Université de Douala....
7 h : 30 minutes
Dans un bâtiment sophistiqué....
Les chaises sont en deux grandes rangées. Le hall est remplis d'étudiants qui causent de tout et de rien entre copains ou copines.
Une dame en jupe jaune, talon jaune et un petit costume rouge entre dans le hall avec un lot de documents et une tasse de café dans la main.
Les étudiants tourne leur regard vers elle. C'était madame Lidia Nguyen.
Elle s'assit dans son siège. Nous l'attendions depuis un moment déjà. Elle mangea son petit déjeuner sans se soucier de nous...
En faite, Mlle Lidia Nguyen était une jeune professeur des universités. Elle était très jeune, très belle, très intelligente mais moins intègre. J'adore sa façon d'être. Elle était stricte. C'était vrai mais elle pouvait être très cool parfois.
« Bonjour classe » elle salua tout le monde après son petit déjeuner.
Elle nous avait déjà expliqué pourquoi elle venait souvent terminer ses petits déjeuners dans notre salle de classe à chaque fois. Et bien c'était uniquement parce qu'elle était une personne trop occupée.
Elle n'avait presque pas le temps de respirer. Elle était tellement occupée à donner des conseils mais surtout à écouter les plaintes des étudiants. Elle n'avait pas de temps pour elle-même.
« Bonjour mademoiselle.» nous avions répondu. Nous étions tous heureux qu'elle soit en forme.
Elle bu de l'eau et se leva de son siège. Elle marcha dans le couloir pour surveiller la présence de ses étudiants comme elle en faisait à chaque fois.
« j'ai une mauvaise nouvelle pour vous, » elle annonça soudainement. Elle retourna à son siège.
Nous commencions à murmurer entre les bancs. Nous voulions savoir de quoi elle parlait.
« l'université vient de perdre un membre très important de notre faculté; la faculté de médecine. » Commença t'elle.
«Et comme celà nous regarde de très près. Perce qu'il était de notre département, nous devons soutenir massivement sa famille. La famille Barnabas aurait vraiment besoin d'un soutien financier bien que psychologique...» Dit-elle.
Nous avions murmuré entre les bancs. J'étais anxieuse et stressée car je détestais l'idée des contributions maintenant que j'étais indépendante mais fragile financièrement.
« Les administrateurs de notre université attendent de nous, une très grande participation d'accord ! » Elle expliqua.
« Chacun de nous sera attendu avec une somme d'argent de 30. 000 Francs comme participation.» Elle ajouta pour terminer.
C'était un choc pour tous les étudiants mais également la somme de contribution était vraiment élevé pour nous, pauvres étudiants.
Nous avions essayé de lui persuader de diminuer la somme. Elle a expliqué que nous étions en cycle Master et qu'il fallait s'y attendre à de telles sommes...
La journée toute entière a été concentré à ce débat. Nous avions pu trouver un accord avec la dame. Les étudiants ont été d'accord de verser chacun une somme de 25. 000f.
Pendant ce temps, moi dans ma tête, je me demandais où allais- je prendre une telle somme..
Nous étions à la troisième semaine de la rentrée académique. Je n'avais pas encore réglé ni ma facture d'hôtel ni ma scolarité. Je suis inquiète.
J'étais arrivée dans cette université à travers le billet d'une bourse scolaire. Maintenant que mon temps à expiré. Je ne pouvais plus bénéficier de l'encadrement de l'état car c'était une bourse scolaire de trois ans, non renouvelable.
Je ne savais quoi faire. Monsieur Barnabas était un professionnel dans le domaine de la médecine. Il méritait que je viens en aide à sa famille et à ses deux petites filles. J'étais stressée.
De retour à la maison, je ne réfléchissais qu'à celà. Nous étions un vendredi soir. J'étais allongée dans mon lit en réfléchissant. Mon téléphone avait sonné.
« Salut Yvie. » avais-je salué ma meilleure amie avec une voix remplie de fatigue.
« Comment se passe ta soirée bébé ?» elle m'a t'elle questionné.
« Je tiens le coup. » avais-je répondu.
Elle remarqua cette grande fatigue en moi et me demanda ce que je ferais. J'avais répondu : « je chôme dans ma chambre estudiantine.»
