Patrick : Jeap !! Attrape ce parachute !! Allons-y !! Sautons !! L'avion va connaître le crash d'ici deux minutes.
Jeap prend le parachute que lui remet Patrick et se jette en dehors de l'avion, dans le vide les séparant de la terre. Le vent étant fort, il est considérablement dévié de sa trajectoire et manque de buter contre une montagne. Il finit heureusement sa chute sur la terre ferme, s'empressant de se débarrasser de son parachute. Jeap : Patrick !!! Patrick !!! Il hèle ainsi durant cinq minutes puis se fatigue. Il est sur un terrain glacial et le froid commence à le ronger, n'ayant pas de vêtements appropriés. Aussi, lors de sa chute, il a connu un choc avec sa tête, n'ayant pas appris à sauter avec le parachute. Il ressent alors un malaise, de la fatigue, puis s'évanouit. Quelques heures plus tard. Jeap (couché sur un lit et rouvrant à peine les yeux) : Qu'est-ce qui m'est arrivé ? Il aperçoit alors une silhouette de jeune fille devant la porte de la pièce où il se trouve. Jeap : Eh ! Qui... Mive (la jeune fille devant la porte) : chut !! Mive se retourne donc et Jeap contemple une jeune femme mince, habillée en robe noire , avec des petits seins mais beaux, un visage d'enfant mais doux. Mive (étant entrée dans la pièce et s'étant rapprochée du lit de Jeap) : Tu vas te faire mal. Ne crie pas trop fort. Jeap : Qui êtes-vous ?? Qu'est-ce qui m'est arrivé ? Où suis-je ? Mive : Nous avons retrouvé plusieurs de tes compagnons d'avion morts, l'avion s'est écrasé plus loin. Mais heureusement toi, tu respirais encore. Maman a alors accepté de t'héberger le temps que tu reprennes des forces. Jeap : Ici, où sommes-nous ?? Mive : Tu le sauras très vite. Pour le moment, une autre chose doit d'abord te préoccuper. Jeap : Quoi donc ? Mive (montant sur le lit, habillée toujours, et se couchant entièrement sur Jeap, écartant ses jambes de sorte que le sexe de Jeap soit en contact avec le sien, à travers leurs vêtements) : Je suis désolée. Jeap, couché toujours, sent les pointes des seins de Mive s'écraser sur sa poitrine couverte du t-shirt qu'il porte. Et son sexe, dans le pantalon, cherche à détruire la tirette afin d'entrer en contact physique total avec le sexe de la jeune demoiselle. La tension monte dans tout son corps, il tente alors de prendre le contrôle de la situation mais Mive le stoppe aussitôt. Mive (son visage juste au-dessus de celui de Jeap) : Ne bouge... Ne ... Ne bouge pas ! (Elle halète ensuite) Ce... Ce n'est pas... possible. Jeap (haletant lui aussi) : Qui es-tu ? Mive : La seule femme avec qui aucun homme avant toi n'a pu supporter plus de trente secondes sans atteindre l'orgasme au simple contact de mon corps. Les deux se libèrent alors de leur étreinte et Jeap la regarde d'un air fâché. Jeap : Qui suis-je, ici ? Mive : Tu étais un prisonnier condamné à mort. Maintenant, vu que tu as résisté à mon étreinte, tu as droit à un procès. Jeap : Mais ... Mive (posant son index sur les lèvres de Jeap) : Chuuuut !! Ne parle pas trop. D'ici quinze minutes, ma mère viendra avec certains soldats pour t'exécuter. Ils se rétiendront uniquement s'ils trouvent que tu m'as fait jouir. Je te promets de tout t'expliquer plus tard, mais pour le moment, tâche de me satisfaire, s'il-te-plaît. Jeap la dévisage alors. Jeap : De la ville d'où je suis originaire, aucune femme n'a pu me retenir dans son lit. J'ai travaillé ma maîtrise de soi jusqu'à l'emmener à un niveau hors norme. Mais toi, tu as su me pousser à te désirer. Mive : Tu es prêtre ? Jeap : Je voulais le devenir mais j'ai été renvoyé la semaine dernière. Mive : Mauvaise conduite ? Jeap : Pas vraiment. J'aurai peut-être la chance de te le raconter plus en détails prochainement. D'abord... Mive : Je vois. Je dois mener la danse ? Jeap : Pour commencer, oui. Je vais tout de suite me mettre à l'œuvre après. Mive se tient alors debout sur le lit et se débarrasse