Dans l'entre-temps, quelque part, dans un bureau de police, un conseil d'urgence a été réuni. Trois hommes et deux femmes en uniformes de police, tous dans la quarantaine, sont attablés devant un autre homme octogénaire. Ce dernier ne porte pas d'uniformes de police, porte un chapeau sur la tête, a des moustaches noires bien fournies alors que le reste de sa barbe est totalement rasée.
Fridd (homme octagénaire) : Il reste trente secondes. Si nous ne recevons pas d'appel, donc Jeap et son équipe ont réussi leur mission. Aussitôt, le téléphone posé sur la seule table de la pièce sonne. L'un des hommes en uniforme de police décroche alors. Movelle (à l'autre bout du fil) : Allô ! Fridd : Salut, Movelle ! Comment a été ta journée ? Movelle : Papa ! Arrête d'abord avec ces questions. Je commence à en avoir marre. Tu m'avais dit que tu enverrais des policiers pour venir nous sortir d'ici ; mais jusque-là, personne n'est arrivé. Cela fait déjà plus de trois ans que tu me trompes ainsi. Fridd : Du calme, ma fille ! Tu ignores combien je peine à te retrouver ! Dis-moi vrai, ma chérie, est-ce que vraiment personne de nouveau ou d'étrange n'est arrivé chez vous ? Movelle (après un temps d'hésitation) : Bien ! Nous recevons plusieurs personnes égarées depuis; victimes des crashs d'avions. Fridd : Oh ! Et pourquoi tu ne m'en as jamais parlé ? Movelle : Parce que tous ont paru ordinaires jusqu'à ce que cet homme nous arrive. Fridd : Quel est son nom ? Movelle : Quelque chose comme Jeap ! Fridd : Tu dis, Jeap ? Movelle : Oui, j'ai entendu Mive l'appeler ainsi. Fridd (avec grand étonnement) : Mive ? Movelle : Eh ! Père ! Ne t'occupes pas de nos affaires d'ici, j'ai d'ailleurs cité le nom d'une des nôtres par mégarde. C'est que ce Jeap m'agace. Voilà pourquoi je perds le contrôle. Bien ! Papa ! Je te laisse encore juste 24 heures. Si je ne vois toujours aucun policier arriver, je vais dévoiler à toutes les personnes présentes ici la véritable histoire. Et sache que, nous avons parmi nous tous types des personnes ; des génies aux idiots, donc nous pouvons aussi nous libérer de ce territoire par nous-mêmes, malgré que cela demandera peut-être plus de sacrifices. Alors, rendez-vous demain à cette heure ! Si tu reçois mon appel, sache que le compte à rebours s'est déclenché et que vos vies à vous tous là sont menacées. Movelle coupe tout de suite la communication. Dans le poste de police, tout le monde a gardé un silence glacial. Fridd : Vous avez compris ce que cela signifie ? Tous les autres acquiescent d'un signe de tête. Fridd : Des rescapés des crash ! Jeap ! Donc le territoire que nous pensions être au sein d'une étendue beaucoup plus grande est en réalité juste seul sur cette étendue. Toutes nos équipes s'en allaient alors tous vers le même lieu. Ouf ! Nous avons perdu tout ce temps ! Et toutes ces personnes ! Bien ! Demandez à Gordan de se préparer ! Il doit partir tout de suite ! Ce territoire doit disparaître de la carte du globe dans les 24 h, question que Movelle et son équipe n'aient pas le temps de tenter quoi que ce soit. Tous les autres policiers se lèvent aussitôt de leurs sièges respectifs, saluent Fridd, puis quittent la pièce. Du côté de Jeap, il libère les bras de Mive et la rhabille avec sa robe. Jeap : Ça va ? Mive (le sourire aux coins des lèvres) : Là, c'est pour se moquer de moi, ou quoi ? Jeap : C'est ce que tu penses vraiment ! Alors que j'ai moi-même été également satisfait, je peux oser me moquer de toi ! Mive (après avoir pris un air interrogateur) : Et puis, pourquoi as-tu accepté d'entrer en moi sans