Tout est de ta faute

Lendemain

 Je  me suis préparée en conséquence , le maître et  moi prenons une voiture et en peu de temps arrivons devant ce qui me semble être la demeure  de l’oncle du maître Cardona . le maître s’en alla ,  me laissa    devant l’immense portail et le gardien me fit  entrer. Une dame m’indiqua où se trouve  ma sœur , elle est assise sur un fauteuil au salon , une domestique  m’a dit que le Maître Jacob Cardona était absent   . Je m’avance timidement vers ma sœur et la salut .

         - Bonjour Reb dit -elle timidement .  

   

 Rebecca se leva , me regarda avec dégoût et me gifla sur la joue ayant été épargnée  par le  Maître Cardona .

         -   Nayra , salope comment ose- tu mettre les pieds chez moi après ce que tu m’as fait .

          -  Je n’ai rien avoir avec tout ça Reb . 

          - Menteuse  depuis toujours tu me fais souffrir mère t’a  toujours préférée  , l’univers entier t’a toujours préférée ,    tant dis que moi j’étais en seconde position je me battais tant bien que mal alors que toi tu avais tout en un claquement de doigt Nayra je te déteste . 

         

 Reb  a raison elle a toujours été mise en second plan par mère  ,  il y avait toujours une différence très net dont  maman faisait preuve j’avais tout ce  que je voulais tant dis ce que Reb était obligée de fournir beaucoup d’effort  ce qui l’a poussée  en quelque sorte à me jalouser .  

          - Reb je suis désolée ,  mais c’est pas de ma faute si maman est aussi distante avec toi,  et je t’assure que je n’ai rien avoir  avec les changements d’acte de mariage .

         - Qu’est ce que tu faisais quand mère me persécutais mentalement et parfois même physiquement ? Tu es d’une part aussi coupable qu’elle .

           - Mais père était là pour toi .

           - Nay , père t’accorde la même affection qu’à moi,  mais quand est -il de l’amour d’une mère ? je ne l’ai jamais ressentie en 26 ans d’existence ! 

       

 Je me sens mal car tout ce  qu’elle dit est la stricte vérité  ,   je ne l’ai jamais tendue la main  quand elle en avait besoin .  

       

         - Si seulement elle … .  

      Elle  s’est stoppée avant d’avoir fini  sa phrase .

            - J’imagine que tu voulais dire avorter  dit-elle d’un tond triste 

           -  Oh non Nay , cela est bien loin des propos que j’imaginais  dit -elle en souriant amèrement.

           -   Je vais m’en aller ,  c’est le mieux que je puisse faire .

           - Oui retourne  dans ton foyer et ne revient plus ici .

 Ça me fait mal  de l’entendre me parler ainsi ,  je me retourne et m’en vais les yeux remplis  de larmes . Reb est une belle femme gentille et bâtante je n’ai  jamais travaillé  de toute ma vie et je ne m’en suis jamais plainte  d’ailleurs ,  après l’obtention de son diplôme elle s’est mise au travail pour rendre nos parents fière  , mais mère  ne l’a tout de même pas accordé d’intérêt.Quelque heure plus tard j’entendis  le bruit de la porte s’ouvrir et je vis le maître Cardona rentrer en fermant derrière lui.

       

        - Maître ? que faite vous ici ? Dit -elle d’un tond perplexe . 

   

 S’est -il trompé de chambre ? Il n’a  pourtant pas l’air d’être sous l’emprise de l’alcool .

   

          - Je suis venu  me reposer dit-il »

 Je suis perdue .

           - Votre chambre est de l’autre côté !    

           -   Je ne me suis pas encore marier avec Florence ,  je me dois de passer toute mes nuits pour l’instant à vos côté

           - ...

           -  Dans trois jours , elle viendra pour que vous  fassiez connaissance avant le mariage. 

            -   Bien  cela ne me pose aucun problème . 

 Après s’être douché ,vêtit  et allonger à mes côté  , mon cœur s’est  emballée  en  sentent   son odeur enivrante   .

Le lendemain

 En ouvrant les yeux le matin la place à côté de moi était vide ,  il doit s’être levé tôt pour aller au travail. Je me lèves prend un bon bain m’habille et pars prendre le petit déjeuner . Manger seule c’est vraiment triste , d’habitude on mangeait en famille à la maison ,   cela dit le repas était copieux ,  dans quelques  heures  je pense faire un peu de sport .

   

    Plus tard dans la soirée

       

  J’ai  tellement suée   après cet  effort physique épuisant , comment font-ils  pour faire ça tout le temps ?!   ,  je file à la douche  après un bon bain je sors de la douche et vois le maître debout entrain de me fixer l’air complexe .

          - Maître qui y a-t-il ?  Dit -elle en tenant fermement sa serviette de peur qu’elle ne glisse entre ses doigts .  

  Il  me regarda ,  s’approcha de moi me saisit par la taille et me jeta  sur son épaule ma serviette manqua de tomber tellement il me prit avec poigne .

         - Que faite  vous lâchez moi ! 

  Il a l’air d’une autre personne il me jeta  sur le lit et se plaça  au dessus de moi , il est vraiment un bel homme ,  il retira sauvagement ma serviette  me laissant nue face à lui le rouge me monta au joue il se  jeta  sur mon coup l’assaillant de baiser  et me chuchota  à l’oreille « Es-tu vierge ?  » ,  bien sûr que non !  j’ai du mal à faire sortir les mots de ma bouche , je fais alors un signe de tête pour  lui signaler que je ne le suis plus   , son  regard devint froid mais cela ne l’empêcha pas de me faire l’amour sauvagement. C’était merveilleux , il  partit prendre une douche et  sortit quelques  minutes plus tard , il s’habilla sous mes yeux ce qui me gêna affreusement il s’est vêtu de manière simple j’imagine que c’est pour dormir. Il  s’assit sur le lit au moment où je me leva pour aller sous la douche et  me posa une question assez gênante  .

        -  Qui  a prit ta virginité ? Dit-il d’un tond froid .

  Moi-même  je ne le sais pas comment pourrais je lui répondre ?!

       -  Excusez moi ,  maître Cardona  je ne veux paraître impolie , mais je préfère garder cette information personnelle   . 

 Il me regarda d’un air glacial puis  s’allongea , je pris ma douche totalement frustrer par la situation , la soirée avait pourtant bien débuté et là tout se complique .  Je  sors , m’habille et pars m’allonger sur le lit à côté de lui nos deux dos se faisant face .