miennes.

Jeap : Hum ! La voilà qui veut trouver un faux-fuyant. Avoue juste que tu as adoré. Bien ! Maintenant, tu vas répondre à certaines de mes questions.

Mive : Dans cet état ? Emprisonnée ?

Jeap : N'exagère pas, toi aussi ! De toutes les façons, c'est parce que tu es têtue que j'ai dû te ligoter les bras.

Mive : Tu mens ! Avoue que tu as profité de mon entêtement pour satisfaire tes envies de violeur. Allez ! Vas-y ! Contemple-moi, comme tu le souhaites !

Elle écarte alors grandement ses jambes pour que Jeap contemple mieux son sexe mais aussitôt qu'elle sent de la mouille couler à travers sa vulve, elle les referme.

Jeap, souriant : Madame a elle-même des envies et compte me faire passer pour le pervers.

Mive : Je...

Jeap l'embrasse de suite et pince un de ses tétons. La jeune femme ferme les yeux et admire le long baiser à la main baladeuse.

Jeap : Bien ! C'est fini, mademoiselle !

Il le dit tout en continuant de balader sa main sur la poitrine de Mive

Mive, le cœur battant à vive allure : D'ac...d'ac... d'accord ! Que ... veux-tu savoir ?

Jeap : Pourquoi ta mère et toutes ces femmes sont apparues nues ? Il n'y a que toi qui a des vêtements dans cette région ? Et encore faut-il rappeler que c'était juste une robe que tu portais, avec rien en dessous.

Mive, fermant les yeux, tant les mains du jeune homme sur sa poitrine lui faisait du bien : Au fait, nous portons des vêtements. C'est juste que, nous sommes toutes ici en manque de sexe. Voilà pourquoi, quand nous avons un étranger masculin, toutes sommes excitées à vouloir coucher avec lui. Si je suis l'héritière du trône, ce n'est pas que je suis la fille biologique de Movelle. C'est plutôt que, notre région veut qu'à sa tête il y ait une fille qui soit très résistante face au désir sexuel. Et pour la nouvelle génération, c'est moi qui suis biologiquement ainsi. Voilà pourquoi je suis considérée comme l'héritière.

Jeap, appuyant de suite sur les deux tétons de la jeune femme qui hurle de plaisir aussitôt : Oh ! Qui a donné une telle conclusion ! C'est celle-ci la plus résistante ?

Mive, regardant Jeap avec un air de colère mais le sourire aux bouts des lèvres : Tu... Tu sais très bien que tu n'es pas non plus ordinaire.

Jeap : Ah bon ! Et qui suis-je donc ?

Mive : Un homme pour qui la plus forte des femmes, Mive, est capable d'obtempérer à tous ses ordres.

Jeap arrête alors ce qu'il faisait sur les seins de Mive puis se stoppe.

Jeap : Répète ce que tu as dit ?

Mive, comprenant en retard ce qu'elle a dit : Oublie ça, je plaisantais.

Jeap, le sourire sur les lèvres : Tu l'avais fait sciemment.

Mive : Quoi ? En tout cas, peu importe ce à quoi tu penses, sache que tu te trompes.

Jeap : Le couteau. Tu as fait exprès que je le remarque. Ensuite, tu m'as interrogé sur le fait que j'aie refusé de te déflorer juste au moment où tu savais qu'il fallait que je m'éveille vu que ces femmes feraient leur entrée. Tu m'as aidé. C'est à toi que je dois la vie. Et tout à l'heure, tu as fait sciemment de vouloir reprendre le couteau. Car si tu l'avais vraiment voulu, il t'était facile de le reprendre. Mais ton but était que je te ligote pour que je fasse de toi tout ce que je veux. En tout cas, je ne sais plus qui mène vraiment la danse entre nous deux. Tu me commandes indirectement.

Mive tourne alors le regard à côté, pour ne pas regarder Jeap dans les yeux, alors que des gouttes des larmes coulent de ses yeux.

Jeap : Mive ! Regarde-moi ! Je dis, regarde-moi !

Mive retourne alors sa tête et fixe le jeune homme des yeux tout en pleurant.

Mive : Et malgré que je me suis présentée vulnérable face à toi, tu n'as jamais pensé un seul instant d'abuser de moi. J'ai ressenti un frisson pour toi dès la première fois que je t'ai retrouvé allongé, après ta descente au parachute. Je t'ai alors ramené auprès des autres femmes qui t'ont traité. Ensuite, tout étranger étant voué à satisfaire ces autres femmes sexuellement toute sa vie durant, elles ont voulu faire de toi également leur objet sexuel. Mais comme j'avais ressenti une attirance avec toi, j'ai alors demandé de passer un peu de temps seule en ta compagnie pour que je sache si notre attirance est grande.