protection ? Jeap : Bah ! Je te fais confiance. En plus, t'es la reine. J'imagine qu'on veille à ta santé comme à celle de personne d'autre. Mive : En tout cas, ce n'est pas une raison de ne pas se méfier, hein ? Il faut toujours garder le moindre doute. Jeap : C'est que, je ... Puis il arrête de parler. Mive : Je sais. Je l'ai senti. Tu ne conçois plus une existence sans moi à tes côtés. D'où tu te fous complètement des conséquences de notre relation. Jeap : Tu l'as bien formulé. Coup de chapeau à toi ! Mive : Bah ! Il ne faut pas trop en faire, hein ? J'ai plutôt vraiment dit ce que moi je ressens. Jeap la contemple alors silencieusement puis leurs deux bouches commencent à se rapprocher quand soudainement quelqu'un ouvre la porte de la pièce où ils se trouvent. Les deux essaient alors d'avoir l'air normal. Lonée (la jeune femme qui vient de pénétrer dans la pièce avec un plateau de nourritures) : Monsieur ! Voici votre... Jeap (coupant automatiquement la parole à Lonée) : Je suis déjà au courant de tout. (Puis il se dirige vers Lonée) Arrêtons donc les aventures ! La reine peut vous le confirmer. Ce dont j'ai besoin maintenant, c'est d'un bon bain et de nouveaux vêtements. Tu peux me conduire où en trouver ? Mive : Et tu ne manges pas d'abord ? Jeap : Mive ! Tu dois être la première à comprendre que j'ai besoin du temps tout seul pour réfléchir à ce qui est entrain d'arriver dans ma vie. Je crois bien que toi aussi, tu as besoin d'un temps seule. Ce n'est pas d'un coup de tête que l'on change automatiquement de vie. Mive : Oui ! Tu as raison. Sinon, je vais prendre mon bain seulement ici. Tu pourras me retrouver dans cette pièce après avoir pris ton temps de réflexion. Jeap sort alors, toujours torse nu (car Mive avait déchiré son t-shirt au tout début de leurs ébats sexuels), et suit Lonée. À l'extérieur de la pièce, la lumière du jour est tamisée par une atmosphère enneigée. La pièce était donc un studio, maison à une seule pièce ; et était isolée des autres habitations. Des femmes s'activaient dans plusieurs tâches à l'extérieur et toutes se sont arrêtées de tout faire pour contempler le bel homme, au torse athlétique. Lonée : Ne vous sentez pas trop gêné ! Depuis quelques heures, vous êtes devenu une légende ici. Votre histoire avec la reine a fait le tour du territoire. Et encore que vous êtes attirant, comprenez combien ces femmes ne peuvent s'empêcher de vous observer ainsi ! Jeap : Ce n'est pas vraiment facile de s'habituer immédiatement. D'où je viens, c'est vrai que j'étais déjà beau et avait un beau corps mais ma discrétion faisait que presqu'aucune femme n'osait manifester ouvertement son intérêt face à ma personne. Lonée : Oh ! En tout cas, sachez que plusieurs voire toutes vous admiraient au fond d'elles. Jeap : Ah bon ! Lonée : Je vous assure. Certaines fois, il faut juste attendre le bon moment et le bon endroit pour être traité à sa juste valeur. Jeap : Là, tu te trompes. Je ne suis pas au bon endroit, ici . Lonée : Comment ? Mais j'ai cru comprendre que vous êtes d'accord d'être le mari de la reine ! Jeap : C'est ce que je lui ai laissé croire. Sinon, toi, tu vas m'aider à rejoindre l'océan Pacifique. Lonée : Nous ne partons donc plus où vous devez prendre votre bain ! Jeap : Éloignons-nous des habitations d'abord ! Les deux feignent donc d'entrer dans une maison mais en réalité ils se mettent à courir le long d'un sentier passant derrière ladite maison. Après s'être éloignés des autres, Jeap : Arrêtons-nous ici ! (Puis il contemple la jeune femme, exténuée) Enlève ta robe ! Lonée : Quoi ? Vous êtes l'époux de la reine ! Jamais je ne peux coucher avec vous ! Jeap se rapproche alors d'elle, touche les cheveux de Lonée de ses doigts puis , embrasse le front de la jeune femme. Lonée (entrain de planer déjà, le coeur battant à vive allure) : Je... Je ... Ne ... Jeap (posant son index sur la bouche de Lonée) : Chut ! Ne rêve surtout pas ! J'apprécie fortement Mive. M'imaginer coucher avec une autre femme, étant un ancien prêtre, je le verrai comme une haute trahison. Elle sait me combler déjà et avec elle je me sens à l'aise. Elle vient de m'épuiser, tout à l'heure, donc je ne peux même plus faire une autre partie tout de suite. Lonée (toujours excitée alors que la main de Jeap se balade sur son visage) : Alors qu'est-ce que tu veux de moi ? Jeap : Je te l'ai déjà dit, tu dois m'emmener au Pacifique. La question devrait plutôt être : qu'est-ce que toi, tu veux que je te fasse ? S'enfuir loin des siens avec un parfait inconnu ; encore qui plus est celui pour qui la reine, que tu sers, craque. Tu dois forcément avoir une idée derrière la tête. Lonée : Je voulais que ... Jeap : Chut ! Enlève ta robe ! Je vais te satisfaire. Lonée, quelque peu étonnée d'abord, s'éloigne un peu de Jeap, lui tourne le dos, puis enlève sa robe. Comme c'était le cas avec Mive, Lonée ne portait également rien d'autre en dessous. Lonée (toujours retournée, présentant juste ses belles fesses au jeune homme) : Je n'ai encore jamais couché avec un homme. Pire encore, aucun homme ne m'a encore vu nue étant grande. Jeap (quand même frappé par la beauté de Lonée) : Quel ... Quel âge tu as ? Lonée : J'ai eu 18 ans hier. Jeap : Retourne-toi donc ! Lonée se retourne alors. Jeap contemple tout de suite , sans entrave, la poitrine abondante qui pouvait s'imaginer déjà à travers la robe. De très beaux et gros seins, contrastant de façon magnifique avec la taille mince de la jeune femme. Un ventre plat, une touffe de poils pubiens, un sexe paraissant déjà serré, à travers les lèvres de la vulve. Et cette dernière dégouline de mouille. Jeap se rapproche ensuite de la jeune femme, prend les douces mains de Lonée et les pose sur son torse à lui, bien musclé. Jeap (alors que la jeune femme allait tout de suite se rapprocher et se jeter sur lui) : Surtout, ne bouge pas ! Je ne veux pas être en contact ni avec ta poitrine dénudée, ni ton sexe dégoulinant. Je ne suis pas là pour te déflorer ni te téter. Un autre homme te fera tout ça. Tout ce que je veux, c'est te satisfaire ; et cela, d'une autre manière. Lonée (le souffle court) : Je suis alors tes ordres ! Jeap : Qu'est-ce que tu voudrais que je te fasse maintenant ? Imagine que j'étais ton copain. Tu sens ma poitrine à travers tes doigts, j'espère ? Lonée : Oui ! Tu es un homme encore plus attirant au toucher. Au fait, je ne m'y connais vraiment pas trop en sexe. À peine, tu m'as parlé de téter. Je ne savais même pas que ça se faisait aussi dans un couple. Et voilà que me tétons sont devenus très pointus. Jeap : Tu n'entends même pas quand les autres femmes discutent du sexe ? Elles ne parlent jamais de leurs expériences avec leurs partenaires sexuels ? Lonée (les mains toujours sur le torse de Jeap, les seins tendus et le sexe mouillant de plus en plus) : Si ... Mais ... Nous sommes envoyées loin quand elles discutent de cela. Jeap : D'accord ! Alors maintenant, dis-moi ce que tu ressens vouloir. Lonée : Je ne sais pas trop. Mais je pense que ton sexe... Ton sexe ... J'ai besoin de le sentir dans mon vagin. Jeap (voyant curieusement que son pénis commence à se dresser également) : Alors pense