Semua Bab Patron Irrésistible : Prisonnière de Ton Charme: Bab 221 - Bab 230

PDV d'HenryJ'ai pensé que le plus pratique serait d'aller au centre commercial, où je pourrais trouver tout ce dont j'avais besoin. Je me suis d'abord rendu à la boutique d'articles religieux : ce serait rapide, et je ne voulais pas être ce mécréant qui entrait dans une boutique d'articles religieux avec des achats des adultes. En entrant, il n'y avait qu'une vendeuse qui bavardait avec une jeune femme. Je me suis approché d'elles tout en envoyant un message à Anne pour lui dire que je lui achetais une petite surprise.J'ai été direct avec la vendeuse. Je ne voulais pas perdre de temps. Elle pourrait continuer à bavarder avec l'autre femme plus tard. Mais cette dernière a décidé de me jouer le tour, et nous avons commencé à nous disputer pour savoir qui la vendeuse devait servir en premier. Elle m'agaçait.J'étais déjà impatient quand j'ai levé les yeux de mon téléphone. Mais quand j'ai vu la femme devant moi, j'ai dû faire preuve d'une grande maîtrise pour ne pas lui demander son

PDV de Sandrine« Ah Maman, je suis tellement déçue de ne pas pouvoir t'accompagner à l'anniversaire de grand-mère. », ai-je dit à ma mère pendant que nous déjeunions au centre commercial.« Je comprends, ma chérie. Mais ton cadeau lui fera plaisir, et tu dois travailler. Les obligations passent toujours en premier, Sandrine. », m'a répondu ma mère.Ma mère était une femme d'une force remarquable. Elle m'a élevée toute seule. Mon père n'a jamais voulu assumer ses responsabilités. Il se montrait de temps en temps en prétextant vouloir me voir, mais c'était davantage pour tourmenter ma mère. Alors, après mes dix-huit ans, je l'ai écarté de ma vie. Je n'avais pas besoin d'un père qui ne se manifestait que lorsque cela lui semblait bon de créer des ennuis à ma mère. Il était évident qu'il ne s'intéressait guère à sa fille.« Combien de temps vas-tu rester là-bas ? », ai-je demandé.« Une semaine. J'ai pris quelques jours de congé et je compte en profiter pleinement. Et puis, j'aime bi

PDV d'HenryIl était plus de sept heures du soir ce vendredi-là quand Melissa a enfin décidé de me libérer.« Quoi ? Tu me laisses partir tôt encore aujourd'hui ? », lui ai-je demandé avec un sourire.« Je pourrais te laisser du travail, mais je m'en vais. La semaine a été épuisante : tu n'es pas facile à gérer. »« Non, pas de tâches, s'il te plaît. Je suis fatigué aussi. Mais j'aimerais te remercier. »« Ah bon ? » Melissa s'est adossée dans son fauteuil avec un sourire malicieux, comme une chatte qui a capturé une souris.« Oui. Je vais peut-être regretter de dire ça, mais je serai franc : tu m'as ramené à la réalité. Je négligeais mon entreprise, et tu m'as remis sur le droit chemin. Merci. »« Je t'avais dit que tu avais besoin de moi ! » Le sourire de Melissa s'est élargi. « Rien que pour ça, je te donne ton week-end. Mais si tu arrives mal en point lundi, ce sera un désastre, compris ? »« Je te le promets ! » J'ai levé la main en signe de serment.Melissa a rassemblé s

PDV d'HenryJ'ai passé tout le dimanche à songer à ma déesse. J'ai envisagé d'aller à la boutique pour la voir, mais ce n'était peut-être pas judicieux de l'aborder sur son lieu de travail, alors j'ai imaginé une autre approche. Ce jour-là, je déjeunais chez ma sœur qui me racontait comment mon beau-frère l'avait conquise. Ils s'étaient rencontrés au lycée, et mon beau-frère lui faisait parvenir des petits mots avec des phrases mignonnes par l'intermédiaire d'un ami, avant même qu'ils ne se parlent. Elle avait trouvé cela si amusant qu'elle lui avait donné sa chance.Pourquoi pas ? J'allais procéder à l'ancienne en m'inspirant de cette idée. J'ai saisi mon portable et appelé mon neveu, qui a répondu d'une voix ensommeillée.« Salut tonton. Il s'est passé quelque chose ? »« Pardon, Enzo, j'avais oublié que tu te couches tôt. », ai-je dit en voyant qu'il était plus de vingt-trois heures.« J'ai des cours demain ! »« Oui, je sais, mais j'aimerais savoir si tu peux m'aider cette se

PDV de SandrineJ'ai passé toute la semaine à recevoir des petits mots du bel inconnu en début d'après-midi. Et dire que je pensais ne plus jamais revoir cet homme de ma vie.Il m'a fait plusieurs propositions audacieuses, mais ne s'était pas encore montré dans la boutique. C'était toujours son neveu Enzo qui apportait les messages, et dès le premier jour, je l'ai pressé jusqu'à ce qu'il m'avoue que son oncle lui avait demandé de le faire et me montre une photo. C'était ainsi que j'ai su que les mots venaient du bel inconnu.Le beau gosse me faisait la cour. Je voulais voir combien de temps il mettrait avant de se présenter à la boutique, mais je m'amusais bien avec ces petits mots, et Enzo était si adorable qu'il a fini par me demander des conseils pour faire plaisir à sa copine. En échange, il ne dirait pas à son oncle que je savais qui envoyait les messages. Il venait à la boutique, me remettait tous les mots du jour, et je répondais à chacun. On jouait avec le séducteur pendant