Tout à commencé dans une grande maison où on voit une jeune fille assise sur son lit avec son portable en main et un sourire en coin, et bah cette fille c'est moi.
Je suis Vanessa ENGLISSE, j'ai 25 ans chef d'entreprise VEN. Je suis spécialisé dans la vente de produits cosmétiques. Ce sourire que vous voyez sur mon visage est un sourire de Victoire,de réussite et de prospérité. Car oui pour moi j'ai tout, j'ai honoré la promesse faite à ma mère , d'où elle est, je sais qu'elle est fière de voir que j'ai réussi dans la vie comme elle le voulait . La seule chose qui me manque c'est sa présence😞. Elle me manque tellement. Mais comme on le dit, dans la vie,on ne peut pas avoir tout ce que son cœur désire.
Je suis une fille à qui la vie n'a pas été rose, je suis née d'une famille pauvre, je dirais très très pauvre. Nous vivions dans le temps au village pesidé, c'est un petit village situé au nord du Togo dans la préfecture de la keran. Mon père komi était un agriculteur et ma mère afiwa était une femme au foyer. Après ma naissance mes parents ont tout fait pour avoir d'autres enfants mais hélas c'était peine perdue. C'est après beaucoup de réflexion que ma mère à proposer à mon père de prendre une seconde épouse pour pouvoir avoir d'autres enfants. Au début c'était un refus de la part de mon père mais après plusieurs tentatives de la part de ma mère que mon père finit par accepter la proposition de ma mère. C'est ainsi qu'après quelques mois mon père à ramener une femme à la maison et nous l'a présenté comme ça deuxième femme . Ma mère était une femme au cœur en or. Malgré que son mari vienne de là présenter une seconde épouse, elle était contente pour lui. Après les présentations, ma mère et moi étions à la cuisine pour faire un repas à la nouvelle femme de mon père. A l'époque je n'avais que 7 ans mais j'étais très attentive donc je comprenais un peu ce qu'il se passait. A la cuisine avec ma mère, nous étions très acharné car ma mère voulait que la nouvelle venue dans la famille se sente à l'aise et entre de bonne mains. Ce jour-là, c'était une grande fête à la maison. Même si nous n'étions que quatre à table nous avons bien mangé et ma mère à profiter pour bien discuter avec mon père à sa nouvelle femme. Elle s'appelait assibi et venait du village voisin. Elle était plus jeune que ma mère,une jolie forme, elle était de teint noir, elle était vraiment Belle. Après le repas je suis allée me coucher tandis que les parents ont continué à discuter.
A la maison tout allait bien entre mes parents, ils s'entendaient très bien. Il y avait une certaine complicité qui était née entre ma mère et ma marâtre. En ce temps j'étais au cours élémentaire, j'étais très intelligente à la l'école c'est pourquoi mes parents se battait pour m'envoyer à l'école. C'était d'ailleurs le pourquoi mes parents n'étaient pas respecté dans le village car selon les coutumes chez nous, la femme est faite pour être au foyer et non à l'école. Malgré toutes les insultes des villageois, mes parents ont tenu à ce que j'aille à l'école. Tout allait tellement bien dans la maison que chaque soir on mangeait ensemble comme une bonne famille que nous sommes, nous étions très heureux jusqu'au jour où ma marâtre tomba enceinte. Après quelques mois passés avec nous, ma marâtre était finalement tombée enceinte, le jour où elle avait annoncé la nouvelle c'était la fête à la maison, mon père était tellement content qu'il avait fait tué un gros coq pour nous. Toute la famille était à table comme d'habitude, nous avons mangé et bien fait la fête, papa m'a même raconté une histoire ce jour-là. Tellement il était content.
Quelques jours après l'annonce de la grossesse de ma marâtre, elle nous annonce qu'elle doit aller voir ses parents dans son village. Mon père devait aller là déposer avant de revenir. C'est ainsi que le lendemain elle était rentrée voir ses parents.
