VERENAJe n'ai même pas pris la peine d'enfiler quelque chose, et maintenant que ses yeux me dévorent littéralement, je commence à le regretter.Je croise les bras sur ma poitrine pour la cacher. Pas que ce soit vraiment nécessaire. Il a déjà tout vu. Mais j'ai juste envie de le faire mariner un peu.Il arque un sourcil, un air faussement agacé dans la voix :« Tu bloques la vue. »Je rétorque en croisant les jambes pour cacher mon intimité :« T'en as eu assez hier soir, non ? »Son regard s'assombrit et me brûle la peau alors qu'il avance d'un pas, pénétrant dans la salle de bain. Il s'approche, encore, jusqu'à ce qu'il ne reste qu'un souffle entre nous. L'air devient électrique, chaque partie de ma peau se hérisse.Il murmure tout bas :« Ça ne sera jamais assez. »Ses doigts encadrent mon menton, il m'attire à lui et m'écrase la bouche dans un baiser brutal.Je fonds sous ses lèvres brûlantes. Une main m'attrape les poignets et les plaque contre le carrelage froid du mur. Je pousse
VERENAMes doigts s'enfoncent littéralement dans le matelas tandis que je roule des yeux, le plaisir submergeant chaque centimètre de mon corps. Ses coups puissants et brutaux ébranlent tout mon être. Chaque poussée me rapproche un peu plus du bord. J'entends les battements de mon cœur épouser le rythme de ses assauts contre ma chair.Une sensation d'euphorie sauvage me parcourt tandis que sa verge me précipite vers l'extase. Je cambre la tête et fixe le mur d'un regard trouble, des vagues convulsives étreignant mon corps.Ses doigts encerclent l'entrée de mon anus avant de s'y enfoncer.« Oh, mon Dieu ! » Mon corps tremble, mon esprit vacille. Je m'abandonne complètement à l'instant. Je me soumets à lui. Un orgasme dévastateur anéantit mes sens.Je jouis en vagues tremblantes.« Putain ! Rena ! » grogne-t-il, mon nom glissant avec fluidité sur sa langue avant qu'il ne jouisse en moi.Mon cœur bat à tout rompre, la sueur dégouline le long de mes seins tandis que je halète. Mes ja
VERENAIl me regarde d'un air dominateur, ses yeux obscurcis par le désir, ce qui le rend encore plus sexy. « Suce-moi comme une bonne fille », murmure-t-il sur un ton qui ressemble à un ordre. Une partie de moi a envie de lui résister, de lui montrer qui commande. Mais une autre, plus désespérée, veut obéir à chaque mot qui sort de sa bouche.Je commence à sucer lentement son érection, ma bouche souffrant de sa taille. Comment ai-je pu avaler un tel monstre ?D'une main, il enroule mes cheveux autour de ses doigts tandis que sa queue me remplit la bouche. Le goût de sa peau envahit mes sens, me plongeant dans un tourbillon. Je recule un peu pour le sucer, et un grognement lui échappe quand ma langue caresse son point sensible, le faisant frémir de plaisir. Puis j'engloutis toute sa longueur, ma gorge étouffée par sa masse.Je pourrais faire ça éternellement.Son sexe pulse dans ma bouche chaude à chaque mouvement, et j'accélère jusqu'à le mener au bord de l'explosion. Je sens sa tensi
VERENA« Tout ça est trop compliqué », grogné-je, frustrée, en massant mes tempes douloureuses.Elijah sourit, et je retiens un souffle quand il bascule sur le côté, m'amenant à m'allonger sous lui. Il s'installe au-dessus de moi et caresse ma joue du revers de la main. « Inutile de te prendre la tête avec ça pour l'instant, ma belle. »Je soupire. « Mais si la Déesse est vraiment morte et que le lien des âmes sœurs est perturbé, alors quel espoir nous reste-t-il ? N'est-ce pas le signe d'un avenir sombre pour nous, les loups-garous ? »Il fronce les sourcils, réfléchissant. « Je ne crois pas que la Déesse soit morte », dit-il avec une fermeté qui me surprend. « Si c'était le cas, nous aurions senti la différence. Les cycles lunaires auraient changé, et les loups célestes n'existeraient plus. Ta louve est sa création. »Ses mots ravivent une lueur d'espoir en moi. « Oui, tu as raison. Les conséquences auraient été bien plus graves. Pour l'instant, seul le lien des âmes sœurs semble aff
VERENACette position me rappelle le moment qu'on a partagé à l'hôpital. À l'époque, je l'avais nié, mais… c'était un moment magnifique.Tout comme maintenant, sa présence m'avait apaisée.Je ferme les yeux et j'écoute les battements de son cœur.Le son le plus doux à mes oreilles. Mon préféré.J'aimerais pouvoir le garder près de moi pour toujours. Comme ça.« J'attends le jour où on pourra être ensemble… sans que personne n'essaie de nous en empêcher. »Les mots m'échappent tout seuls.« Moi aussi, » murmure Elijah en glissant sa main sur mon dos.Le silence s'installe à nouveau, mais je le savoure.Ce que j'aime chez Elijah, c'est qu'il ne me force jamais à parler. On peut juste… être là, l'un avec l'autre, sans un mot.« J'ai ressenti quelque chose… quand la malédiction m'a envahie, » je dis, rompant doucement le silence. Je lève la tête vers lui. Il fronce les sourcils.« Qu'est-ce que tu as vu ? »Je lui parle de l'ombre, de cette entité qui a tenté de me posséder.« Il a dit… qu
VERENAJe ferme les yeux en sentant ses lèvres contre les miennes.Il prend son temps, m'embrasse avec une lenteur dévorante… et ce baiser réveille en moi un désir vif, presque sauvage.Mais soudain, une sorte de décharge électrique me traverse, et une vague d'énergie intense monte en moi.Qu'est-ce que c'était, ça ?Je romps le baiser et baisse les yeux vers mes bras.Je pousse un cri de stupeur en voyant que les marques argentées ont… disparu.Quoi ? Comment c'est possible ?« Qu'est-ce qu'il y a ? » demande Elijah en suivant mon regard.Quand ses yeux tombent sur mes bras, il arque un sourcil.« Les marques… elles ont disparu, » murmure-t-il.Je le regarde, les yeux écarquillés.« J'ai… ressenti quelque chose, à l'intérieur, quand on s'est embrassés, » je chuchote, encore incapable de comprendre ce qui vient de se passer.Mon corps me semble plus fort. Je ne sens plus la présence écrasante de la malédiction. Plus du tout.« La malédiction est levée ! » s'écrie Serena dans ma tête, a