« Une chambre donc tu ne pourras plus payer bientôt avoue. » elle se moqua de moi dans une blague.
« C'est vrai. » avais-je répondu.
« Comme c'est triste. » Elle pointa.
C'était vrai. Dans mon pays, c'est n'était pas parce qu'on a trop fréquenté qu'on se trouvait rapidement du travail. Je ne sais même pas comment certains font pour avoir un boulot.
J'avais voulu travailler dans plusieurs hôpitaux...mais, je n'avais pas encore trouvé d'hôpital qui voulait accepter une femme comme moi,
Une gamine avec un Master dans la poche. Plusieurs de mes supérieurs pensais peut-être que je les achèterai la vedette. Juste pour un rien, le travail m'avait été toujours rejeté.
Comme ma copine soit une femme populaire, elle me fit une proposition assez bizarre. Après l'avoir fait part de mon problème d'argent.
« ma chérie,
Le tout n'est pas seulement de fréquenter. » Dit elle. « il faut se faire de l'argent.
Je sais tu ne veux pas travailler comme nous, je peux comprendre.
Mais ne demande pas l'argent tout le temps je ne suis pas une banque.» elle inclina d'abord ma demande.
« Yvie, je suis dos au mur voilà pourquoi je demande. Dans quelques jours, je vais te rembourser cet argent crois-moi.» ai-je supplié.
« écoute bébé, je ne peux rien pour toi aujourd'hui. Mais je connais quelqu'un qui peut aider. C'est une personne sympathique.»
« Dis-moi, tu parles qui? » avais-je demandé.
« D'un homme qui adore les bonnes choses.» avait elle répondu.
Lorsque j'entendis qu'il s'agissait d'un homme. Je n'avais pas réfléchi à deux fois avant de décliner la proposition également.
Elle était remontée contre moi. Elle mit fin à notre appel. En disant : « Au passage, ne me demande plus jamais de l'aide. Si tu ne veux pas travailler ni ne veux faire ce que l'ont te proposer de faire pour gagner de l'argent,
Trouve des solutions adaptées à chacun de tes problèmes. » elle éteignit son portable .
Je jetai le mien sur le lit.
« Comment ça, moi, une fille intelligente, devrait se retrouver dans le lit d'un homme à cause du fric?»
Je n'imaginais même pas. Je me décidai le lendemain pour trouver un travail digne de ce nom. Au bout d'un mois entier, aucun travail pour moi.
Je commençais à m'inquiéter encore plus. Lors de notre dernier rencontre avec Mlle Lidia Nguyen. Elle nous informa que l'université devrait amener les étudiants hors de la ville.
Nous irions pour un séjour d'un mois ensuite, nous retournerons pour enterrer le professeur Barnabas dans son village natal.
Pour la contribution de notre sortie estudiantine, il fallait une somme de 70. 000f.
Car nous aurions besoin des chambres d'hôtel, de la nourriture et de la boisson. Il nous fallait également un moyen de transport.
J'étais complètement bouleversée. En ce moment là, je ne savais vraiment plus quoi faire car il y avait à côté,
-Ma scolarité,
-Mon loyer,
-Ma nutriments,
- L'argent de l'eau
-L'argent de l'électricité,
Je ne vais pas ajouter qu'il fallait me vêtir...Et là, il fallait ajouter à cette grande liste, une participation participation en tant qu'étudiant.
Étant dans ma chambre, je fixais le plafond. Quelqu'un a frappé à ma porte.
« Qui es-ce? » Demandai-je.
« C'est Lana. » Elle répondit.
Je ne dis plus rien. C'était déjà un mois qu'elle et moi n' avions plus échangé. Lorsqu'elle arriva dans ma chambre ce soir là, j'étais complètement bouleversée. Elle m'avait vu.
Bien qu'elle était venue s'excuser, elle voulait toujours dit : « Thérésa, tu te fais du mal pour rien.
T'es parents n'ont pas assez d'argent. Pourquoi essai tu de t'imaginer quelque part où ta place n'est pas? »
« Yvie, mais devenir Docteur est mon plus grand rêve. Je ne peux y renoncer. Je veux me trouver un bon mari et ensuite construire une famille heureuse avec l'homme de ma vie.» ai-je pleuré.
