Semua Bab Patron Irrésistible : Prisonnière de Ton Charme: Bab 271 - Bab 280

Point de vue d'HenryJ'ai quitté la maison de Sandrine en sachant qu'elle avait besoin de ses amies, mais qu'elle ne les appellerait pas. Alors j'ai pris les devants et j'ai contacté Melissa pour tout lui expliquer. Je n'ai même pas eu à demander quoi que ce soit – elle m'a immédiatement assuré qu'elle rassemblerait les filles, et qu'elles iraient toutes chez Sandrine. Mais avant cela, elle m'a passé un sacré savon, me rappelant à quel point j'étais un crétin et un homme sans parole. Je n'avais pas entendu ces termes depuis des années, mais c'est exactement ce qu'elle m'a balancé, et elle avait parfaitement raison.Mes peurs, mes insécurités et toutes les conneries que mon père représente dans ma vie m'avaient complètement foutu en l'air. Il y avait de fortes chances pour que Sandrine ne me pardonne jamais. Mais je devais continuer d'essayer.Peu de temps après, Pascal, Fred et Rick ont débarqué chez moi. Ils m'ont expliqué que les filles passeraient la nuit avec Sandrine, et tout c

Point de vue d'HenryEn retournant au bureau, j'ai envoyé Enzo au centre commercial avec ma carte de crédit pour acheter tout ce dont j'avais besoin, ainsi qu'un petit cadeau pour ma nièce. J'allais certainement regretter de lui avoir confié ma carte plus tard, mais j'avais vraiment besoin de l'aide du garçon.À quatre heures et demie, j'ai simulé une terrible migraine auprès de Melissa et je l'ai suppliée de me laisser rentrer. Elle a fini par céder, quoiqu'à contrecœur. C'était assez ironique que moi, le propriétaire de l'entreprise, je doive demander la permission de partir plus tôt, mais je préférais éviter de me la mettre à dos.J'ai dévalé les escaliers jusqu'au rez-de-chaussée où Enzo m'attendait déjà avec le chauffeur à l'entrée du bâtiment. Nous devions récupérer Clara à la sortie de son cours de ballet. Quand elle est sortie du studio de danse, son regard méfiant en m'apercevant m'a tout de suite mis en alerte.« Tonton, je ne ferai rien pour toi ! Enzo s'attire toujours

Point de vue d'EnzoPendant que mon oncle et moi patientions dans la voiture en attendant que Clara remette le mot à Tante Sandrine, j'ai décidé d'appeler Luna sans plus tarder. Je l'ai invitée au cinéma, et elle a accepté immédiatement. Je lui ai ensuite suggéré d'inviter sa sœur à nous accompagner. La sœur de Luna avait environ vingt-et-un ans et étudiait déjà à l'école dentaire. C'était la personne la plus cool du monde et elle ne prenait pas de grands airs juste parce qu'elle était plus âgée. Et aujourd'hui, j'avais justement besoin de son aide. Luna m'a promis de voir si sa sœur serait partante.J'avais eu une chance incroyable d'apercevoir la notification du message de Tante Sandrine sur le portable de Mel quand elle était sortie de la pièce. Le message mentionnait le cinéma et le film qu'elle allait voir avec ce fameux Michel.À peine avais-je raccroché que Clara est remontée dans la voiture et a tendu le mot de Tante Sandrine à Oncle Henry.« Tonton Alexandre, tonton Pascal

Point de vue de SandrineJe me suis précipitée au bureau et, à mon arrivée, c'était le chaos total. Rick m'a rapidement expliqué que Pierre avait été kidnappé.« Catherine a besoin de toi ! m'a lancé Rick. Henry est en route avec les filles, et Tess arrive aussi. »« Super, Rick. Que puis-je faire d'autre ? » ai-je demandé.« Ça va devenir la folie ici. Occupe-toi de Catherine et dégage complètement l'agenda des cadres. Gère tout ce que tu peux pour qu'Alexandre et Pascal puissent se concentrer sur cette situation. Si tu as besoin d'aide, fais-moi signe », m'a expliqué Rick pendant que je m'installais à mon poste. « Tu n'as pas eu le temps de déjeuner, n'est-ce pas ? »« Non, en effet, mais je commanderai quelque chose plus tard pour manger ici. »« Faisons mieux que ça. Organisons un buffet permanent pour que personne ne parte le ventre vide », a suggéré Rick, et j'ai trouvé que c'était une excellente idée.« Parfait. Tu veux que je m'en occupe ? »« Appelle le traiteur et dem

Point de vue de SandrineHenry m'a entraînée dans cette maison, et j'en suis restée bouche bée. C'était une demeure magnifique et immense, mais ce qui m'a vraiment coupé le souffle, c'était l'intérieur. Il n'y avait pas de meubles, mais des roses rouges à profusion, des lumières en forme de bougies, et des ballons en forme de cœur accrochés au plafond.Au centre du salon, des tapis moelleux aux teintes claires, une multitude de coussins colorés de différentes tailles, et une table garnie de fraises, de chocolats et d'une bouteille de vin dans un seau à glace. Henry recréait l'une de nos plus belles soirées. Il était toujours excessif, cliché et théâtral, mais cette fois, il avait poussé le concept encore plus loin.« À qui appartient cette maison ? » me suis-je tournée vers lui, encore stupéfaite par tout ce que je voyais.« C'est la nôtre, » a répondu Henry en s'approchant.« Je ne comprends pas. » J'étais complètement déconcertée par ce spectacle, au point que mon cerveau sembla