de sa robe. Jeap sent aussitôt un frisson lui parcourir la colonne vertébrale. La jeune fille avait un corps sculpté parfaitement. Ses seins, qui paraissaient déjà beaux au travers de la robe, s'avéraient être en réalité deux belles boules appelant tout oeil à les croquer. Ses bras fins et doux, ses longues jambes, tous lui donnant l'air d'une actrice d'Hollywood. Mais rien n'était plus attirant que son sexe, déjà dégoulinant de la mouille; Jeap comprenant donc quel effet il lui faisait également. Mive demande alors au jeune homme de se lever également. Tous deux debouts, le jeune homme dépassait à peine d'un centimètre la jeune fille. Mive (respirant déjà en cascades) : Comment tu me trouves ? Jeap : C'est une question ou une provocation ? Mive (souriant) : Approche !! Jeap se rapproche donc de la jeune femme. Cette dernière lui arrache de suite le t-shirt, avec un cri trahissant son envie. Elle lui débarrasse finalement totalement de ce t-shirt puis balade ses mains sur la poitrine bien garnie du jeune homme. Elle dessine avec ses fins doigts les différentes plaquettes d'abdominaux du jeune homme et parcourt ses pectoraux avant de finir sa course sur la barbe naissante de Jeap. Ce dernier comprend tout de suite qu'il doit prendre les choses en mains et embrasse aussitôt les lèvres de Mive. Cette dernière rapproche entièrement son corps nu au contact du jeune homme qui ressent plus des frissons. Les deux recherchent les lèvres l'une de l'autre, sucent la langue l'une de l'autre à tour de rôle. Mive descend aussitôt ses mains vers le pantalon de Jeap mais ce dernier la stoppe. Jeap : Dis-moi ton nom ! Mive : Je ne le donne pas aux étrangers. Jeap : Et devant combien d'étrangers tu t'es déjà dénudée ? Mive : Là, tu marques un point. Tu m'as eue. Appelle-moi Mive ! Et toi alors ? Jeap : Jeap. Mive : Alors, Jeap ! Mive a vraiment besoin de toi maintenant. Jeap : Je le sais. Et elle doit savoir que Jeap ne compte plus jamais la laisser sortir de cette pièce. Mive sourit de suite puis embrasse de nouveau les lèvres de Jeap. Mais immédiatement, Jeap se détache de l'étreinte, force la jeune femme de s'accroupir puis après, il la couche complètement sur le lit. Il met alors ses jambes de part et d'autre de l'abdomen de Mive puis la contemple de haut. Jeap : Comment diable as-tu pu naître ainsi ? Mive (le sourire aux coins des lèvres) : Monsieur le prêtre veut déjà m'exorciser ? Il doit se rhabiller pour ça, je pense bien. Jeap : En tout cas, même si tu es le diable en personne, sache que je suis prêt à me jeter en enfer. Mive : Alors qu'attends-tu ? Tu... Jeap lui coupe de suite la parole en pinçant ses deux tétons. La jeune femme ferme les yeux, des étincelles de plaisir parcourant son corps, puis elle les rouvre. Mive (haletant sauvagement) : Tu as dit que tu étais prêt à t'envoler en enfer ! Mais vas-y, fonce, chéri !! Ne t'arrête surtout pas. Jeap l'empêche de parler en embrassant ses lèvres encore une fois. Il descend ensuite sur son menton qu'il bouffe, remonte au nez qu'il suce, les lobes des oreilles, puis repasse encore à la bouche avant de redescendre au menton puis au cou et finir sa course au-dessus des seins de Mive. Il attrape l'un des seins avec sa main gauche et se met à le masser alors que l'autre sein voit se perdre son téton dans la bouche du jeune homme. Il alterne ensuite entre l'un et l'autre des seins dans sa paume de main et dans sa bouche. Il suce, tète, mord à l'occasion, masse chacun des seins. La jeune femme pose cette fois ses douces mains sur la tête du jeune homme et le guide vers ses seins afin que ces derniers soient très bien traités. Mive : Aah ! Aah ! Jeap aspire alors l'un des tétons pendant qu'il pince l'autre avec sa main gauche. Mive n'en peut plus et atteint aussitôt son orgasme. Jeap continue quand même à téter toujours et après quelques secondes, repart embrasser les lèvres de