Elle me prit dans ses bras. « je sais Thérésa. Moi aussi j'avais beaucoup de rêves. J'avais voulu devenir ingénieur mais j'ai dû laisser tomber après avoir compris où était ma place.
Regarde moi aujourd'hui, même si je n'ai pas encore la vie que je mérite, moi au moins je suis heureuse en vivant dans la réalité.
Mais, regardes-toi, tu es trop maigre,
Tu n'as personne qui t'aide. Les hommes ne s'intéressent pas aux femmes qui ont trop d'école dans la tête dans notre société actuelle. Tu le sais bien.
Ils veulent juste les femmes qui leur apportent de la joie. Et s'ils existent des hommes qui adorent les femmes intelligentes comme toi,
Ils ne sont pas faciles à les avoirs si tu n 'appartiens pas déjà à leur cercle.
Écoute moi, je sais comment t' amener jusqu'à eux mais seulement , tu as peur de céder. » Dit-elle pour me convaincre.
« Ma chérie, je connais les hommes, qui seront prête à payer les millions pour t'avoir dans leur lit. Une femme, belle, intelligente et captivante.» » Dit-elle
« Lana » ai-je pleuré.
« Je sais, calme toi. Ça va aller. » elle me persuada.
Nous étions un jeudi soir. Je lui demandai alors de me donner du temps à réfléchir. Le samedi soir, alors que j'avais passé la moitié de ma journée sans mangé, je me décidai de céder pour une fois.
Je pris mon téléphone, pensant à la cruauté de la vie à ne jamais donner à chacun selon ses mérites. Aucune réponse après autant d'entretien d'embauche.
La famine au ventre, la soiffe me tuait. Je composai son numéro très rapidement...
« Allô » elle répondit comme si elle attendait.
« Um, Lana, peux-tu me prendre à la maison ce soir ?» ai-je murmuré.
« J'arrive.» Elle répondit à la hâte.
C'est ainsi qu'elle sonna chez moi, trente minutes après. Son sourire brillait de savoir que j'avais finalement accepté de me plier à sa volonté. Mais de mon côté, je le faisais juste pour accomplir mon rêve.
S'il existait un homme quelques part qui pouvait me donner autant d'argent qui pouvait résoudre mon problème, j'étais prête à tout pour l'avoir. D'autant plus, j'avais décidé de la faire juste une seule fois.
« J'ai quelqu'un de très particulier en tête pour toi ma belle. Tu vas adoré passer ce moment là dans ses bras.»
« Vraiment? » demandai-je.
« Je te jure, ma poupée. » Elle répondit avec un large sourire. « Viens, ne le faisons pas attendre.» Elle ferma la porte derrière nous.
***
* Le point de vue de Kingsley Wilson *J'ai attendu l'arrivée éternelle de ma nouvelle épouse, elle n'a pas mis pieds dans ma chambre. Je ne me suis pas donné la peine non plus d'aller la chercher. J'ai donc passé la nuit toute seul. Réveillé par mon alarme de cinq heures et trente minutes, je m'assis dans mon lit, la tête dans les nuages. En quelques sortes j' angoissais dans ma chambre ce matin pour une première fois. Bon, je décidai d'appeler mon meilleur ami pour lui raconter ma vie. Le téléphone sonna juste une seconde. Il décrocha._ Allô. Bonjour Patrick. Dis-je en me grattant anxieusement la tête._ Salut Kingsley, comment vas-tu ? Demanda t'il. _ Gars, je vais mal. Dis-je.Je ne lui cachai pas mon état d'esprit, il est alarmant. Patrick le sentit aussitôt dans ma voix sombre. Il me demanda si c'était grave._ Raconte moi, que se passe-t-il ? Demanda t'il, concerné._ Je me suis marié hier. Déclarai- je tristement._ Quoi !! S'exclama t'il. Sans m' inviter gars ! C'est quoi
« Par les pouvoirs qui m'ont été donné, je vous déclare uns et unis. Kingsley embrasse ta femme. »C'étaient les paroles du Maire. Je retourne vers ma nouvelle épouse. J'applique, un léger baisé sur ses lèvres avant de sourire à mes parents. Ma mère est heureuse._ Mes enfants, merci beaucoup pour ce beau jour. Oh Kingsley, jamais, je n'oublierai.Elle me toucha la joie et celle de Thérésa également. Bientôt, elle tomba dans nos bras, émotionnellement, elle pleura._ Kingsley, tu fais la fierté de ta mère. Bientôt, nous aurons un petit bébé sur notre toit. Ciel, enfin. Comme je suis très heureuse, mon garçon. _ Okay maman, j'ai entendu.Elle se redressa de nous. Elle tourna son attention sur ma nouvelle épouse. Elle lui caressa les doigts de la main ensuite elle va sur ses genoux et embrassa son petit ventre._ Ton bébé ne connaîtra plus jamais de souffrance ni de honte. Il a déjà un papa et toi, Thérèsa, tu seras la maman la plus formidable au monde._ Mon fils aussi sait être doux.
