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Chapitre 55
Last Updated:
2025-06-13 21:31:41
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Ma Domestique Était Une Sorcière Chapitre 61
Si tu ne m’écoutes pas et que tu vas faire ce qui te semble mieux, alors ne viens pas pleurer à ma porte pour solliciter mon aide ou secours. Tu es prévenu. Et il n’est pas encore trop tard pour que tu ailles revoir Florence. D’ailleurs, Florence, c’est une fille que j’ai toujours appréciée. Quand je la vois, je lis en elle presque toutes les bonnes qualités morales que doit avoir une femme vertueuse. Mais parce que ta soi-disant Irina a des parents qui sont un peu friqués, tu as abandonné celle qui t’aime et véritablement. J’ai déjà dit ce qu’il faut. C’est à toi de trier et de choisir ce qui te convient.Sur ce, la mère se leva et se dirigea vers la porte.***Trois jours déjà et Stephen ne se remettait pas encore de ses douleurs. À chaque fois qu’il repensait aux diverses discussions établies entre lui et Irina, il sentait son cœur en feu. Rien de ce que lui avait dit sa mère ne le préoccupait. Il était déterminé à tout faire pour qu’Irina, malgré l’opposition de ses parents, puiss
Ma Domestique Était Une Sorcière Chapitre 60
Stephen, abattu, commença à avoir le cœur serré. Sur sa poitrine, son cœur bouillait. Il avait atrocement mal. L’inspiration sur laquelle il faisait appui pour écrire l’épisode de son histoire en cours prit le large.Il quitta la véranda, se dirigea dans sa chambre et se laissa échouer sur le lit. Sa mère, l’observant depuis la cuisine, le poursuivit et lui adressa une phrase interrogative.– Il n’y a rien, maman, répondit-il.– Es-tu sérieux ? reprit la mère, depuis le seuil de la porte.– Maman, je veux être seul s’il te plaît ; laisse-moi tout seul je t’en prie.– D’accord, répondit la mère en s’esquivant.Au même moment que la mère disparaissait, son téléphone se mit à sonner. Au premier coup, Stephen n’osa décrocher. L’appareil sonna et sonna encore ; il continua de sonner jusqu’à se taire de lui-même. Dans un intervalle de six secondes, le cri sonore du téléphone reprit de plus beau. Ce fut en ce moment qu’il décrocha.– Oui allô ?– Stephen, je pense que tu as déjà lu mon messa
Ma Domestique Était Une Sorcière Chapitre 59
– Tu es sérieux ?– Je sais que tu ne vas pas me croire. Mais c’est une vérité que je t’avoue.– Et papa ? Est-il aussi d’accord ?– Je n’ai plus de père, il est déjà mort.– Oh, désolée !– Donc, en ce qui concerne ta question, sache et reconnais que c’est Dieu qui a croisé notre chemin. Si cette relation aboutira au mariage, ça ne dépendra que de nous les deux. Si elle va aussi échouer, elle ne dépendra que de nous.Les deux passèrent toutes leurs soirées à se faire de belles promesses. Ils s’embrassaient ; s’entrelaçaient et s’entichaient. Certes, ils firent tout mais n’allèrent pas au sexe.– Donc c’est ça ? demanda Stephen, abattu.– Oui ! Sinon mon père me veut le mariage avant le sexe.– Je ne refuse pas ! Donc pendant chaque vacances quand tu retournes au bercail, il te contrôle c’est ça ?– Oui.– Et pourquoi c’est lui qui le fait et non ta mère ou un gynécologue ?– Chéri, après tout c’est mon père.– Je n’en disconviens pas ! Mais il n’a pas le droit de te doigter pour s’as
Ma Domestique Était Une Sorcière Chapitre 58
– Non, ça va ! Si tu veux, il faut venir. Mais sache une chose : si tu manques demain, alors ne m’appelle plus et ne m’écris non plus.Sur ce, l’appel fut interrompu par Irina. Stephen se plongea dans un dilemme. Ne sachant que faire, il se soumit à la volonté de la fille des Gonzalo.***Il était cinq heures du matin quand Stephen alla réveiller sa mère pour lui annoncer son voyage sur Parakou.– Mais comment tu peux avoir un voyage en cours et c’est le jour-même que tu m’en parles, Stephen ? Est-ce que c’est formel ?– Je suis désolé, maman ! C’est parce que je n’étais pas sûr de ce voyage, voilà pourquoi je ne te l’avais pas annoncé.La mère fixa le mur, secoua la tête à plusieurs reprises et donna son accord.– Mais fais très attention, ajouta-t-elle.– Oui, je ferai très attention. Merci maman.– Bon voyage et bonne traversée.– Merci maman.Et Stephen se leva, saisit son sac et fut acheminé jusqu’au portail par sa mère.*** Six heures de conduire plus tard, bienvenue à Stephen
Ma Domestique Était Une Sorcière Chapitre 56
« Ta maman a bellement raison. Elle a pleinement raison. Trois ans de relation, ce n’est pas chose facile. Tu ne peux pas laisser tomber celle qui t’aime pour celle qui t’apprécie tout simplement à cause de ton talent et de ta carrière d’écrivain. Tu dois beaucoup réfléchir pour ne pas regretter plus tard. Les choses qui attirent les yeux ne restent que pour de courtes durées. Mais les choses du cœur, elles restent éternellement ».Stephen changea de position et ferma les yeux. Cette fois, sont-ce ses yeux qui se mirent en action où il se voyait très loin, assis autour d’une grande table, en train de parler avec de grands leaders où il avait attaché sa cravate bien serrée au cou. À ses côtés, s’était assise Irina.– Je ne peux pas laisser cette opportunité ! se dit-il en se dirigeant vers la porte.Il se dirigea à la porte de sa mère et la toqua. La mère, étant profondément emportée par le sommeil, ne se réveilla pas tout de suite. Il poussa alors la porte et s’introduisit dans la piè
Ma Domestique Était Une Sorcière Chapitre 56
– Et pour aller où ?– Voir ses parents.– Et où est la nuance ?– C’est qu’elle me manque.– Stephen, quand tu me prends, ressemblé-je à une idiote ?– Pourquoi cette question ?– Réponds juste à ma question et je te dirai la raison.– Non, tu ne ressembles pas à une idiote.– Et pourquoi me mens-tu ?– …– Dis-moi pourquoi tu me mens ! Parce que je sais que tu es en train de me mentir. Tu me racontes du faux. Bien, bonne journée à toi. Appelle-moi dès que tu auras de choses dignes de vérité à me dire, au revoir.Et Irina raccrocha l’appel.Au même moment, le téléphone de Stephen commença à sonner. Un autre appel était en attente quand il était en communication avec l’autre.– Oui allô Florence, comment ça va ? Oui, d’accord, rappelle-moi plus tard, merci !Stephen posa le téléphone à même le chevet du lit après avoir interrompu l’appel. Regard fixé contre le plafond, la réaction de sa mère lui revint à l’esprit. Il revoyait la mère qui l’écoutait de toute son attention dès le départ
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