la jeune femme. Mive (exténuée et le sourire heureux) : Tu es un amour. J'ai toujours refusé de croire quand certaines femmes parlaient de jouir par la succion des seins; et me voici aujourd'hui victime. Jeap : Victime ? Donc c'est un mauvais acte ? Mive (riant) : Non ! Même pas ! Au contraire d'ailleurs, j'en suis ravi. Mais j'ai une question : pourquoi tu n'as pas voulu me faire jouir par mon sexe ? Jeap (massant l'un des seins de la jeune femme et titillant le téton de l'autre sein ) : J'ai compris que tu es encore vierge. Et qu'il ne serait pas poli pour moi d'abuser de toi dans un moment de faiblesse. Mive : Qu'est-ce que tu racontes ? Et d'ailleurs, même si je suis encore vierge, qu'est-ce qui te fait croire que j'étais dans un moment de faiblesse ? Jeap (jetant un coup d'oeil vers le sexe de Mive) : Le couteau, le poison, qui étaient dans les poches arrières de ta robe, je les ai remarquées. Et tu ne t'en es pas débarrassée. Tu as taché malignement de les emmener jusqu'au bas de l'oreiller. Tu es en réalité venue avec pour mission unique de me tuer. Il n'y a pas de rédemption possible pour tout étranger dans votre territoire. Tu m'as apprécié et tu as remarqué que je suis un homme spécial, capable de te résister pour certaines choses et pouvant te satisfaire malgré tes potentialités. Alors tu as voulu coucher avec moi avant de me tuer. Donc tu es en position de faiblesse. Tu couches avec moi maintenant parce que tu veux à tout prix ne pas rater cette opportunité qui s'impose de façon radicale à ta vie. Mive essaie aussitôt de récupérer le couteau de dessous l'oreiller mais Jeap s'en saisit avant elle puis relève la jeune femme et pointe ce couteau sur sa gorge alors que plusieurs autres personnes armées pénètrent de suite dans la pièce, toutes des femmes et toutes nues.Jeap se met debout, puis arrange sa tenue, remettant tout en ordre. Jeap : Rhabille-toi! Mive (l'air étonnée) : Quoi? Jeap : Je te dis, arrange ton habillement ! Mive : Mais... Jeap : Tu pensais à quoi ? Je suis le plus grand rancunier qui puisse exister sur cette terre et sache que jamais je ne pourrai te pardonner ce que tu m'as fait.Mive (refermant sa veste) : Mais... Je croyais...Jeap : Que ce jour-là, j'avais fait sciemment de me laisser faire pour t'aider à finir ta colère ! Ouf ! Mive ! Il ne faut pas beaucoup trop rêver. Il me fallait te faire sortir de là car mes employeurs avaient besoin de toi.Mive : Mais... Tu es toujours avec Fridd ?Jeap : Déjà, sache que Fridd est l'un des plus grands militaires que ce monde n'ait jamais connu. Nous ignorons si c'est un homme ou une femme. Personne ne sait qui il est vraiment. Il emploie soit un vieux octagénaire, le père de Movelle, soit un jeune, Toul, qu'il paie à tour de rôle pour jouer son rôle. Il est très intelligent et c
Juge : Monsieur Jeap! Vous venez de sauver cette jeune femme et son combat. Osons croire que vous serez à la hauteur également pour la suite. Bien ! Nous nous verrons demain soir pour la suite du procès. Jeap est habillé d'un complet de veste noir et a mis un manteau de même couleur au-dessus. Il transporte une mallette à sa main droite. Après les paroles du juge, il se dirige automatiquement vers la sortie du tribunal. Mive le suit immédiatement et l'attrape par la main. Mive : Alors, on ne se salue même pas ? Jeap : Rendez-vous dans une heure chez Movelle ! Mive : Eh ! Ne crie pas trop fort ! Ils les recherchent. Jeap : Plus maintenant. Une jeune journaliste, Glilée, t'a battu dans ton propre jeu. Elle t'a suivi discrètement jusqu'au domicile de tes deux amis. Il y a de cela trente minutes, une équipe de policiers y sont descendus et ont emmené deux personnes.Mive (l'air choquée) : Quoi ? Merde ?Jeap : Ces deux personnes ? Mon chauffeur et moi. Je leur avais demandé de me dép
