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Épisode 3: J'avais besoin d'argent

Penulis: KellyKarly
last update Terakhir Diperbarui: 2025-02-21 03:01:32

Université de Douala....

7 h : 30 minutes 

Dans un bâtiment sophistiqué....

Les chaises sont en deux grandes rangées. Le hall est remplis d'étudiants qui causent de tout et de rien entre copains ou copines.

Une dame en jupe jaune, talon jaune et un petit costume rouge entre dans le hall avec un lot de documents et une tasse de café dans la main.

Les étudiants tourne leur regard vers elle. C'était madame Lidia Nguyen.

Elle s'assit dans son siège. Nous l'attendions depuis un moment déjà. Elle mangea son petit déjeuner sans se soucier de nous...

En faite, Mlle Lidia Nguyen était une jeune professeur des universités. Elle était très jeune, très belle, très intelligente mais moins intègre. J'adore sa façon d'être. Elle était stricte. C'était vrai mais elle pouvait être très cool parfois.

« Bonjour classe » elle salua tout le monde après son petit déjeuner.

Elle nous avait déjà expliqué pourquoi elle venait souvent terminer ses petits déjeuners dans notre salle de classe à chaque fois. Et bien c'était uniquement parce qu'elle était une personne trop occupée.

Elle n'avait presque pas le temps de respirer. Elle était tellement occupée à donner des conseils mais surtout à écouter les plaintes des étudiants. Elle n'avait pas de temps pour elle-même.

« Bonjour mademoiselle.» nous avions répondu. Nous étions tous heureux qu'elle soit en forme.

Elle bu de l'eau et se leva de son siège. Elle marcha dans le couloir pour surveiller la présence de ses étudiants comme elle en faisait à chaque fois.

« j'ai une mauvaise nouvelle pour vous, » elle annonça soudainement. Elle retourna à son siège.

Nous commencions à murmurer entre les bancs. Nous voulions savoir de quoi elle parlait.

« l'université vient de perdre un membre très important de notre faculté; la faculté de médecine. » Commença t'elle.

«Et comme celà nous regarde de très près. Perce qu'il était de notre département, nous devons soutenir massivement sa famille. La famille Barnabas aurait vraiment besoin d'un soutien financier bien que psychologique...» Dit-elle.

Nous avions murmuré entre les bancs. J'étais anxieuse et stressée car je détestais l'idée des contributions maintenant que j'étais indépendante mais fragile financièrement.

« Les administrateurs de notre université attendent de nous, une très grande participation d'accord ! » Elle expliqua.

« Chacun de nous sera attendu avec une somme d'argent de 30. 000 Francs comme participation.» Elle ajouta pour terminer.

C'était un choc pour tous les étudiants mais également la somme de contribution était vraiment élevé pour nous, pauvres étudiants.

Nous avions essayé de lui persuader de diminuer la somme. Elle a expliqué que nous étions en cycle Master et qu'il fallait s'y attendre à de telles sommes...

La journée toute entière a été concentré à ce débat. Nous avions pu trouver un accord avec la dame. Les étudiants ont été d'accord de verser chacun une somme de 25. 000f.

Pendant ce temps, moi dans ma tête, je me demandais où allais- je prendre une telle somme..

Nous étions à la troisième semaine de la rentrée académique. Je n'avais pas encore réglé ni ma facture d'hôtel ni ma scolarité. Je suis inquiète.

J'étais arrivée dans cette université à travers le billet d'une bourse scolaire. Maintenant que mon temps à expiré. Je ne pouvais plus bénéficier de l'encadrement de l'état car c'était une bourse scolaire de trois ans, non renouvelable.

Je ne savais quoi faire. Monsieur Barnabas était un professionnel dans le domaine de la médecine. Il méritait que je viens en aide à sa famille et à ses deux petites filles. J'étais stressée. 

De retour à la maison, je ne réfléchissais qu'à celà. Nous étions un vendredi soir. J'étais allongée dans mon lit en réfléchissant. Mon téléphone avait sonné. 

« Salut Yvie. » avais-je salué ma meilleure amie avec une voix remplie de fatigue.

« Comment se passe ta soirée bébé ?» elle m'a t'elle questionné.

« Je tiens le coup. » avais-je répondu. 

Elle remarqua cette grande fatigue en moi et me demanda ce que je ferais. J'avais répondu : « je chôme dans ma chambre estudiantine.»

« Une chambre donc tu ne pourras plus payer bientôt avoue. » elle se moqua de moi dans une blague.

« C'est vrai. » avais-je répondu.

« Comme c'est triste. » Elle pointa.

C'était vrai. Dans mon pays, c'est n'était pas parce qu'on a trop fréquenté qu'on se trouvait rapidement du travail. Je ne sais même pas comment certains font pour avoir un boulot. 

J'avais voulu travailler dans plusieurs hôpitaux...mais, je n'avais pas encore trouvé d'hôpital qui voulait accepter une femme comme moi,

Une gamine avec un Master dans la poche. Plusieurs de mes supérieurs pensais peut-être que je les achèterai la vedette. Juste pour un rien, le travail m'avait été toujours rejeté.

Comme ma copine soit une femme populaire, elle me fit une proposition assez bizarre. Après l'avoir fait part de mon problème d'argent.

« ma chérie, 

Le tout n'est pas seulement de fréquenter. » Dit elle. « il faut se faire de l'argent. 

Je sais tu ne veux pas travailler comme nous, je peux comprendre. 

Mais ne demande pas l'argent tout le temps je ne suis pas une banque.» elle inclina d'abord ma demande.

« Yvie, je suis dos au mur voilà pourquoi je demande. Dans quelques jours, je vais te rembourser cet argent crois-moi.» ai-je supplié.