* Point de vue de Thérésa Lum *J'arrivai en courant vers sa voiture. Il ne m' ouvrit pas la portière mais tâcha de me réprimander...- As-tu toujours les intentions de te marier ? Demanda-t-il nerveusement depuis le volant. J' agissais avec peur car ma relation avec mon père m'avait intoxiquée. J'avais horreur des personnes autoritaires et tout ce qu'ils me demandaient de faire, si c'est pas posément, je perdais le file. Alors pour lui donner de réponse, je hochai simplement la tête.- Alors qu'attends- tu? Arrête de me faire perdre mon temps inutilement et grimpe dans la voiture. Il gronda.Je pris mon courage et ouvrit d'abord la portière de devant. Il me regardait avec un regard obscurcit. Je fermai rapidement la portière et ouvrit celle de derrière. Je m'assis et me renferme sur moi-même. Je me rabat sur ma personne. Il était silencieux et je le guettais frénétiquement à travers le rétroviseur.- Est-ce là d'où tu comptes vraiment t'asseoir ?? Demanda t'il.Je ne comprenais pas
* Le point de vue de Thérésa Lum *Trois jours plus tard...Kingsley et moi n'avions pas pu parler. Il était dû genre " très nerveux '' et moi, je gardais mes distances. Aujourd'hui, nous devons aller signer les papiers à la mairie pour notre mariage arrangé. Le deal est très simple. « Je mets au monde mon bébé, Kingsley devrait le reconnaître comme son enfant. »Assise devant le miroir, je fais l'effort de me maquiller moi-même. Maman Rosalie était absente pour les arrangements avec le maire. Kingsley et moi devrions les rejoindre à la mairie plus tard dans la journée.Toc toc toc, on frappe à la porte. C'était pas la peine d'imaginer, je savais qu'il s'agissait de mon futur conjoint. - Oui, entrez.Je répondis en gardant mon regard dans le miroir. Mon crayon à main. Je perdis la force de continuer mon maquillage quand t'il fit son entré. Depuis le miroir, on se dévisagea l'un de l'autre. Son humeur n'a point connu de changement, c'était clair qu'il m' en voulait à mourir.- Je vai
* Point de vue de Thérésa *Quant on souffre mentalement, il n'ya pas plus grave maladie dévastatrice. J'avais fondu, j'étais devenue laide. Son exclamation ne m'étonna pas du tout. J'étais juste une fille ordinaire à côté de cet homme élégant. Il est très beau et moi je suis moins charmante pour qu'il me désir._ Maman, est-ce une blague !!Kingsley s'exclama nerveusement. Je n'ai pas de force de lui faire face. Je garde mon visage ailleurs. Je suis dos tournée, une main sur mon petit ventre déjà développé._ Je n'ai vraiment pas envie d'épouser qui que ce soit maintenant. Pas après ce que je t'ai dis l'autre jour maman. Pitié et d'ailleurs, qui est cette fille, elle est...trop maigre et...pas belle du tout. En plus elle attend déjà un enfant.Ces mots me traversaient l'esprit comme des braises de feu sur la peau. Tout ce qu'il disait était des remarques vraies. J'étais maigre oui, vraiment maigre. En plus j'attendais l'enfant d'un autre homme et non le sien. Sa colère était justifié