profondément à cela. Tu vois comment ça bouge, dans mon pantalon, pense à ce que cela te pénètre, que ça remplisse ton sexe, que ça titille ton clitoris. Lonée (très excitée) : Aah ! Aah ! Je ... Je ... Jeap tient alors Lonée par les cheveux et renverse sa tête en arrière. Il rapproche ainsi son visage de celui de la jeune femme et réduit l'écart entre leurs deux corps, jusqu'à presque se toucher. Puis la jeune femme atteint l'orgasme. Jeap l'aide donc à se coucher pour mieux digérer tout ce qui s'est passé. Lonée (couchée) : Je suis anormale, hein ? Comment je peux atteindre l'orgasme juste avec tes mots ? Je suis sûr que je suis folle amoureuse de toi ! Jeap : Évite de dire des bêtises ! C'est que, tu es spéciale. Tu sais transformer des idées en actes, tu les matérialises. Voilà pourquoi tu as joui. Ce n'est pas de l'amour. Tu es juste attirée par mon physique, que la norme de notre monde a fixé comme celui de l'homme beau. Pourtant, ce qui compte dans l'acte sexuel, c'est réellement juste titiller l'hormone du plaisir sexuel. Bien ! Rhabille-toi puisque tu dois aller me chercher certaines histoires chez toi. J'ai rempli ma part du contrat. C'est à ton tour de faire de même !Jeap se met debout, puis arrange sa tenue, remettant tout en ordre. Jeap : Rhabille-toi! Mive (l'air étonnée) : Quoi? Jeap : Je te dis, arrange ton habillement ! Mive : Mais... Jeap : Tu pensais à quoi ? Je suis le plus grand rancunier qui puisse exister sur cette terre et sache que jamais je ne pourrai te pardonner ce que tu m'as fait.Mive (refermant sa veste) : Mais... Je croyais...Jeap : Que ce jour-là, j'avais fait sciemment de me laisser faire pour t'aider à finir ta colère ! Ouf ! Mive ! Il ne faut pas beaucoup trop rêver. Il me fallait te faire sortir de là car mes employeurs avaient besoin de toi.Mive : Mais... Tu es toujours avec Fridd ?Jeap : Déjà, sache que Fridd est l'un des plus grands militaires que ce monde n'ait jamais connu. Nous ignorons si c'est un homme ou une femme. Personne ne sait qui il est vraiment. Il emploie soit un vieux octagénaire, le père de Movelle, soit un jeune, Toul, qu'il paie à tour de rôle pour jouer son rôle. Il est très intelligent et c
Juge : Monsieur Jeap! Vous venez de sauver cette jeune femme et son combat. Osons croire que vous serez à la hauteur également pour la suite. Bien ! Nous nous verrons demain soir pour la suite du procès. Jeap est habillé d'un complet de veste noir et a mis un manteau de même couleur au-dessus. Il transporte une mallette à sa main droite. Après les paroles du juge, il se dirige automatiquement vers la sortie du tribunal. Mive le suit immédiatement et l'attrape par la main. Mive : Alors, on ne se salue même pas ? Jeap : Rendez-vous dans une heure chez Movelle ! Mive : Eh ! Ne crie pas trop fort ! Ils les recherchent. Jeap : Plus maintenant. Une jeune journaliste, Glilée, t'a battu dans ton propre jeu. Elle t'a suivi discrètement jusqu'au domicile de tes deux amis. Il y a de cela trente minutes, une équipe de policiers y sont descendus et ont emmené deux personnes.Mive (l'air choquée) : Quoi ? Merde ?Jeap : Ces deux personnes ? Mon chauffeur et moi. Je leur avais demandé de me dép