« écoute bébé, je ne peux rien pour toi aujourd'hui. Mais je connais quelqu'un qui peut aider. C'est une personne sympathique.»

« Dis-moi, tu parles qui? » avais-je demandé.

« D'un homme qui adore les bonnes choses.» avait elle répondu. 

Lorsque j'entendis qu'il s'agissait d'un homme. Je n'avais pas réfléchi à deux fois avant de décliner la proposition également.

Elle était remontée contre moi. Elle mit fin à notre appel. En disant : « Au passage, ne me demande plus jamais de l'aide. Si tu ne veux pas travailler ni ne veux faire ce que l'ont te proposer de faire pour gagner de l'argent,

Trouve des solutions adaptées à chacun de tes problèmes. » elle éteignit son portable .

Je jetai le mien sur le lit.

« Comment ça, moi, une fille intelligente, devrait se retrouver dans le lit d'un homme à cause du fric?»

Je n'imaginais même pas. Je me décidai le lendemain pour trouver un travail digne de ce nom. Au bout d'un mois entier, aucun travail pour moi.

Je commençais à m'inquiéter encore plus. Lors de notre dernier rencontre avec Mlle Lidia Nguyen. Elle nous informa que l'université devrait amener les étudiants hors de la ville.

Nous irions pour un séjour d'un mois ensuite, nous retournerons pour enterrer le professeur Barnabas dans son village natal. 

Pour la contribution de notre sortie estudiantine, il fallait une somme de 70. 000f. 

Car nous aurions besoin des chambres d'hôtel, de la nourriture et de la boisson. Il nous fallait également un moyen de transport. 

J'étais complètement bouleversée. En ce moment là, je ne savais vraiment plus quoi faire car il y avait à côté, 

-Ma scolarité,

-Mon loyer,

-Ma nutriments,

- L'argent de l'eau 

-L'argent de l'électricité,

Je ne vais pas ajouter qu'il fallait me vêtir...Et là, il fallait ajouter à cette grande liste, une participation participation en tant qu'étudiant.

Étant dans ma chambre, je fixais le plafond. Quelqu'un a frappé à ma porte.

« Qui es-ce? » Demandai-je.

« C'est Lana. » Elle répondit. 

Je ne dis plus rien. C'était déjà un mois qu'elle et moi n' avions plus échangé. Lorsqu'elle arriva dans ma chambre ce soir là, j'étais complètement bouleversée. Elle m'avait vu. 

Bien qu'elle était venue s'excuser, elle voulait toujours dit : « Thérésa, tu te fais du mal pour rien. 

T'es parents n'ont pas assez d'argent. Pourquoi essai tu de t'imaginer quelque part où ta place n'est pas? »

« Yvie, mais devenir Docteur est mon plus grand rêve. Je ne peux y renoncer. Je veux me trouver un bon mari et ensuite construire une famille heureuse avec l'homme de ma vie.» ai-je pleuré.

Elle me prit dans ses bras. « je sais Thérésa. Moi aussi j'avais beaucoup de rêves. J'avais voulu devenir ingénieur mais j'ai dû laisser tomber après avoir compris où était ma place.

Regarde moi aujourd'hui, même si je n'ai pas encore la vie que je mérite, moi au moins je suis heureuse en vivant dans la réalité. 

Mais, regardes-toi, tu es trop maigre,

Tu n'as personne qui t'aide. Les hommes ne s'intéressent pas aux femmes qui ont trop d'école dans la tête dans notre société actuelle. Tu le sais bien.

Ils veulent juste les femmes qui leur apportent de la joie. Et s'ils existent des hommes qui adorent les femmes intelligentes comme toi, 

Ils ne sont pas faciles à les avoirs si tu n 'appartiens pas déjà à leur cercle.

Écoute moi, je sais comment t' amener jusqu'à eux mais seulement , tu as peur de céder. » Dit-elle pour me convaincre.

« Ma chérie, je connais les hommes, qui seront prête à payer les millions pour t'avoir dans leur lit. Une femme, belle, intelligente et captivante.» » Dit-elle 

« Lana » ai-je pleuré.

« Je sais, calme toi. Ça va aller. » elle me persuada. 

Nous étions un jeudi soir. Je lui demandai alors de me donner du temps à réfléchir. Le samedi soir, alors que j'avais passé la moitié de ma journée sans mangé, je me décidai de céder pour une fois. 

Je pris mon téléphone, pensant à la cruauté de la vie à ne jamais donner à chacun selon ses mérites. Aucune réponse après autant d'entretien d'embauche. 

La famine au ventre, la soiffe me tuait. Je composai son numéro très rapidement...

« Allô » elle répondit comme si elle attendait.

« Um, Lana, peux-tu me prendre à la maison ce soir ?» ai-je murmuré.

« J'arrive.» Elle répondit à la hâte.

C'est ainsi qu'elle sonna chez moi, trente minutes après. Son sourire brillait de savoir que j'avais finalement accepté de me plier à sa volonté. Mais de mon côté, je le faisais juste pour accomplir mon rêve. 

S'il existait un homme quelques part qui pouvait me donner autant d'argent qui pouvait résoudre mon problème, j'étais prête à tout pour l'avoir. D'autant plus, j'avais décidé de la faire juste une seule fois.

« J'ai quelqu'un de très particulier en tête pour toi ma belle. Tu vas adoré passer ce moment là dans ses bras.»

« Vraiment? » demandai-je.

« Je te jure, ma poupée. » Elle répondit avec un large sourire. « Viens, ne le faisons pas attendre.» Elle ferma la porte derrière nous.

***

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