Après une semaine passée chez ses parents,ma marâtre était enfin de retour mais cette fois avec une autre intention car dès son arrivée elle avait littéralement changé. A son arrivée deh qu'elle à mis les pieds dans la cour de notre concession, l'expression de son visage avait changé, j'étais là Assise à côté de ma mère qui pillait le fonio, quand ma mère là entendu rentrée elle à couru pour lui prendre ses affaires et l'aidé. Contrairement à ce que ma mère attendait, ma marâtre l'à stoppé et lui a demandé de la laisser tranquille. Ma mère n'avait pas du tout pris ses mots en mal, au contraire elle s'est dit que c'était sûrement la fatigue du voyage où les hormones. Ma mère est revenue vers moi et m'a demandé d'amener de l'eau à ma deuxième maman parce qu'elle est fatiguée. C'est ce que j'ai fait, mais à mon arrivée dans sa case avant même de rentrer elle m'a demandé de retourner l'eau car elle n'en avait pas du tout besoin. J'étais donc retourné vers ma mère qui m'a demandé de déposer la calebasse d'eau dans la cuisine.
C'est ainsi que tout à commencé, dans la soirée, après avoir pris notre repas du soir ma marâtre voulais tous nous parler
Assibi : mon cher mari, je sais comment vous tous vous aimez ici et prenez soin de moi. Mais maintenant que je suis enceinte je voudrais que ma cœpouse m'aide lorsque c'est mon tour pour faire la cuisine car je serais vraiment fatiguée avec toutes les tâches ménagères que je ne pourrais pas me reposer.
Mon père : ma chère femme j'ai compris ta demande, maintenant c'est à mon tour de demander à ta coepouse si elle voudrait bien t'aider dans ta quête. Alors afiwa nous t'écoutons
Ma mère : mon chèr mari j'ai compris ce qu'à dit ma cœpouse et a vrai dire j'y avais pensé. Assibi tu n'as pas à t'inquiéter pour ça, pendant le temps de ta grossesse tu pourras te reposer autant que tu voudras Aliya (le nom de Vanessa dans le temps) pourrait aussi m'aider après les cours et les weekends donc ne t'inquiètes pas je serais là pour toi pendant tout le temps de ta grossesse
Assibi: merci beaucoup à toi ma chère afiwa pour la compréhension.
Ma mère : je t'en prie ma chère
Mon père : voilà qui est bien. Vous n'avez qu'à vous arranger pour que tout se passe très bien. Et toi Aliya, as- tu fini tes devoirs ?
Moi: oui père, je vais réviser avant de me coucher
Mon père : d'accord c'est bien ma fille, continue comme ça d'accord ?
Moi: oui père c'est entendu
C'est comme ça que depuis ce jour ma mère à pris tout les travaux de la maison à sa charge. Elle faisait tout pour que assibi ne se fatigue pas. Ma marâtre quant à elle passait ses journées couchée où sortir pour marcher un peu. C'est moi qu'on envoyait là chercher pour qu'elle vienne manger. Tout avait changé à la maison, mon père passait plus de temps avec elle qu'avec ma mère et cela ma mère le comprenait car pour elle, ça cœpouse à plus besoin de soutien qu'elle. Parfois mon père me demandait d'aller chercher ma mère pour qu'elle apporte à manger car ma marâtre ne pouvait pas se déplacer. Ma mère, une femme au grand cœur fesais tout ce qu'on lui demande de faire sans broncher. Moi, une petite fille de 7ans, que pouvais-je faire pour aider ma mère dans les tâches ménagères à part des petites commissions et surtout après les cours. Ma marâtre n'était qu'à quelques moi de sa grossesse et ma mère était déjà une femme à tout faire pour nous dans la maison. Je voyais tout, je n'avais aucune force pour dire quoi que ce soit car je devais respect et soumission à mes parents. A l'école tout allait bien pour moi car j'étais la meilleure de ma classe et mon père était très fier de moi en ce moment.
