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Beranda / Loup-garou / Le lycan adopté par des loups / 48- Premier adversaire

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48- Premier adversaire

Penulis: Sarah Lao
last update Terakhir Diperbarui: 2025-08-28 00:35:18

Sébastien

Les récits historiques ne mentaient pas : les Zangarites étaient réellement gigantesques. La femme, bien que de la même espèce que lui, n’atteignait que la hauteur de ses pectoraux. Mais face à mon lycan, qui touchait presque le plafond, j’avais encore une tête de plus que lui.

Ma taille ne sembla pas l’intimider. La femme, en revanche, terrifiée par mon apparence, poussa un cri. Peu à peu, elle comprit que je n’étais pas une menace. Son souffle se calma et son hurlement se mua en un gémissement tremblant, mélange de peur et de soulagement.

Je vis alors l’homme plaquer sa victime contre lui avec une brutalité implacable. Dans un geste ignoble, il arracha le reste de son pantalon et, sans détourner son regard du mien, la força à subir son corps. Son attitude dégageait une obscénité insoutenable, chaque mouvement résonnant comme une provocation.

Des larmes ruisselaient sur le visage de la femme. Un instant, je crus qu’elles traduisaient la honte de se voir ainsi humiliée sous
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  • Le lycan adopté par des loups   78- Barrière

    Nolas"Parle, ordure !" Le misérable zangarite dont j'avais fait prisonnier plusieurs jours auparavant n'était plus en état de formuler aucune parole. Son visage boursouflé par les coups et sa bouche plein de sang n'arrangeait rien. Il crachait du sang lorsqu'il ouvrait la bouche pour emettre un son.Peut-être avais-je été un peu trop loin, mais je ne pouvais plus revenir en arrière. Sébastien et Roman étaient prisonniers de ce monstre, et j’ignorais encore comment ils avaient été capturés. Il ne m’avait été d’aucune utilité depuis notre arrivée près du Palais: aucune information sur l’endroit où Deylanor pouvait se trouver, ni sur le nombre d’ennemis présents au Palais. La seule information intéressante était la confirmation de la présence d'un sorcier aux côtés d'Ataras. Sans attendre davantage, je fis jaillir mes griffes et l’achevai d’un geste net, lui transperçant la jugulaire.J'avais tout tenté ces derniers jours, enflammer les murailles du Palais, m'envoler pour tenter de le

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