Jeap : C'est pourquoi tu étais là, à mon réveil ! Et combien d'hommes t'ont déjà attiré comme moi ?

Mive : Il n'y en a eu que vingt-sept, avant toi.

Jeap : Vingt-sept, tu trouves cela un petit nombre ?

Mive : Comparé aux étrangers mâles que nous avons reçu depuis que je suis née, oui, vingt-sept est un très faible nombre.

Jeap : Et que faites-vous des étrangers de sexe féminin ?

Mive : Elles n'arrivent pas jusqu'ici. Nous nous chargeons de les remettre dans leurs villes respectives.

Jeap : Je comprends. Et tu n'es pas l'héritière. Tu es plutôt la reine.

Mive, fermant les yeux : Oui ! Comment l'as-tu deviné ?

Jeap : De toutes les femmes qui sont entrées ici tout à l'heure, personne d'entre elles n'a paru excitée, pourtant toutes ont admiré ma beauté et mon physique. Il y avait de la gêne qui se lisait sur leurs visages. On ne bave pas sur l'époux de la reine, voilà.

Mive : Tu es très intelligent pour qu'on puisse te cacher quoi que ce soit. Je ...

Jeap, posant son index sur la bouche de Mive : Chuuuut ! Tu as bien joué ton jeu jusque-là, mais tu n'as pas compris que je peux aussi être un vrai monstre.

Il se lève aussitôt et se débarrasse de son pantalon pour rester tout nu, lui également.

Mive, contemplant Jeap : Waouh ! Je n'ai rien perdu à attendre toutes ces années.

Jeap embrasse de suite la bouche de la jeune femme alors que sa main gauche masse et pince l'un des seins de Mive et l'autre main descendant jusqu'à l'entrejambe de la reine.

Jeap, écartant sa bouche des lèvres de Mive mais pinçant toujours l'un de ses tétons et faisant pression avec l'autre main sur le clitoris de la jeune femme : Et qu'est-il arrivé à mes vingt-sept prédécesseurs ?

Mive, le souffle court : Tous ont éjaculé moins de vingt secondes après que je me sois couchée sur eux habillée. Puis tous ont été livrés à la population comme objets sexuels. Mais...aaaah! Mais ... Ouuuh! Mais toi, tu as vaincu. Tu as failli me faire jouir juste étant posée au-dessus de toi. Tu es...

Jeap, embrassant brièvement ses lèvres : Garde ton souffle, ma reine ! Tu en auras besoin pour la suite.

Il descend alors téter et sucer les seins de la reine, tout en stimulant toujours le beau clitoris. Après quelques secondes, il se met à tracer avec sa langue un chemin jusque vers l'entrejambe de la jeune femme. Elle avait quelques poils pubiens qu'il caresse avec sa langue avant de s'arrêter devant son clitoris. Il retire alors sa main puis souffle dessus le clitoris. Mive essaie de se débattre pour libérer ses mains emprisonnées afin de forcer le jeune homme à bouffer son clitoris.

Mive : S'il-te-plaît, Jeap ! Tu le trouves beau, n'est-ce pas ? Allez ! Bouffe-le ! Vas-y !

Jeap souffle une nouvelle fois dessus encore mais ne fait rien d'autre, remonte jusqu'à mettre son visage au-dessus de celui de la jeune femme, la fixe droit dans les yeux, puis se positionne de sorte à mettre son pénis très tendu et bien gonflé juste au-dessus du vagin de la jeune femme. Frôlant son vagin avec l'engin masculin, la jeune femme remonte son bassin pour pousser le pénis à pénétrer dans son antre mais le jeune la retient sur le lit avec ses bras fermes.

Jeap : Je te réserve la succion du clitoris pour une prochaine fois. Maintenant, tu vas devoir juste te laisser faire. C'est une première fois pour toi, donc préviens-moi quand ça fait mal.

Mive, les larmes prêtes à couler : Tu me fais beaucoup trop de bien. Et tu es toujours gentil avec moi même alors que ton sexe est très excité. Tu es un amour.

Jeap : Peu importe qu'elles soient des larmes de joie, ne les laisse en aucun cas couler ! C'est ton instant de joie. Je veux juste te voir sourire, et rien d'autre.