* Le point de vue de Kingsley Wilson *Je me trouvais dans un hôtel cinq étoiles lorsque mon téléphone a sonné. C'était ma maman- Bonjour Maman. Dis-je.Hier soir, Yvie était disponible pour me parler de Sofia. Malheureusement, je ne l'ai pas encore trouvé et elle non plus ne sait où la retrouver. Vers 19 heures, la pluie avait commencé, elle n'a pas pu retourner chez elle. Elle a donc passé la nuit avec moi. Ah les pluies à Douala, c'est la guerre !- Kingsley, je veux que tu rentres à la maison pour ce soir. Dit-elle toujours aussi tendre.De toute façon, j'avais déjà planifié retourner à la maison. Mlle Yvie et moi avions parlé. Elle a promis de garder un œil sur Sophia. Si elle l'a trouve, elle sera récompensée et moi, j'aurais la fille. - D'accord maman. Je vais arriver vers 15 heures au plus tard. Dis-je et je raccroche.- C'est maman ? Demande Yvie.- Oui. Je réponds avec un léger sourire.- Que veut -elle? Demande t'elle en jouant avec mes pectoraux.- Que je rentre à la ma
* Le point de vue de Thérésa Lum *Le lendemain, j'avais prié dieu pour que cette femme arrive jusqu'à moi. Maman Rosalie était la meilleure amie à ma mère. Ça faisait plusieurs années que j'avais cessé d'avoir de ses nouvelles. À l'aube, elle n'était pas là mais dans l'après midi elle est arrivée accompagnée de mon père. J'étais allongée lorsqu'ils sont entrés.- Mademoiselle, votre famille est arrivée. Dit la jeune infirmière qui s'occupait de moi.Je me retourne lentement. Je regarde mon père et mon cœur assombri.- Thérèsa, tu as vraiment beaucoup grandi. Comme je suis fière que tu sois aussi belle.La dame me prend dans ses bras. Je suis émue d'après son geste. Mon père nous regarde sans rien dire.- Comment vas-tu ? Demande t'elle avant de s'asseoir.- Bien. Je répond et détourne mon regard contre le mur.Elle me touche. Elle caresse mon corps et regarde ma main. - Tu es très maigre pour une femme enceinte. Dit-elle. Je tourne mes yeux remplis de douleur pour les plonger dans
* Le point de vue de Thérésa Lum *J'étais allongée dans ce lit d'hôpital, j'avais perdu tout espoir. Je venais d'être trahi par ma meilleure amie. La première des choses que je fis lorsque j'ouvris les yeux était de:« Docteur comment va mon bébé ? Est-ce qu'il va bien ? Est-ce qui est blessé ? Vais-je pouvoir le garder? » j'ai questionné l'homme en blouse blanche en face de moi et les infirmières en bleues qui étaient présentes dans la salle m'ont cru un peu folle. Eh oui ! C'est un sentiment naturel non ? Comment une personne qui avait avalé des comprimés pour tuer son propre bébé pouvais se soucier de la vie de cet enfant après cet acte audible. C'était juste incroyable et tout ce dont je faisais se passait à leurs yeux comme du jeu pour amadouer le docteur. C'était clair si bien que lorsque le docteur répondit :« Calme toi ma fille. Il n'est rien arrivé à ton bébé je t'assure. Il est toujours dans ton ventre. » les deux femmes se mettent à rire. Je leur comprends très bien. Vu
PVD Thérésa Ce matin, je me réveille à 6 heures à cause des coups nerveux de Lana contre la porte. « Oui j'arrive. Donne moi une minute. » Je descends rapidement ouvrir pour elle la porte. « Bonjour » Je salut. Elle me regarde sans répondre. « Tu dormais toujours ?? » Elle me questionne. « Oui » je répond. Elle entre silencieusement mais est semble très nerveuse.« Que se passe-t-il Lana ? » ai-je demandé parce que je sois dérangé par la mauvaise mine de ma meilleure amie.« Est-ce que tout s'est bien passé avec ton rendez-vous ?? » je demande parce qu'elle refuse de parler. « Non » elle me crie dessus. « Tout ne s'est pas passé comme je le souhaitais. » Dit- elle. « Pourquoi ?? » ai-je demandé concernée. Mais Lana a mal pris les choses. Elle me crie dessus:« Pourquoi veux-tu savoir ? » demande t'elle. « Comptes- tu arranger les problèmes qu'ils ya eu entre nous ? » Elle me questionne. « Lana, calme toi. » Dis-je humblement. « Je suis désolée d'avoir posé la question » Elle m