Lahat ng Kabanata ng Le Sang du Clair de Lune: Kabanata 91 - Kabanata 100

— Mark, murmurai-je en serrant les mains.— Oui, dit-il, s’enfonçant plus profondément en moi en me sentant au bord de la jouissance. Tu es délicieuse, Angela. Et je sais exactement ce que tu veux.Il tendit la main et m’attrapa les cheveux, tirant ma tête en arrière pour que je me sentisse chevauchée. Je tapotai sur le capot, me préparant pour sa queue, essayant de prendre tout ce qu’il avait à donner alors qu’il commençait à accélérer, chacune de ses poussées me remplissant, me poussant à bout de souffle. La chaleur s’accumula dans mes hanches comme si le soleil du désert un jour d’été. Il se pencha et me fessa une nouvelle fois, plus fort, alors que je commençais à gémir sans retenue au rythme de ses coups de hanche.— Oh, mon Dieu, Mark, sifflai-je, mes seins frottant contre le capot, mes mains serrées en poings impuissants. Le bruit des claquements de ses hanches s’éleva dans la nuit, suivi de ses grognements de plaisir à chaque fois qu’il me baisait comme il fallait, sa bite épa

Elle inspira profondément et recula, me regardant droit dans les yeux. Je ne savais pas ce qu’elle cherchait là, ou si l’homme dans le miroir qui répondait à tant de désirs inexprimés de femmes l’observait en retour. Puis elle s’avança vers moi, et je pensai qu’elle allait se blottir contre moi à nouveau, et je commençai à marchander avec ma faim, jurant de lui donner du sang frais demain soir… quand je sentis ses lèvres embrasser le creux de ma gorge.Je restai assis, ne voulant pas lui faire peur, ne voulant pas présumer de ce qui allait se passer. Ses lèvres descendirent un peu plus bas, jusqu’à mon sternum, et m’y embrassèrent à nouveau.Au moment où elle atteignit mon nombril, j’étais haletant. Je ne voulais pas… je voulais garder le contrôle… mais la faim… savoir où allaient ses lèvres et pourquoi… il n’y avait aucun moyen que ma bite ne fût pas dure. Mais alors que ses lèvres rencontraient les poils clairs descendant jusqu’à la base de ma queue, je trouvai une réserve intérieur

— Non, dit-elle en ramenant son bras vers elle et en le touchant là où je l’avais touchée. Ce choc — l’avait-elle ressenti elle aussi ? Puis elle passa une main dans ses cheveux ébouriffés.» Habituellement, je ne frappe pas mes employés — c’est juste — je pensais que tu étais mort !Je me retournai vers la devanture du magasin.— Il en faudrait plus qu’un petit bout de verre brisé pour me tuer.— La société d’alarme a appelé — tu étais censé être là !— Nous avons des pauses déjeuner. Regarde le panneau…Je le pointai du doigt et j’espérai pour qu’elle ne pût pas sentir l’odeur de sexe sur moi, comme je pouvais si clairement la sentir sur elle.Mark s’éclaircit la gorge.— Très bien, à propos de ça, commença-t-il en prenant son téléphone.— Qu’est-ce que tu fais ? dit Angela.— J’appelle les flics. Et des réparateurs.— Ne fais pas ça.Mark et moi la regardâmes. J’étais content, je ne voulais pas rester ici trop longtemps, l’aube était en chemin, mais c’était clairement un acte de va

CHAPITRE NEUFJACKJe me réveillai comme d’habitude — au son des grattements contre mon cercueil.Je n’étais pas dans un cercueil parce que j’étais un vampire — même si c’était le cas — j’étais dans un cercueil parce que j’avais adopté un chat, et un de mes clients du Samu m’avait un jour raconté une horrible histoire. Je nourrissais bien Sugar, mais quand vous mouriez chaque jour et partagiez la maison avec un carnivore, cela valait la peine de jouer la sécurité. J’entendis un miaulement curieux et un autre grattement juste à côté de ma tête. D’une manière ou d’une autre, Sugar savait toujours quand j’étais réveillé.— Chut, dis-je en repoussant le couvercle de la boîte en contreplaqué que je m’étais construite. Sugar sauta à l’intérieur et se frotta la tête avec ma main pendant que je me la caressais entre ses oreilles.La seule conséquence d’être un vampire était que je ne rêvais pas : je ne pouvais jamais me tourner et me retourner la nuit, quand je tombais raide mort, je restais

— Paco.Pourquoi n’avais-je pas joui en lui ? Il le désirait aussi — et moi donc. Je ne l’avais même pas encore mordu et… ses hanches basculaient contre les miennes alors que sa main autour de ma bite la tirait fermement, de manière possessive, et c’était fini. J’avais déjà perdu une personne proche de moi, au sens de la proximité féline que je m’autorisais, maintenant que c’était ce que j’étais. Si, comme Bella l’avait si souvent affirmé, je n’avais pas de chance, je ne pourrais pas supporter que quelque chose, en moi, fît du mal à Paco.Sa bouche était au niveau de ma clavicule, m’embrassant là où je voulais le mordre.— Paco, prévins-je à nouveau.— Tais-toi, Jack, murmura-t-il contre moi. Je te connais.Sa main mobile descendit pour caresser mes bourses et frotter le point entre elles et mon trou, et la faim monta en moi et… je me tournai vers lui, approchant son visage du mien avec les deux mains pour l’embrasser fort. Il ronronnait alors que mon corps se pressait contre lui, ma