C'est comme ça que nous avons continué à vivre jusqu'au troisième mois de grossesse de ma marâtre. Un jour elle à demander à mon père de là déposer dans son village, elle avait besoin de voir ses parents et de changer un peu d'air. C'est ce qui fut fait. Elle obtient tout ce qu'elle demandait. Elle est restée deux semaines avec ses parents avant de revenir. Deux jours après son retour à la maison elle à demander à ma mère de là laisser faire la cuisine car elle avait envie de faire quelque chose. Bien-sûr ma mère à refuser de là laisser faire mais avec beaucoup d'insistance elle l'a laissé faire.
Après avoir fait la cuisine elle à servi à mon père et déposer de côté car il avait effectué un voyage un peu loin donc il allait revenir tardivement. Après que nous ayons fini de manger, nous sommes allés nous coucher ma mère et moi dans notre case et assibi de son côté était allé se coucher en attendant son mari. Si seulement en allant se coucher ma mère et moi nous savions ce qui nous attendait dès le lendemain….
A suivre
C'est ainsi que le lendemain matin, ma mère et moi nous avons été réveillées par les cris de mon père devant notre case.Mon père : ( en criant) afiwa ! Sort ici, sortMa mère :( en ouvrant la petite blanche qui nous servait de port) oui mon mari je suis làMon père : ( toujours en criant) qui est ton mari ? Appel moi comme ça encore une fois et tu verras !Ma mère : mais qu'est ce que j'ai fait pour que tu sois aussi en colère contre moi?Mon père : pose moi encore cette question et tu verras ! Nespa que tu veux tuer ma femme et mon futur enfant ? Tu à raté la cibleMa mère : mais mon cher mari, de quoi parle tu?Mon père : ( en criant très fort) tu me poses encore la question ? N'est ce pas toi qui à demandé à ta cœpouse hier de faire la cuisine à mon
Le soir, à mon retour de l'école, j'ai retrouvé mon père et ma marâtre dans la cour en train de discuter. Je suis allée vers eux les dires bonsoir avant de courir pour voir ma mère. Deh que j'ai mis pied dans la case j'ai vu ma mère couchée à même le sol, tellement elle allait mal qu'elle n'arrivait pas à bouger. J'ai couru vers elle pour voir ce qu'il c'était passé. Elle était très pâle, je lui ai donc donné à boire avant de courir à la cuisine pour lui préparer quelque chose à manger car en voyant son état j'ai su qu'elle n'avait rien à manger et j'ai décidé de ne pas aller voir mon père. J'étais certes une enfant mais je savais ce qui se passait. Sans même enlever mon uniforme d'école, j'étais à la cuisine pour préparer à manger à ma mè
C'est sur cette discussion que nous sommes allés nous coucher ma mère et moi tandis que les autres continuait la fête.Le lendemain, tous les parents de ma marâtre étaient rentrés chez eux sauf sa sœur qui était restée pour l'aider dans ses tâches et prendre soin de l'enfant. Quant à nous, durant les jours qui ont suivi personne, ni même mon père ne sait demandé comment nous allons,si nous mangeons, si nous sommes vivant où mort, rien de tout cela. On nous avait catégoriquement interdit de nous approcher de la case de ma marâtre. Mon père à même interdit à ma mère de faire la cuisine pour toute la concession car pour ma belle mère nous sommes jalouse d'eux,et donc mon père à demander à la petite sœur de ma marâtre de faire la cuisine. C'est ainsi que nous vivons de