9 mois plus tard, dans le hall d'un luxueux bâtiment à trois niveaux, des écrans de télévision attachés aux murs, l'agitation règne dans la foule des journalistes occupant presque tout l'espace. Aux différents écrans de télévision, on montre des images des personnes mises en quarantaine, d'autres succombant à la maladie, le taux des personnes infectées, les différentes statistiques de santé. C'est donc dans ce brouhaha qu'une porte s'ouvre et Mive fait son entrée dans le hall. Elle porte une chemise blanche à manches longues, une jupe noire s'arrêtant au niveau des genoux et des talons noirs également. Tout de suite après son apparition, toute la foule des journalistes accourt vers elle. Tous se mettent à poser des questions en désordre. Un homme d'une quarantaine d'années, en complet de veste rouge, vient alors intervenir en aidant Mive à éviter les journalistes pour pouvoir sortir du bâtiment. Mais une fois près de la porte de sortie, Mive s'arrête.Mive (à une jeune journaliste) :
Mive retire le sexe de Jeap, essuie son vagin sur le genou du jeune homme, avec le tissu du pantalon que ce dernier porte. Elle remet finalement sa robe sans son string puis elle s'en va se rasseoir sur la chaise où elle était.Jeap (totalement épuisé) : Qu'est-ce que tu allais dire, avant de jouir ?Mive : Eh ! Il écoutait encore. Au fait, ce ne sont pas tes affaires.Jeap : Je sav...Mive : Arrête avec ça ! Nous devons parler rapidement d'autre chose. Au fait, j'ai eu à interroger Gordan tout à l'heure. Il devrait s'assurer que nous serions tous morts. Il avait le détonateur. Mais étant le grand fan de monsieur qui est devant moi maintenant,Jeap (souriant) :Ça te plaît, hein ? D'avoir eu à coucher avec un militaire célèbre.Mive : Beuh! En tout cas, vu comme ce militaire se présente devant moi maintenant, je ne trouve rien d'extraordinaire en lui. Bien ! Je disais que Gordan a demandé à Fridd quelque chose en rapport avec ton vœu et cela a énervé le monsieur qui a voulu alors assas
Jeap se retire alors de Mive.Jeap : Pardonne-moi, Mive! Je sais que tu m'en voudras pour ce que je t'ai fait. Mais sache que le plaisir que je t'ai donné est un véritable cadeau. Même si moi je refusais d'exécuter la mission, ils enverraient de toute façon d'autres personnes encore. Donc ça n'aurait servi à rien. Au moins, tu auras connu la joie de passer ces instants avec moi. Je sais que tu trouves mon acte injustifié vu mon attirance à ton égard mais sache juste que ce pourquoi j'accepte cette mission est bien plus important que notre relation.Mive (épuisée, les larmes ayant laissé des traces sur ses joues) : Jeap ! Arrête de perdre ta salive inutilement. Finis ce que tu voudrais faire avec mon corps puis va-t'en!Jeap (les larmes aux yeux) : C'est comme ça que tu me voies maintenant ? Je n'ai pas taché seulement de me satisfaire mais j'ai également veillé à ton plaisir. Et pour ta rose, j'ai simplement exaucé ton vœu de vouloir tenter autre chose avec moi quand tu seras prête à
Après leurs derniers ébats sexuels à la salle à manger, Jeap et Mive retournent dans leur pièce.Mive (assise sur la chaise) : On ne dirait même pas que je venais d'être à la douche.Jeap (assis sur le lit) : Si l'on s'en tient à ta définition de prendre un bain !Mive : Regarde-moi cet homme! Tu veux donc dire que ce sont de belles odeurs, ça ?Jeap : Laisse tomber !Mive : Un problème ? Ai-je dit quelque chose de mal ?Jeap : Non ! Ça n'a rien n'à avoir avec toi. Ne t'en fais pas. (puis, après quelques secondes de silence) Mive !Mive : Chéri !Jeap : Si l'on te disait que tu mourrais dans une heure, qu'elle serait ta dernière volonté ?Mive : C'est quoi encore cette question ? Tu reprends avec la mort ! Qu'est-ce qui ne va pas réellement, Jeap ?Jeap : Rien de très préoccupant, mais c'est quand même à craindre.Mive : Quoi ?Jeap : Au fait, même si cela a l'air très simple, notre sortie de ce territoire pourrait en réalité causer quelques cas de mort.Mive : Ah bon ! Pou...Jeap :