Semua Bab Patron Irrésistible : Prisonnière de Ton Charme: Bab 211 - Bab 220

Johnson n'a cessé de pousser Alexandre vers le bureau, tandis que les larmes coulaient sur mon visage. Dès qu'ils ont quitté la pièce, la poignée a légèrement bougé et Mathias est entré en nous faisant signe de garder le silence.« Madame, pardonnez-moi », a murmuré Mathias. « Je ne sais pas comment il est entré, mais nous allons régler cela. Montez à l'étage sans bruit, prenez soin des enfants. Mes hommes vous protègeront. La police est en route. » « Alexandre ! Mathias, il va tuer Alexandre ! » ai-je dit, désespérée.« Je vous le promets, madame, il ne le fera pas. Mais je vous en supplie, il faut que vous restiez en sécurité. Je ne faillirai plus. » Mathias m'a aidée à me relever.« Ce n'est pas votre faute, Mathias. » a murmuré la nounou qui m'avait accueillie plus tôt avec une arme braquée sur elle. « Pardonne-moi, Catherine, mais quand je suis sortie, il a pointé son arme sur ma tête et s'est caché sur la banquette arrière. J'aurais dû le laisser me tuer ! » « Ne dites pas ça !

Point de vue de JohnsonJ'ai déjà passé un mois dans cet enfer ! Comment est-ce que tout a pu si mal tourner ? J'ai eu un plan parfait ! Pendant des années, j'ai volé des millions d'euros à cette entreprise, mais au moment de porter le coup final, tout s'est effondré. Tout ça, à cause de cette petite garce. La nuit où les parents d'Alexandre sont morts, Catherine a tout gâché. Il aurait dû mourir avec eux, mais il était avec cette fille ignorante. Depuis cette nuit-là, tout a commencé à mal tourner.On m'a emprisonné ici, jeté dans cet enfer crasseux et puant. Je n'ai même pas réussi à tuer cet imbécile d'Alexandre. Je lui ai tiré dessus, mais avant de pouvoir tirer une seconde fois, j'ai reçu une balle dans la jambe. À l'hôpital, les médecins m'ont dit que les éclats de balle ont détruit les terminaisons nerveuses et les vaisseaux dans la zone, qu'ils n'ont pas pu reconstruire quoi que ce soit. Ils m'ont alors amputé toute la jambe, presque jusqu'à l'aine - ce qui a rendu impossible l

Quand je travaillais à la maison, le bureau me manquait terriblement, mais je n'étais pas encore prête à passer mes journées loin des enfants. Vers trois heures de l'après-midi, mon mari m'a passée un appel vidéo.« Salut, maman ! » s'est-il exclamé avec enthousiasme, en posant un doigt sous son menton, adoptant cette pose que j'adorais.« Salut, papa ! Je t'ai manqué ? » l'ai-je taquiné.« À chaque instant ! » a soupiré Alexandre. « Mon ange, tu veux aller dîner avec moi ce soir ? Juste toi et moi. » « Hum, quelle invitation inattendue. Y a-t-il une occasion spéciale ? » « Simplement parce que j'ai envie de passer un moment seul avec ma magnifique épouse. » « J'aime cette raison ! » « Est-ce que ça veut dire oui ? » « C'est un “absolument”. » J'ai souri à l'écran.« Génial ! » Alexandre a esquissé un sourire irrésistible. « À ce soir, mon ange. » Alexandre m'a emmenée dîner dans un restaurant à l'ambiance agréable et au cadre charmant. Lorsqu'il a commandé le dessert, il a deman

Point de vue de HenryJ’étais assis au bar du Cercle Social avec mes amis Alexandre et Pascal, ce jeudi soir. Pendant qu’on discutait, je me suis souvenu de poser une question à Alexandre au sujet de la femme que je lui avais recommandée pour remplacer Mariana comme assistante.« Alexandre, tu as interviewé la femme que je t’ai recommandée ? » ai-je demandé à mon ami.« C’est le domaine de Maria, Henry. Elle va faire un entretien virtuel avec elle demain. Mais d’après ce que je sais, elle a déjà vu son CV, parlé avec Aldo Larson, et elle est plutôt impressionnée. Je pense qu’elle va l’embaucher, » a répondu Alexandre d’un ton sérieux, comme à son habitude, sans entrer dans les détails.« Je suis curieux. Oliver a dit qu’elle est très compétente, » ai-je commenté.« D’après Maria, elle l’est, » a confirmé Alexandre.« Et Maria ne t’a rien dit d’autre à son sujet ? Elle a dû au moins voir une photo, sur son CV au minimum... » ai-je insisté.« Henry, l’apparence de mes employés ne

Point de vue de SandrineAprès avoir travaillé jusqu’à la fermeture hier, j’étais épuisée, même si on était lundi. J’avais besoin d’un autre boulot, avec des horaires décents qui ne me bouffent pas mes week-ends. Travailler dans une boutique de centre commercial, c’était éreintant. Je venais d’obtenir mon diplôme en commerce, mais c’était ma seule expérience professionnelle, donc trouver autre chose n’était pas évident.Les commissions étaient en réalité intéressantes, la boutique était haut de gamme, tout était hors de prix. J’étais douée pour la vente et j’avais une clientèle fidèle, mais c’était devenu vraiment difficile de continuer à bosser ici, surtout aux côtés de Cybèle, depuis que je l’avais surprise en train de faire une fellation à mon petit ami de l’époque dans l’arrière-boutique... Et les deux autres vendeuses prenaient son parti, ce qui rendait l’ambiance encore plus insupportable.Ça a été la situation la plus humiliante de ma vie ! J’étais sortie rapidement pour m’ac