All Chapters of Le Sang du Clair de Lune: Chapter 101 - Chapter 110

Il les avait récupérés là où ils avaient atterri, plus tôt.— Tu aimes juste sentir comme moi.— Comme nous, souligna-t-il. Même si je suis content que nous n’ayons pas atteint la chambre. Je suis peut-être trop fatigué pour changer les draps. Tel quel…Il regarda le désordre des coussins du canapé derrière lui.» Je vais donner un pourboire supplémentaire à Imelda, demain.Je souris.— Hé, alors, commençai-je.Avant que je ne pusse dire un autre mot, il intervint.— Le voici.— Quoi ?Paco mit les Oreos de côté et se leva, et j’appréciai d’autant plus sa silhouette à ce moment-là. Il avait pris dix-huit kilos de muscles depuis notre première rencontre : à l’époque, c’était un gamin fêtard et tout maigrelet, et j’étais à la recherche d’une proie facile ; par la suite, il réveilla une faim différente en moi, une faim que je ne connaissais pas. Au fil des années, Paco était devenu un des gardes du corps les plus demandés de Las Vegas, et dorénavant, il avait un CDI avec la Fleur de Lis,

— Bien sûr, dis-je en me penchant pour l’enlacer gentiment.Je donnai une pause de trente minutes à mon poignet, payai quelques factures et fis des trucs propres à un patron, ce qui consistait notamment à ne pas trop restreindre le style de mes anciens artistes tout en gardant un œil sur les plus récents. Nous avions généralement une période probatoire de trois mois au cours de laquelle vous deviez non seulement prouver que vous étiez bon, mais que vous pouviez aussi être prêt à être éduqué et que vous pouviez bien jouer avec les autres. J’avais depuis longtemps cessé d’être surprise par le nombre d’artistes qui avaient échoué. Je ne savais pas si c’était le fait d’être supervisé par une femme ou le fait d’avoir un boss tout court : beaucoup d’artistes n’acceptaient pas les suggestions. Et j’avais des normes élevées en matière de service client, de qualité, de propreté et de ponctualité que mes artistes respectaient ou dépassaient vingt-quatre heures sur vingt-quatre, sept jours sur s

— Quelle fille évasive.Il me lança ce regard qu’il faisait toujours lorsque je me montrais trop difficile, comme si j’étais un cheval à apprivoiser ou une montagne à gravir. Ce regard me serrait toujours le cœur et je serrai mes jambes un peu plus fort, mais pour le moment, je me forçais à me concentrer sur la situation actuelle. "— Alors, qu’est-ce qu’il veut ?— Il veut voir son fils, qui ne sait pas qui il est. Je lui ai dit que son père était mort.— Oh. Angela, il secoua rapidement la tête. Tu n’aurais pas dû lui mentir.— C’était mieux que la vérité, crois-moi.Je pris une fourchette et je la fis tourner, juste au moment où les serveurs réapparurent avec du pain de campagne et des salades.» Je ne sais tout simplement pas quoi faire, maintenant. Je me retrouve dos au mur… et Rabbit ne devrait pas avoir à rencontrer une telle déception.— Tout ce qu’il fait, c’est t’écrire, n’est-ce pas ?Je pris une profonde inspiration afin d’essayer de mentir, mais il laissa échapper un son

— My Roof — le toit — ce nom est un mensonge. Il y a trois penthouses au-dessus de nous avec la même vue.Il tendit la main.» Tu veux en voir une ?J’enfilai ma robe, l’enveloppant et l’attachant sans faire fermer les boutons, la faisant passer de sobre à sensuelle, puis je pris sa main dans la mienne. Le regardant dans les yeux, je répondis :— Avec plaisir.Un de ses sourcils se leva et son regard me parcourut, comme s’il pensait déjà à me dévorer à nouveau, et à l’intérieur de moi, ma louve balança sa tête et sa queue avec impatience.— Très bien, dit-il en m’entraînant vers la porte du restaurant.CHAPITRE TREIZEJACK— Alors, quel est ton nom, M. Touriste ? demanda la fille.Je ne pouvais pas mentir à ce sujet, vu que c’était tatoué sur mes phalanges.— Jack, dis-je en lui montrant. Et toi ?— Amber, dit-elle.Elle n’avait pas vraiment remarqué mes tatouages auparavant, je la voyais essayer de les faire correspondre avec le reste de ma personne, mes cheveux lissés en arrière av

J’entendis son gémissement d’appréciation et je la sentis basculer en avant, alors qu’une mèche de ses cheveux tombait sur mes bourses, faisant courir un frisson le long de ma colonne vertébrale. Et puis sa petite bouche s’ouvrit et commença à embrasser mon gland. Lentement et sûrement, elle fit descendre sa bouche le long de ma queue. Je pouvais fermer les yeux et imaginer ses lèvres tendues, glissant vers le bas, alors que je la sentais faire ; je laissai échapper un grognement digne d’un animal et l’attirais vers moi. Avec elle écartée ainsi face à moi, c’était plus facile de la sucer, et je savais déjà à quel point elle aimait ça : j’attrapai son cul avec mes deux mains et j’enfouis mon visage entre ses jambes, léchant son clitoris.Elle gémit, je pouvais le sentir résonner contre ma bite, et elle commença à me sucer de haut en bas, jouant de sa main avec ma queue quand cette dernière sortait de sa bouche, alors qu’elle enfonçait ses hanches contre moi, et bientôt, quelque chose d