9 mois plus tard, dans le hall d'un luxueux bâtiment à trois niveaux, des écrans de télévision attachés aux murs, l'agitation règne dans la foule des journalistes occupant presque tout l'espace. Aux différents écrans de télévision, on montre des images des personnes mises en quarantaine, d'autres succombant à la maladie, le taux des personnes infectées, les différentes statistiques de santé. C'est donc dans ce brouhaha qu'une porte s'ouvre et Mive fait son entrée dans le hall. Elle porte une chemise blanche à manches longues, une jupe noire s'arrêtant au niveau des genoux et des talons noirs également. Tout de suite après son apparition, toute la foule des journalistes accourt vers elle. Tous se mettent à poser des questions en désordre. Un homme d'une quarantaine d'années, en complet de veste rouge, vient alors intervenir en aidant Mive à éviter les journalistes pour pouvoir sortir du bâtiment. Mais une fois près de la porte de sortie, Mive s'arrête.Mive (à une jeune journaliste) :
Mive retire le sexe de Jeap, essuie son vagin sur le genou du jeune homme, avec le tissu du pantalon que ce dernier porte. Elle remet finalement sa robe sans son string puis elle s'en va se rasseoir sur la chaise où elle était.Jeap (totalement épuisé) : Qu'est-ce que tu allais dire, avant de jouir ?Mive : Eh ! Il écoutait encore. Au fait, ce ne sont pas tes affaires.Jeap : Je sav...Mive : Arrête avec ça ! Nous devons parler rapidement d'autre chose. Au fait, j'ai eu à interroger Gordan tout à l'heure. Il devrait s'assurer que nous serions tous morts. Il avait le détonateur. Mais étant le grand fan de monsieur qui est devant moi maintenant,Jeap (souriant) :Ça te plaît, hein ? D'avoir eu à coucher avec un militaire célèbre.Mive : Beuh! En tout cas, vu comme ce militaire se présente devant moi maintenant, je ne trouve rien d'extraordinaire en lui. Bien ! Je disais que Gordan a demandé à Fridd quelque chose en rapport avec ton vœu et cela a énervé le monsieur qui a voulu alors assas
Jeap se retire alors de Mive.Jeap : Pardonne-moi, Mive! Je sais que tu m'en voudras pour ce que je t'ai fait. Mais sache que le plaisir que je t'ai donné est un véritable cadeau. Même si moi je refusais d'exécuter la mission, ils enverraient de toute façon d'autres personnes encore. Donc ça n'aurait servi à rien. Au moins, tu auras connu la joie de passer ces instants avec moi. Je sais que tu trouves mon acte injustifié vu mon attirance à ton égard mais sache juste que ce pourquoi j'accepte cette mission est bien plus important que notre relation.Mive (épuisée, les larmes ayant laissé des traces sur ses joues) : Jeap ! Arrête de perdre ta salive inutilement. Finis ce que tu voudrais faire avec mon corps puis va-t'en!Jeap (les larmes aux yeux) : C'est comme ça que tu me voies maintenant ? Je n'ai pas taché seulement de me satisfaire mais j'ai également veillé à ton plaisir. Et pour ta rose, j'ai simplement exaucé ton vœu de vouloir tenter autre chose avec moi quand tu seras prête à
Après leurs derniers ébats sexuels à la salle à manger, Jeap et Mive retournent dans leur pièce.Mive (assise sur la chaise) : On ne dirait même pas que je venais d'être à la douche.Jeap (assis sur le lit) : Si l'on s'en tient à ta définition de prendre un bain !Mive : Regarde-moi cet homme! Tu veux donc dire que ce sont de belles odeurs, ça ?Jeap : Laisse tomber !Mive : Un problème ? Ai-je dit quelque chose de mal ?Jeap : Non ! Ça n'a rien n'à avoir avec toi. Ne t'en fais pas. (puis, après quelques secondes de silence) Mive !Mive : Chéri !Jeap : Si l'on te disait que tu mourrais dans une heure, qu'elle serait ta dernière volonté ?Mive : C'est quoi encore cette question ? Tu reprends avec la mort ! Qu'est-ce qui ne va pas réellement, Jeap ?Jeap : Rien de très préoccupant, mais c'est quand même à craindre.Mive : Quoi ?Jeap : Au fait, même si cela a l'air très simple, notre sortie de ce territoire pourrait en réalité causer quelques cas de mort.Mive : Ah bon ! Pou...Jeap :