Jeap essuie alors les larmes de Mive avec sa langue avant de se pencher pour l'embrasser aux lèvres pendant qu'au même moment son pénis se fraie un chemin vers l'antre de la jeune femme à travers les lèvres de sa vulve. Mive ferme ses yeux, tant le plaisir est Intense. Puis la douleur commence à se faire ressentir quand Jeap le perçoit et se met à peloter ses seins et pinçant ses tétons à tour de rôle. Cela a pour effet de rendre la douleur un immense bonheur. Et une fois la douleur passée, Mive se sent planer alors que Jeap accentue son mouvement de bassin, plongeant complètement son pénis dans le vagin serré et chaud de la jeune femme.

Mive : Où étais-tu durant toutes ces années ? Je ... Je ... Je t'ai attendu... Je pleurais dans mon sommeil...

Jeap, le souffle trahissant son plaisir : Oublie toutes ces années ! Pense plutôt juste au moment présent.

Le jeune homme se retire de suite brusquement de la jeune femme puis soulève les jambes de cette dernière en l'air, les retenant chacunes de part et d'autre au-dessus de la tête de la concernée, puis pénètre calmement dans la vulve béante, grandement ouverte et totalement offerte, dans cette position. Il se met ensuite à faire des va-et-vient rapides, veillant à stimuler aussi les parois internes du vagin de la jeune femme avec toujours son pénis, ce qui amène très vite la jeune femme au bord de l'extase. Après donc trois sorties et rentrées dans le vagin, la jeune femme finit par lâcher prise à travers un long cri qui amène aussi l'homme à se lâcher dans le vagin de la reine. Ils restent dans cette position durant quelques deux minutes, à ne rien se dire, alors que Jeap tripote les seins de la jeune femme.

Continue to read this book for free
Scan code to download App

Latest chapter

  • Le crash des désirs   L'entente

    Jeap se met debout, puis arrange sa tenue, remettant tout en ordre. Jeap : Rhabille-toi! Mive (l'air étonnée) : Quoi? Jeap : Je te dis, arrange ton habillement ! Mive : Mais... Jeap : Tu pensais à quoi ? Je suis le plus grand rancunier qui puisse exister sur cette terre et sache que jamais je ne pourrai te pardonner ce que tu m'as fait.Mive (refermant sa veste) : Mais... Je croyais...Jeap : Que ce jour-là, j'avais fait sciemment de me laisser faire pour t'aider à finir ta colère ! Ouf ! Mive ! Il ne faut pas beaucoup trop rêver. Il me fallait te faire sortir de là car mes employeurs avaient besoin de toi.Mive : Mais... Tu es toujours avec Fridd ?Jeap : Déjà, sache que Fridd est l'un des plus grands militaires que ce monde n'ait jamais connu. Nous ignorons si c'est un homme ou une femme. Personne ne sait qui il est vraiment. Il emploie soit un vieux octagénaire, le père de Movelle, soit un jeune, Toul, qu'il paie à tour de rôle pour jouer son rôle. Il est très intelligent et c

  • Le crash des désirs   Le rendez-vous

    Juge : Monsieur Jeap! Vous venez de sauver cette jeune femme et son combat. Osons croire que vous serez à la hauteur également pour la suite. Bien ! Nous nous verrons demain soir pour la suite du procès. Jeap est habillé d'un complet de veste noir et a mis un manteau de même couleur au-dessus. Il transporte une mallette à sa main droite. Après les paroles du juge, il se dirige automatiquement vers la sortie du tribunal. Mive le suit immédiatement et l'attrape par la main. Mive : Alors, on ne se salue même pas ? Jeap : Rendez-vous dans une heure chez Movelle ! Mive : Eh ! Ne crie pas trop fort ! Ils les recherchent. Jeap : Plus maintenant. Une jeune journaliste, Glilée, t'a battu dans ton propre jeu. Elle t'a suivi discrètement jusqu'au domicile de tes deux amis. Il y a de cela trente minutes, une équipe de policiers y sont descendus et ont emmené deux personnes.Mive (l'air choquée) : Quoi ? Merde ?Jeap : Ces deux personnes ? Mon chauffeur et moi. Je leur avais demandé de me dép