Le jour j était enfin arrivé. J'étais à l'école pour la remise de bulletin. J'avais le cœur qui battait très fort jusqu'à ce que j'entende mon nom. J'étais là première de la classe,et mon amie était directement dernière moi c'est-à-dire la deuxième. Notre titulaire de classe m'a félicité car j'ai eu une moyenne de 16,71/20. Avec mon ami on était pressé de rentrer à la maison annoncer la nouvelle à nos parents. Quand ma mère à apris la nouvelle elle était contente et m'a promis une nouvelle paire de chaussures,je me rappelle même que ce jour elle à ramasser des articles pour rentrer à la maison me faire à manger. C'était la joie à la maison. Les semaines passaient et rien ne changeait par rapport au comportement de mon père et de ma marâtre. Même ayant appris que j'étais là première de ma classe il n'a pas essayer de l'encourager où de me féliciter. J'étais maintenant habitué à notre mode de vie. Des semaines,des mois sont passés et grâce aux effort
#Les chronique de VidalJe commençais à plus m'inquiéter lorsque je vis le docteur sortir du bloc opération. Son visage était neutre que mon cœur c'était mis à battre très fortDocteur : je….je..Moi: docteur s'il vous plaît dite moi que ma va bienDocteur : c'est que l'opération c'est très bien passé mais malheureusement elle est tombée dans un comaMoi: un coma?Docteur : oui ma fille,un coma mais c'est temporaire elle va s'en remettre.Moi:( soulagé) merci docteur. Ma tante va arriver demain comme elle l'avait dit à ma mère.Docteur : d'accord ma chérie. Tu peux rentrer te reposer un peu. Pour ton âge tu est à féliciter pour ton courage.Moi:( la tête baissée) merci monsieur.Le docteur s'en va et moi je suis sortie pour me rendre &
Cette fois, ma mère ne s'était pas laissée faire. Elle répliquait à toutes les injures de ma marâtre. J'essayais tant bien que mal de tirer ma mère mais c'était peine perdue jusqu'à ce que les voisins n'arrivent et les séparent.ma marâtre s'en allait en jurant de faire payer ma mère pour ce qui venait de se passer.Après cet incident,ma mère est retournée dans la case très en colère, c'était d'ailleurs la première fois que je là voit aussi fâchée.je suis donc retourner à mes occupations pour là laisser digérer un peu son mal. Après la cuisine elle s'était calmée et nous avons mangé. Pour la première fois, je mangeais avec ma mère dans un silence absolu. Elle ne voulait pas parler et moi non plus je n'avais pas envie de l'énerver encore plus. Que
C'est ainsi qu'on sait couchée ce jour avec les mots réconfortants de ma mère. Le lendemain comme convenu je m'étais préparer pour l'école et ma mère voulait qu'ensemble pour qu'elle parle à mon père.arrivé dans leurs concession nous avions trouvé ma marâtre en train de sortir de la case avec son fils, elle nous a toisé avant de nous demander ce que nous venons fait iciAssibi: qu'est ce que vous venez faire ici ? Ça ne vous à pas suffit ce que vous m'avez fait l'autre fois ?Ma mère : ( ignorant les propos de ma marâtre) bonjour assibi. J'aimerais stpl que tu appelles ton mari je voudrais vous parler tout les deuxAssibi: tu veux parler avec qui? Et pourquoi ? Pardon il fait trop tôt et j'ai pas envie de me disputer donc repart avec ta dévergondée de filleMa mère :( avec un ton très ca
Elles ont continué à causer et moi je suis allée écrasé les épices comme me l'avait demandé ma mère. Après avoir fait la cuisine. On est passé à table et c'est ma tante qui pris la paroleMa tante : alya comment ça avance à l'écoleMoi: ça va tata, sauf les mathématiques qui me dérange un peu mais je continue de l'exercer.Ma tante : d'accord ma chérie. Bon courage à toi toiMoi: merci tataMa tante :( s'adressant à ma mère) grando on ira quand pour voir papaMa mère : dès demain si si tu peux l'accompagner on iraMa tante : d'accord. Demain alorsNous avons continué à manger et à discuter, même si je ne disais pas grand chose je les écoutais.après le repas ma tante est rentré retrouver son mari à l'h&