  • Le crash des désirs   L'avocat

    9 mois plus tard, dans le hall d'un luxueux bâtiment à trois niveaux, des écrans de télévision attachés aux murs, l'agitation règne dans la foule des journalistes occupant presque tout l'espace. Aux différents écrans de télévision, on montre des images des personnes mises en quarantaine, d'autres succombant à la maladie, le taux des personnes infectées, les différentes statistiques de santé. C'est donc dans ce brouhaha qu'une porte s'ouvre et Mive fait son entrée dans le hall. Elle porte une chemise blanche à manches longues, une jupe noire s'arrêtant au niveau des genoux et des talons noirs également. Tout de suite après son apparition, toute la foule des journalistes accourt vers elle. Tous se mettent à poser des questions en désordre. Un homme d'une quarantaine d'années, en complet de veste rouge, vient alors intervenir en aidant Mive à éviter les journalistes pour pouvoir sortir du bâtiment. Mais une fois près de la porte de sortie, Mive s'arrête.Mive (à une jeune journaliste) :

  • Le crash des désirs   L'apocalypse

    Mive retire le sexe de Jeap, essuie son vagin sur le genou du jeune homme, avec le tissu du pantalon que ce dernier porte. Elle remet finalement sa robe sans son string puis elle s'en va se rasseoir sur la chaise où elle était.Jeap (totalement épuisé) : Qu'est-ce que tu allais dire, avant de jouir ?Mive : Eh ! Il écoutait encore. Au fait, ce ne sont pas tes affaires.Jeap : Je sav...Mive : Arrête avec ça ! Nous devons parler rapidement d'autre chose. Au fait, j'ai eu à interroger Gordan tout à l'heure. Il devrait s'assurer que nous serions tous morts. Il avait le détonateur. Mais étant le grand fan de monsieur qui est devant moi maintenant,Jeap (souriant) :Ça te plaît, hein ? D'avoir eu à coucher avec un militaire célèbre.Mive : Beuh! En tout cas, vu comme ce militaire se présente devant moi maintenant, je ne trouve rien d'extraordinaire en lui. Bien ! Je disais que Gordan a demandé à Fridd quelque chose en rapport avec ton vœu et cela a énervé le monsieur qui a voulu alors assas

  • Le crash des désirs   Le sacrifice 2

    Jeap se retire alors de Mive.Jeap : Pardonne-moi, Mive! Je sais que tu m'en voudras pour ce que je t'ai fait. Mais sache que le plaisir que je t'ai donné est un véritable cadeau. Même si moi je refusais d'exécuter la mission, ils enverraient de toute façon d'autres personnes encore. Donc ça n'aurait servi à rien. Au moins, tu auras connu la joie de passer ces instants avec moi. Je sais que tu trouves mon acte injustifié vu mon attirance à ton égard mais sache juste que ce pourquoi j'accepte cette mission est bien plus important que notre relation.Mive (épuisée, les larmes ayant laissé des traces sur ses joues) : Jeap ! Arrête de perdre ta salive inutilement. Finis ce que tu voudrais faire avec mon corps puis va-t'en!Jeap (les larmes aux yeux) : C'est comme ça que tu me voies maintenant ? Je n'ai pas taché seulement de me satisfaire mais j'ai également veillé à ton plaisir. Et pour ta rose, j'ai simplement exaucé ton vœu de vouloir tenter autre chose avec moi quand tu seras prête à

  • Le crash des désirs   Le sacrifice 1

    Après leurs derniers ébats sexuels à la salle à manger, Jeap et Mive retournent dans leur pièce.Mive (assise sur la chaise) : On ne dirait même pas que je venais d'être à la douche.Jeap (assis sur le lit) : Si l'on s'en tient à ta définition de prendre un bain !Mive : Regarde-moi cet homme! Tu veux donc dire que ce sont de belles odeurs, ça ?Jeap : Laisse tomber !Mive : Un problème ? Ai-je dit quelque chose de mal ?Jeap : Non ! Ça n'a rien n'à avoir avec toi. Ne t'en fais pas. (puis, après quelques secondes de silence) Mive !Mive : Chéri !Jeap : Si l'on te disait que tu mourrais dans une heure, qu'elle serait ta dernière volonté ?Mive : C'est quoi encore cette question ? Tu reprends avec la mort ! Qu'est-ce qui ne va pas réellement, Jeap ?Jeap : Rien de très préoccupant, mais c'est quand même à craindre.Mive : Quoi ?Jeap : Au fait, même si cela a l'air très simple, notre sortie de ce territoire pourrait en réalité causer quelques cas de mort.Mive : Ah bon ! Pou...Jeap :

More Chapters
Explore and read good novels for free
Free access to a vast number of good novels on GoodNovel app. Download the books you like and read anywhere & anytime.
Read books for free on the app
SCAN CODE TO READ ON APP
DMCA.com Protection Status